“Si philosophiquement, on peut craindre de rater sa vie, dans la réalité, ça semble complètement déconnecté”, rappelle Nayla Chidiac. “Ça dépend uniquement des critères que l'on se fixe soi-même ou que l'on hérite de nos proches ou de la société”, ajoute-elle.
L'échec est un test pour l'intensité de la persévérance du désir. On se prouve à soi-même que, lorsqu'on arrive à se relever, c'est qu'on en a vraiment envie ».
Dans un monde en perpétuel changement, où l'épanouissement personnel est devenu le nouveau graal, chacun aspire à se construire une vie heureuse, tant sur le plan personnel que professionnel. Or, ce chemin est souvent semé d'embûches. Tout le monde connaît des échecs dans sa vie.
Chaque aspect de votre vie pourra devenir un véritable échec, de la naissance jusqu'à la mort en passant par l'adolescence, le travail ou l'amour. Je vous assure 100 % d'échec. Vous serez guidé dans cette drôle d'aventure qu'est la vie par l'Âne, un véritable expert de l'échec.
Pourquoi je ne réussis pas ? Tout d'abord et c'est selon moi très important à comprendre, la réussite dépend de deux facteurs : l'action et l'état d'esprit. Si l'un des deux vous manque vous allez avoir du mal à réussir ce que vous souhaitez.
Pathologies médicales, psychopathologies ou troubles du développement. Les troubles spécifiques des apprentissages peuvent être une des diverses causes de l'échec scolaire puisque cela amène l'enfant à subir des échecs répétitifs. Ces difficultés peuvent être persistantes ou ponctuelles, momentanées ou passagères.
Les échecs nous donnent la possibilité de rebondir, d'apprendre de nos erreurs, et nous aident à apprécier le succès. L'échec peut faire peur, pourtant, comme le rappelait Winston Churchill, « la recette du succès, ne serait-ce pas finalement d'aller d'échec en échec sans jamais rien perdre de son enthousiasme ? ».
L'échec apprend la valeur des choses
A chaque petit ou grand changement dans nos vies, nos valeurs se redessinent. Le sens de valeur est une des plus grandes leçons que nous apprend l'échec. Tandis que la réussite peut facilement nous monter à la tête, l'échec nous permet de garder les pieds sur Terre.
En cas d'échec, il est donc important de rester bienveillante avec soi-même. La technique du meilleur ami est alors très utile. Elle consiste à s'adresser à soi-même de la même manière qu'à un ami afin de faire la part des choses entre ses qualités profondes et un petit échec ponctuel.
Il vous faudra : Faire la paix avec vous-même, ne pas vous en vouloir pour les actes manqués, ne pas vous sentir « nul » de n'avoir pas toujours pris les bonnes décisions, etc. Arrêter de vous sentir comme une victime (de la vie, des évènements, des autres) et vous prendre en main.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).
Écoutez-le en silence et laissez-le exprimer les émotions nées de cet échec X Source de recherche . Demandez-lui ce qu'il ressent et laissez-le parler aussi longtemps qu'il en a besoin. Vous pourrez dire quelque chose comme « dis-moi ce que tu ressens. Je t'écouterai aussi longtemps que tu en as besoin ».
Transformer l'échec en réussite : la marche à suivre
Nier l'échec, c'est le considérer non pas comme une étape, mais comme une finalité indésirable. Constater l'échec, l'accepter, l'analyser pour en rechercher les causes : telles sont les phases qui vous permettront de repenser votre projet de façon plus intelligente.
Charles Pépin : «Qui n'a jamais connu l'échec a raté sa vie !»
Pourquoi Robbins affirme que « l'échec n'existe pas » Il dit que l'échec est un mensonge, qu'il ne correspond qu'à une certaine façon de penser et d'interpréter le réel, qui ne peut être considérée comme la « Vérité ».
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
Beaucoup de projets n'aboutissent pas, tout simplement parce qu'on en reste au stade des intentions. Il faut donc se définir un plan d'actions et l'actualiser régulièrement.
Souffrir d'inhibition, c'est se croire médiocre alors qu'on ne l'est pas. C'est choisir systématiquement le ou la partenaire qui nous correspond le moins. C'est se résigner à n'être jamais tout à fait heureux, et parfois même à vivre dans le malheur.
Une autre raison très fréquente qui explique pourquoi nous sommes envieux des autres, est parce que nous n'avons pas une bonne opinion de nous-mêmes. Ainsi lorsque nous découvrons quelque chose de positif vis-à-vis de quelqu'un, cela nous rappelle nos propres lacunes.