Le diagnostic de cancer de l'intestin grêle est malaisé, même en présence de symptômes. Le médecin peut demander un bilan sanguin, une échographie ou encore un abdomen sans préparation. Il cherchera en priorité un cancer digestif plus fréquent, comme le cancer de l'estomac ou le cancer du côlon.
Des troubles non spécifiques tels que douleurs abdominales, nausées, vomissements, diarrhée ou constipation peuvent être dus à un cancer de l'intestin grêle, mais sont plus souvent liés à d'autres maladies de l'intestin.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Les douleurs du côlon
Également appelé syndrome du côlon irritable, cette pathologie génère douleurs, constipation et diarrhée. Si des douleurs sont concentrées dans la région en bas à droite de l'abdomen et sont associées à de la fièvre apparaissent, une appendicite doit être suspectée.
Les maladies principales de l'intestin grêle
le syndrome de l'intestin irritable caractérisé par une hypersensibilité de la paroi intestinale et une irrégularité des contractions musculaires. Cette pathologie se manifeste entre autres par des diarrhées, des douleurs abdominales ou des constipations.
L'entéroscopie est utilisée pour atteindre des sections plus éloignées de l'intestin grêle, qui a une longueur d'environ 4 mètres. En même temps, l'examen permet de faire des biopsies, de scléroser des saignements, d'enlever des polypes, de dilater des rétrécissements ou d'extraire des corps étrangers.
Un trouble de la motricité de l'intestin grêle et du côlon
Les contractions de l'intestin grêle et du côlon peuvent être soit trop fortes, soit trop faibles. Les aliments se déplacent alors trop rapidement ou trop lentement, entraînant une diarrhée ou une constipation.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
La colopathie est un trouble intestinal qui peut s'accompagner de : douleurs importantes qui peuvent irradier dans le dos ou la racine des cuisse, dyspepsie (douleurs et malaise dans la région supérieure de l'abdomen), brûlures d'estomac, crampes, ballonnements, et perte de poids inexpliquée.
Dans la plupart des cas, bien que cela puisse être gênant, l'excès de gaz dans l'estomac est sans gravité. Cependant ce signe est parfois associé à certaines pathologies digestives (cancer, infection), hormonales (dysthyroïdie), métaboliques ou psychologiques.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
L'imagerie médicale
en première intention dans le dépistage systématique de certains cancers comme le cancer du sein par mammographie, pour confirmer ou infirmer un diagnostic, pour évaluer la sévérité de la maladie et affiner le diagnostic.
Il y a 3 facteurs de risque nutritionnels identifiés pour le cancer colorectal : la consommation d'alcool, le surpoids et la consommation excessive de viande (rouge) et surtout de charcuteries qui sont des aliments ultra transformés et dont la consommation doit être très limitée.
Cette dernière présente ainsi des lésions et a tendance à davantage saigner au contact d'aliments. Le sang dans les selles peut être rouge clair ou au contraire rouge très foncé. "La présence de sang dans les selles est un symptôme d'alerte et doit pousser à consulter un médecin, insiste l'experte.
l'entérite, une inflammation de l'intestin grêle ; la duodénite, une inflammation du duodénum ; l'iléite, une inflammation de l'iléon ; la jéjunite, une inflammation du jéjunum.
Scanner. Si le cancer colorectal est déjà à un stade avancé, il peut s'avérer nécessaire de procéder à un scanner (ou TDM pour tomodensitométrie) afin d'évaluer l'extension de la tumeur du côlon et de rechercher d'éventuelles métastases.
Le symptôme le plus généralement répandu est la douleur. Celle-ci peut irradier dans le dos ou à la racine des cuisses et occasionner une simple gêne ou une sensation très violente. Elle se manifeste de façon anarchique dans la journée et varie d'un jour à l'autre.
L' examen le plus pratiqué pour explorer le côlon en cas de douleur colique est la coloscopie. Elle permet, avec un tube souple équipé d'une caméra, de visualiser la paroi du côlon, de faire des prélèvements et même de retirer des lésions.
Potentiellement grave par ses complications (abcès, fistule, hémorragie, péritonite, rétrécissement de l'intestin), la diverticulite peut récidiver et devenir invalidante. Dans ce cas, un traitement chirurgical peut être prescrit pour enlever la zone du côlon qui porte les diverticules.
Habituellement, 1 seul diverticule est en cause, situé dans le sigmoïde. Douleur : - Début brutal, persistante. - Localisée en FIG, irradiant dans le dos fréquemment.
Le polype intestinal est une tumeur bénigne, de taille variable. Il est nécessaire de le retirer du fait du risque potentiel de cancérisation.Il est à différencier du diverticule colique qui est, au contraire, une hernie au travers de la paroi colique, mais qui ne se cancérise jamais.
Côté médicaments, des antispasmodiques permettent de réduire les contractions, des régulateurs de transit aident à lutter contre les diarrhées et la constipation, des antidépresseurs à visée antalgique peuvent être prescrits en cas de douleurs rebelles et sévères.
Les causes
Chaque fois que de l'air est avalée dans l'estomac, celle-ci doit s'évacuer et cela peut entrainer des flatulences. Par exemple, en mangeant ou buvant trop rapidement, en fumant, en mâchant des chewing-gums ou en consommant des boissons gazeuses. Mais la cause principale des flatulences est l'alimentation.