— Ponda po̱, o mala je̱ne̱ papa na mama ná bongwane̱ wa.
mère en douala. En douala mère signifie : nyango, yeyè, ñango (nous avons trouvé des traductions 3).
Dans douala , merci beaucoup se traduit par : na som jita .
Nioxer : faire l'amour.
Wada a kal bés le nye a nke, me bé hoñol le a ta ha bé i emble bés.
Dang-bang bonjour.
merci en éwondo
Les principales traductions de merci dans le dictionnaire français - éwondo sont : abui ngañ .
bonne nuit en douala
En douala bonne nuit signifie : budu la bwam, bulu bwam, o windele (nous avons trouvé des traductions 3).
Les foss, appelés aussi vers blancs, sont consommés par un tas de personnes à la campagne comme à la ville.
Rencontré dans les trois régions septentrionales (Adamaoua, Nord et Extrême-Nord), le fulfuldé est la langue la plus parlée au Cameroun avec 5 millions de locuteurs, révèle une étude du ministère de l'Education de Base à l'occasion des festivités de la 12e journée internationale de la langue maternelle lancées jeudi à ...
Nkang est un village du Cameroun situé dans le département du Menchum et la Région du Nord-Ouest, à proximité de la frontière avec le Nigeria. Il fait partie de la commune de Furu-Awa.
Akeva. Bonjour à toutes et à tous.
8. Beti-Fang: Salut, Bonjour - Mbōlō - Mbə̀mbə̀ kídí!
Merci. » Na som jita.”
Dans la rue, certains, les plus courageux, n'hésitent pas à prendre par le bras une femme qui leur a fait de l'effet. Tandis que d'autres, plus discrets ou timides, la suivent pour lui dire quelques mots doux ou lui demander son numéro de téléphone.
Maman en bassa. Maman dans bassa se traduit par : nyan. Ini (1 traductions totales).
En bassa papa signifie : Pwa, Ta,, pwa (nous avons trouvé des traductions 2).
Je t'aime mon amour, traduction en éwondo, Ma ding wa édzing dzam.
Le Hemlé! Tara le Hemlé littéralement la foi en langue bassa, est un trait de caractère qu'on retrouve principalement chez les camers, mais plus souvent observé chez les sportifs en compétitions de haut niveau. Le Helmlé ne s'apprend pas, mais ça se vit; le Hemlé ne se transmet pas, mais s'acquiert.
En bassa merci signifie : mé ñyega (nous avons trouvé des traductions 1).
Au nom de la liberté de culte, les faits religieux sont omniprésents dans les services publics camerounais. Ils sont majoritairement produits par des adeptes de l'islam et du christianisme, les deux principales religions officiellement pratiquées dans le pays.