en narratologie, la prolepse — ou anticipation — est une figure de style par laquelle sont mentionnés des faits qui se produiront bien plus tard dans l'intrigue : « Cet hiver 1657 était notre première “mauvaise saison” et il ne fut pas des plus cléments.
prolepse
1. Procédé syntaxique consistant à placer dans la principale un terme qui devrait se trouver dans la subordonnée (par exemple la phrase Tu as vu ce type comme il est grand). 2. Figure qui consiste à réfuter à l'avance une objection possible.
C / L'ellipse
Si l'auteur peut revenir en arrière dans son récit ou l'anticiper, il peut également passer sous silence un ou plusieurs événements. Il y a donc un vide dans le récit : quelque chose s'est passé, mais n'a pas été raconté. C'est une ellipse.
selon les recommandations des projets correspondants. L'analepse – nom féminin (du grec ancien ἀνάληψις / análêpsis) ou retour en arrière, dans un récit enchâssant, est une figure de style. Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé.
L'ellipse est importante parce qu'elle détermine le rythme d'un récit : les événements sur lesquels on va s'attarder et ceux que l'on passera sous silence. Attention, c'est à la fois une figure de style (engageant un jeu linguistique) et un procédé narratif.
Une ellipse narrative permet au narrateur de passer volontairement sous silence certains épisodes de l'histoire. En grammaire, une ellipse désigne la disparition d'un mot ou d'un groupe de mots. En rhétorique, l'ellipse est une figure microstructurale de construction.
en narratologie, la prolepse — ou anticipation — est une figure de style par laquelle sont mentionnés des faits qui se produiront bien plus tard dans l'intrigue : « Cet hiver 1657 était notre première “mauvaise saison” et il ne fut pas des plus cléments. [...]
Dans la littérature, on retrouve le plus souvent trois types de narrateurs : la narration à la première personne; la narration à la troisième personne alignée sur un seul personnage; et. la narration omnisciente.
Procédé de style par lequel on revient sur un événement antérieur au récit en cours.
On appellera début in ultima res, un récit commençant par la fin de l'histoire. C'est le cas dans le film Monsieur N. qui commence par l'exhumation de Napoléon.
En narratologie, une « ellipse temporelle », également appelée « ellipse narrative » consiste à passer sous silence une période, c'est-à-dire à ne pas en raconter les événements. Il s'agit donc d'une accélération du récit.
Le prologue ne s'emploie que pour les romans et autres œuvres de fiction. Il s'agit d'une manière d'apporter des éclaircissements à l'histoire à venir. Vous pouvez par exemple présenter certains des personnages, donner un cadre historique et spatial, parler de faits qui se sont déroulés avant…
Une figure de style est un procédé d'expression qui s'écarte de l'usage ordinaire de la langue et donne une expressivité particulière et un caractère figuré au propos.
L'élément déclencheur
C'est le déclenchement de la quête du personnage principal qui cherche à retrouver une situation d'équilibre. L'élément déclencheur engendre la mission du héros.
Dans un récit, l'élément déclencheur ou élément perturbateur, est la suite de la situation initiale et engendre les péripéties. L'élément déclencheur s'écrit souvent en un paragraphe dans un récit. Il est souvent le deuxième élément d'un schéma narratif.
Le narrateur personnage principal est parfois appelé narrateur participant. Le narrateur personnage principal est, comme son nom l'indique, le personnage principal de l'histoire. De ce fait, il raconte ses propres aventures en utilisant principalement la 1re personne. Il a uniquement accès à sa propre intériorité.
Un récit est un texte qui raconte une histoire (un enchaînement d'événements). Celle-ci peut être fictive (c'est-à-dire imaginée, inventée, comme dans le conte, la nouvelle ou le roman) ou vraie (comme dans l'autobiographie, les mémoires ou le récit historique).
On distingue ainsi le narrateur externe, le narrateur interne et le narrateur omniscient. Le narrateur externe n'est pas un personnage du récit. Il raconte à la troisième personne et ne connaît des personnages que ce qui peut se voir de l'extérieur.
La temporalité dans le roman dépend également de la vitesse du récit. Il est important de mettre en relation la durée de la fiction et la longueur de la narration. Une longue période peut être racontée en quelques mots. Au contraire, une rencontre de quelques minutes peut donner lieu à une narration de plusieurs pages.
Le temps de l'histoire (cf. narrated time/ erzählte Zeit) est le temps sur le plan de la fiction, le temps vécu par les personnages ; le temps du récit (time of narrating / Erzählzeit) est le temps du discours qui représente une histoire, celui des des pages du livre.
Le temps de la narration est le temps pris pour raconter cette histoire. Il se compte en nombre de pages et de paragraphes. Le rythme du récit correspond à la différence entre le temps de la fiction et le temps de la narration. Ainsi, il peut être accéléré (ellipse et sommaire) ou au contraire ralenti (scène, pause).
Le roman au XVIIIe siècle s'appuie souvent sur une légitimation par la réalité d'une confidence, d'un récit ou d'une tradition.