"Je t'aime" en binaire se dit "01101010 01100101 00100000 01110100 00100111 01100001 01101001 01101101 01100101".
Pour convertir un nombre décimal en nombre binaire (en base B = 2), il suffit de faire des divisions entières successives par 2 jusqu'à ce que le quotient devienne nul. Le résultat sera la juxtaposition des restes. Le bit de poids fort correspondant au reste obtenu à l'ultime étape de la division.
dépend de la base utilisée : 10 est toujours égal à la base, c'est-à-dire dix en base dix, mais deux en base deux. En base dix, on utilise dix chiffres, de zéro à neuf ; en base n, on utilise n chiffres, de zéro à n – 1 ; donc en base deux on utilise les deux chiffres « 0 » et « 1 ».
avec 3 bits, on dispose de 8 combinaisons : 000, 001, 010, 011, 100, 101, 110, 111. On peut représenter ces combinaisons par 8 chiffres de 0 à 7 ; c'est la numération octale.
De même, quel serait le code d'un nombre de 8 bits pour représenter la valeur –1 ? Le code 1111 1111(2) = FF(16) convient puisque, si on ajoute 1 à ce nombre, on obtient 00000000(2) = 00(16), le bit de report déborde à gauche, il sort de l'espace qui est réservé au nombre et est donc ignoré.
1) Codage d'un entier relatif sur 8 bits.
Le bit de poids le plus fort (à gauche) sert à coder le signe de l'entier. Il reste donc 7 bits pour coder le nombre soit des valeurs entre -128 et 127. Exemple : Codage de 89 sur 8 bits 01011001. On va représenter 89 par 256 (28) -89=167.
Ecriture binaire d'un entier relatif par complément à 2
Sur 8 bits le plus grand entier possible est 01111111 (soit 127)et le plus petit est 10000000 (soit -128).
Au xixe s., le mathématicien anglais George Boole (1815-1864) développe une algèbre à base binaire (l'algèbre de Boole) qui fonde la logique moderne des propositions. Ces travaux sont à l'origine du traitement automatique des informations codées en binaire.
Donc, en rassemblant les résultats, on obtient 101010.
La conversion du nombre 149(10) (en décimal) en binaire est donc : 1001 0101(2).
Chaque bit correspond à une puissance de 2 se lisant de droite à gauche (la plus petite puissance est à droite). On multiplie chacune des puissances par le bit correspondant (0 ou 1). Et on additionne le tout, ce qui nous donne en décimal la valeur du binaire soit 10 (8+0+2+0) pour 1010.
Ces opérateurs sont appelés AND (le « et » binaire), OR (le « ou » binaire, aussi appelé « ou inclusif »), le XOR (le « ou exclusif » binaire) et le NOT (le « non » binaire, autrement dit la négation binaire).
Énumération des premiers nombres
On y trouvre 32, 2 et 1 et 32+2+1= 35...