C'est le cas dans des contextes comme la photo que j'ai vue (accord au féminin avec photo ), les films que j'ai vus (accord au masculin pluriel avec films ), les choses que j'ai vues (accord avec choses ).
On écrit « vue » ou « vu » ? Règle 1 : lorsque « vu » est placé devant un nom ou un pronom, alors il s'écrit toujours sans -e et est invariable (c'est le cas lorsqu'il est placé en début de phrase). « Vu » prend alors le sens de « étant donné » et peut être remplacé par celui-ci.
Si vous écrivez « je t'ai vue prendre des comprimés », c'est que vous estimez que « te » est COD du verbe « voir » au participe passé (j'ai vu qui ?), placé avant, et que, suivi ou non d'un verbe à l'infinitif, on accorde : je t'ai vue hier, je t'ai vue travailler, je t'ai vue en train de travailler, je t'ai vue en ...
La locution en vue de, qui signifie « de manière à permettre, à préparer (une fin, un but) », est synonyme de pour. Certains auteurs font une nuance entre en vue de et pour. En effet, pour indiquerait un but rapproché et en vue de marquerait un but éloigné.
Si « vu » est situé devant un pronom ou un nom, il est invariable et ne prend donc pas de « e ». On peut remplacer « au vu de » par « étant donné ».
Vu l'heure, il vaut mieux rentrer. Excepté, y compris, passé, vu, non compris sont invariables s'ils précèdent le sujet qu'ils qualifient.
On écrit : "Les cadeaux que j'ai reçus"
Le participe passé employé avec "avoir" s'accorde avec le COD si celui-ci précède le verbe. On pose la question : "J'ai reçu quoi ?", "les cadeaux", nom masculin pluriel. D'où "reçus".
Par conséquent, on accorde le participe passé « reçu » au féminin singulier, d'où : « la trottinette que j'ai reçue ». En revanche, l'autre participe passé, plu, ne s'accorde pas.
C'est le cas dans des contextes comme la photo que j'ai vue (accord au féminin avec photo ), les films que j'ai vus (accord au masculin pluriel avec films ), les choses que j'ai vues (accord avec choses ).
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Faut-il employer la négation ou non? Voici une explication simple : « Cela fait un an que je ne t'ai pas vu » exprime une durée qui commence à un moment précis, celui de la dernière rencontre. La durée renvoie à un temps où l'action ne s'est pas produite.
On distingue donc la vue, nom féminin qui prend un e final, et vu, sans e final, préposition qui équivaut à étant donné. Ici on pourrait dire : « Étant donné les circonstances, je ne partirai pas en vacances. », c'est donc vu sans e qu'il faut utiliser.
Pourquoi n'écrit-on pas « en vu » ? Parce que la graphie « en vu » est incorrecte. Il ne faut pas confondre avec « au vu de », qui signifie : compte tenu de, au regard de. Exemple : Au vu de la situation, nous devons réagir vite.
1. J'ai mangé / des pommes. 2. Les pommes , je les ai mangées .
J'ai demandé à Christian de venir, je lui ai demandé de venir. J'ai demandé la facture, je l'ai demandée.
Rappel : après l'auxiliaire avoir, le participe passé ne s'accorde pas. Elle a envoyé une lettre. Si un COD COD est placé avant avoir, le participe passé s'accorde avec le COD.
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
Quand utiliser le passé simple ? Le passé simple est employé pour désigner une action généralement courte, terminée dans le passé. Sur une échelle de temps, le passé composé, qui exprime lui aussi une action brève, se situe plus près du présent que le passé simple, plus lointain.
On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.
Au vu, sur le vu de quelque chose,
après examen, contrôle, constatation de quelque chose.
Comme la réponse est oui, vous devez accorder vu avec chefs, donc vus.
La forme « l'ai » est le verbe avoir à la première personne du singulier au présent (ou auxiliaire si le verbe est au passé composé), précédé du pronom personnel COD « l' ». Ex. : Cette poésie, je l'ai déjà apprise.