souv. FRER m. -ed, -ion.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
Du moyen breton hoar, issu du vieux breton guoer , du proto-celtique * swesūr, lui-même de l'indo-européen commun * swésōr (« sœur »).
FILS MAB m. mibion (& -ed, -où) fils unique (& héritier) PENNHER m.
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
Pokoù signifie « bisous » en breton mais il existe plusieurs variantes : Pokigoù : Des bisous ! Pokoù bras : Gros bisous ! Ur pokig bras : Un grand bisou !
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Les régionaux : missia-mina ou babbone-mammona (en corse), aitatxi-amatxi (en basque) ou tad-kozh-mamm-gozh (en breton) mais c'est quand même un peu réservé aux initiés…
MAOUEZ , en vannetais bih. -IG b. -ed femme (en gal, loc. bonne femme, compagne...
Tad, Tadig, Tata = Père, Papa. Mamm, Mammig = Mère, Maman.
Étymologie. Du moyen breton mam.
— Le terme pour « tante » est moereb (v. br. motrep ; m. br.
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants.
En savoir plus. « Karantez », c'est « l'amour » en breton.
VOITURE GWETUR (var. BWATUR W) f. -ioù (cf. karr-, & oto).
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
deiz-ha-bloaz laouen.
En Bretagne, un chat se dit donc ur c'hazh (au féminin ur gazhez et au pluriel ar c'hizhier).
« Bara » signifie « Pain » en breton.
Entre 1830 et 1850, parler breton était non seulement interdit, mais aussi puni. Le conférencier a abordé une loi non écrite, laissée à l'appréciation des instituteurs qui a perduré pendant 130 ans en Bretagne. Le climat scolaire était délétère. La carotte, mais surtout, le bâton, était une pratique coercitive.
Ty et Ker en breton
Kêr est tout simplement un lieu où il y a de la vie : une maison, une ferme, un hameau, voire même une ville ! Ti signifie également « maison ».
Dans tous les autres cas, « ruche » se dit kestenn.
une belle (fille) KAERENN f.
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).