S'il n'y a pas de bonne manière de procéder, l'idéal c'est d'en parler : "le simple fait de dire à son thérapeute 'j'ai envie qu'on arrête de se voir, mais j'ai peur de vous le dire' est un bon moyen de sauter le pas", confie la psychologue clinicienne.
Merci à mon psy de m'écouter, de me réconforter, de m'éclairer et de me guider. Merci à mon psy de sa patience, de sa gentillesse. Sans mon psy, je n'écrirais pas aujourd'hui, car j'aurais choisi d'en finir avec la vie. Ça fait plus de 6 ans que je le rencontre.
Un bon moment pour s'arrêter, c'est quand on a l'impression d'avoir fait un tour.» L'éventualité de cette séparation se discute plusieurs mois à l'avance. Elle doit avoir le temps de mûrir, d'être évaluée par les deux parties, jusqu'à paraître acceptable. C'est un processus qui, parfois, peut s'étaler sur des années.
Mais quand on se doit de changer de psy en cours de thérapie, il faut le faire de la bonne façon, appeler votre thérapeute ou son secrétariat et dites-lui que vous avez trouver un autre psy. Cela évitera à votre thérapeute de se faire du soucis pour vous.
L'analyse est terminée à deux conditions : « que le patient ne souffre plus de ses symptômes et qu'il ait surmonté ses inhibitions comme ses angoisses » et « que l'analyste juge que l'on n'ait pas à craindre la répétition des processus pathologiques en question ».
Il est tout à fait normal de s'attacher et même de tomber amoureux du psychanalyste. La situation analytique est une situation particulière, en dehors du contexte social habituel. C'est une situation permettant d'accéder au plus intime de soi même et à sa vérité profonde.
Un massage de pieds, une séance de sport, une promenade en forêt, chacun a ses petits trucs pour terminer sa journée de travail et laisser les tranches de vie dans leur cabinet.
On estime généralement que deux conditions au moins doivent être réunies pour décider de l'arrêt du suivi : que les troubles pour lesquels le patient est venu consulter aient cessé ; que l'inconscient ait suffisamment été compris en profondeur pour se prémunir d'une réapparition des symptômes.
Un psy ne peut pas m'aider puisqu'il ne parle pas. Les analystes parlent peu et c'est assez déroutant au début. Pourquoi c'est un argument qui ne tient pas la route : un psychanalyste n'est pas un coach. S'il parle très peu, c'est pour laisser son patient s'exprimer et lui permettre de trouver ses propres solutions.
Tout dépend de la méthode de travail mais en général 01 heure. Il peut y avoir des séance de 30 minutes, d'autres d'01h30. Souvent les rendez-vous ont lieu une fois par semaine mais il peut aussi y avoir des séances tous les quinze jours ou deux séances par semaine parfois trois.
Il est préférable d'offrir un cadeau d'une faible valeur pécuniaire, comme les biscuits, les chocolats et autres cadeaux faits à la main par le patient. Il ne faut pas que le psy ait la sensation d'être rémunéré une seconde fois.
Parler avec votre psy avec aisance
Être à l'aise en silence permet au patient d'avoir le temps de réfléchir plus profondément et d'apprécier le moment présent. Ne soyez pas gêné de vous taire, cela fait partie du processus thérapeutique aussi. Et enfin, n'oubliez pas de parler de ce que vous aimez.
Un psychologue ou un psychiatre peut également tomber amoureux de sa patiente. C'est humain. Son travail consiste à gérer son contre-transfert et à l'utiliser dans la relation thérapeutique. En effet, son éthique ne lui permet pas de s'engager dans une histoire d'amour avec son patient.
Car le manque d'échange constructif entre un patient et son thérapeute au début de la relation peut aussi annoncer une « mésalliance thérapeutique » qui est l'une des principales causes de la stagnation, voire de l'échec du processus, toutes écoles confondues.
Comprendre ses motivations inconscientes est important parce que cela vous permettra de comprendre ce qui se jouera dans la relation d'aide au titre de transfert et contre-transfert. Cela ne peut que vous aider à conserver une neutralité bienveillante vis-à-vis de la personne aidée.
La liquidation du transfert passe par la reconnaissance de matériaux rejetés et par la mise en jeu intersubjective des forces hostiles de refus et d'exclusion qui sont à l'œuvre dans la vie psychique d'un individu.
Cela est principalement dû au fait que le temps nécessaire à la psychanalyse dépend du type de patient et de la complexité de la raison de la consultation. La méthode utilisée pour traiter le patient a également une influence sur la durée du traitement. Pour ces raisons, elle est extrêmement variable.
LE « FOND » D'UNE FIN DE THÉRAPIE
incertitude, cycle, tranche, plaisir, satisfaction, deuil, renoncement, espoir, lâcher, reste !, bilan, rupture, évaluation, responsabilisation, autonomie, remaniement, liberté, confiance/inquiétude, joie, voyage, place libre, perte de fric...
L'avantage d'une psychothérapie est que ses effets sont durables, car elle agit à la fois sur les symptômes et sur le fonctionnement du patient, et donc sur le risque d'une rechute.
Les causes de l'irritabilité
L'irritabilité peut avoir de nombreuses causes, les principales étant : Le stress : vivre une période stressante, comme perdre un emploi ou une rupture de couple, peut rendre une personne plus irritable que la normale.
Pratiquer l'activité de votre choix, celle qui vous procurera le plus de bien-être : du yoga pour vous relaxer et relâcher toutes les tensions corporelles, de la boxe si vous avez besoin de vous défouler ou pour apprendre à vous maîtriser, ou encore la course, qui est fortement recommandée car elle vous aidera à ...
Il répond le moins possible aux questions que vous vous posez et n'est pas centré sur la résolution de problèmes spécifiques. Ce genre de psy ne donne donc que rarement des conseils. Selon son approche, c'est en parlant que vous allez prendre conscience (progressivement) de votre propre fonctionnement (inconscient).