On peut commencer par un «je ne peux pas» et aller jusqu'à «je ne veux pas» si la pression est trop forte.» N'oubliez pas au final de lui dire que vous l'aimez, mais en demandant d'accepter les limites que VOUS posez.
Gardez en tête quelques formules faciles pour affirmer votre refus, comme « je suis désolée mais je ne peux vraiment pas t'aider », ou « non, je ne suis pas disponible », ou encore « non, je ne veux pas ».
Proposez une alternative
Soit vous ne pouvez rien y faire, soit vous ne voulez pas, peu importe si vous proposez vous-même une alternative. 'Non, ce n'est pas possible mais je peux en revanche vous proposer ceci…' Posez ainsi vos limites. Vous déplacerez le problème de façon magistrale.
On peut commencer par un «je ne peux pas» et aller jusqu'à «je ne veux pas» si la pression est trop forte.» N'oubliez pas au final de lui dire que vous l'aimez, mais en demandant d'accepter les limites que VOUS posez.
C'est avancer dans la connaissance de soi. Savoir dire non, c'est encore ne pas procrastiner. C'est ne pas dire » peut-être », ni « plus tard », ni « on verra », ni « pourquoi pas », ni « on en reparle » ; c'est ne pas mentir, et surtout ne pas se mentir à soi-même. C'est apprendre à ne pas avoir peur.
8 ) Soignez la manière de vous exprimer
La dernière chose que vous souhaitez c'est d'exprimer votre refus de manière sèche et brutale, pour ne pas froisser votre interlocuteur. Des expressions comme « non, ce n'est pas mon problème » ne passeront pas.
La capacité d'une personne à dire non est d'abord conditionnée par les limites établies par son éducation et son expérience. Si enfant, elle n'a pas été écoutée, si son refus a rarement été accepté, elle aura d'autant plus de mal à oser dire non car elle ne se pense pas légitime.
# 1 : Dites-le de vive voix
Vous devez assumer votre non et pour cela, le dire en face à face. Bannissez le mail et répondez lorsque vous êtes seul(e) avec la personne et mettez-vous dans une posture d'égal(e) à égal(e). Pas question que l'un soit assis et l'autre debout. Regardez-le dans les yeux.
Ne pas se justifier
Dites simplement que vous ne pouvez pas, sans vous justifier et sans mentir, au risque de donner l'impression que votre refus n'est pas légitime. Vous avez le droit d'être fatigué, vous avez le droit de vouloir rester chez vous, vous avez le droit de dire non à ce que vous voulez.
Dites non dès que possible. Le plus rapidement vous indiquez votre refus, le plus il sera facile pour le destinataire de le recevoir avec l'espoir de recevoir des «oui» de ses autres invités. Remerciez la personne de vous avoir invité. Si vous avez un autre engagement, mentionnez-le au début de votre conversation.
4 – Dire non, une décision bienveillante
C'est apprendre à dire “je”, “je ressens”, “j'ai besoin” au lieu de “tu”, “ton”… On peut tout à faire dire “non” tout en précisant à notre interlocuteur que ce n'est pas contre lui.
Cette peur peut également être apparentée à l'angoisse de vieillir : "On a tendance à considérer nos mères comme étant d'un temps passé, d'une génération précédente, et on a peur de leur ressembler car on a peur de se voir nous aussi appartenir à un autre temps".
Pourquoi est-ce important d'apprendre à dire non
Savoir dire non, c'est arrêter de faire passer les besoins des autres avant ses propres besoins. Savoir dire non, c'est reprendre de l'estime pour soi-même, de la valeur en temps que personne. Savoir dire non, c'est accepter de ne pas être un.
Entrainez-vous à dire non.
Entrainez-vous à dire non clairement afin que votre interlocuteur n'ait pas de doute et ne s'imagine pas que vous direz oui plus tard. Exposez une raison claire et brève pour expliquer votre refus et soyez honnête plutôt qu'inventer des excuses. Soyez respectueux lorsque vous dites non.
Voici les 3 raisons qui sont à l'origine de ce comportement : La peur de soi : de se laisser submerger par l'émotion, de perdre le contrôle qui serait alors considéré comme un manque de professionnalisme ou de compétence. La peur du conflit : la crainte de blesser son interlocuteur indispose beaucoup de personnes.
"Merci d'avoir pensé à moi. J'aurais adoré être là mais je ne peux pas." "J'aurais bien aimé mais j'ai un empêchement." "J'ai déjà quelque chose de prévu ce jour-là/ce soir-là/ce week-end là." "Tant pis pour moi, je vais rater une super soirée!" "Merci d'avoir pensé à moi.