Je vous conseille de commencer le récit par un cadre précis et surtout réel, avec de belles descriptions. Le décalage sera plus flagrant quand le surnaturel surgira dans l'action. Après, il faudra suggérer sans décrire. Voilà le propre du fantastique !
Le début doit donc préciser les trois dimensions du récit : quand, où, et qui. Pour captiver le lecteur, il est conseillé d'entrer directement dans le vif du sujet avec une première péripétie qui présente le contexte de l'histoire (son intrigue, ses personnages, etc;). Mais, veillez à ne pas aller trop vite non plus !
On les appelle soutiens littéraires, accompagnateurs littéraires, assistants de rédaction, conseillers en écriture, prête-plume, écrivains publics, biographes. C'est à eux qu'il faut s'adresse pour écrire un livre.
Ces premières phrases, également appelées des incipit, sont essentielles. Elles servent à capter l'attention du lecteur et lui donnent envie de continuer sa lecture… ou pas. On parle souvent de la phobie de la page blanche mais il peut être encore plus difficile de trouver comment commencer son roman.
La solution la plus évidente et rassurante consiste à vous faire publier par une maison d'édition. En effet, vous n'aurez pas d'argent à débourser : la maison s'occuper d'imprimer votre manuscrit, de le diffuser en librairies et en grandes surfaces et de faire sa promotion.
D'abord, réfléchissez à l'intrigue et aux personnages, puis commencez à écrire une première ébauche cohérente. Par la suite, passez à la révision et à la correction de votre texte pour le compléter et l'améliorer. Lorsque vous aurez terminé votre roman, vous serez en mesure de le publier si vous le souhaitez !
Pour le début du récit, il est préférable de commencer l'histoire dans notre monde tout à fait normal et réel pour tout d'un coup plonger dans le surnaturel. La peur et la surprise du lecteur n'en seront que plus importantes et percutantes.
Le récit fantastique met en scène un personnage vivant dans un univers réel, dont la vie est chamboulée quand apparaissent tout à coup des phénomènes surnaturels ou merveilleux. On nomme parfois « transgression » le moment où l'auteur brise le réel pour y insérer des éléments fantastiques.
Les thèmes du fantastique. Les thèmes du fantastique se définissent comme une perception particulière d'événements étranges qui produisent un effet particulier sur le lecteur : peur, horreur ou simplement curiosité. Ce genre entretient le suspense, la présence d'éléments fantastiques favorise cette tension.
Lorsque vous expliquez en quoi votre sujet intéressera l'éditeur, tâchez de « prouver » ce que vous avancez : si vous avez réellement travaillé sur un Sujet de Niche à Potentiel, alors vous pourrez présenter les articles de presse, émissions, livres étrangers et autres actualités qui parlent de votre sujet.
Ajoutez pour chaque éditeur son adresse, un e-mail de contact, et un contact le cas échéant. Pour envoyer votre manuscrit, respectez ces règles : Respectez le souhait du format d'envoi des maisons (e-mail ou papier). Si elles laissent le choix, préférez le papier, plus percutant et qui occupe plus de place.
«Décembre est de loin le meilleur mois de l'année, tranche Christian Thorel. On fait aussi un bon chiffre au mois de juillet, avec de grosses ventes de livres de poche, de classiques, de livres de l'automne précédent… En août et septembre, il y a une frénésie médiatique, mais les chiffres en librairie ne suivent pas.»
La meilleure période de l'année pour envoyer son manuscrit à une maison d'édition est août-septembre. En effet, c'est juste avant la rentrée littéraire que ces dernières cherchent à dénicher de nouveaux talents.
Le premier écrivain du monde était en fait une écrivaine. La romancière et anthropologue Yara El-Ghadban nous parle d'une de ses inspirations : la prêtresse sumérienne Enheduanna, première personne de l'histoire de l'humanité à avoir signé son nom comme autrice.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
On appelle « excipit » les dernières lignes d'un récit, roman ou nouvelle. L'excipit, dont la longueur est variable (on peut parler de la dernière phrase d'un récit, ou alors d'un ou plusieurs paragraphes) constitue un enjeu majeur, car il marque la résolution – ou non de l'intrigue.