Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
Quand on conjugue le verbe faire au présent de l'indicatif ! Et ce, à la 1re ou à la 2e personne du singulier : je fais, tu fais. On retient : « j'ai fait », au passé ; « je fais », au présent.
La règle, c'est celle de l'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire avoir . Ce participe passé s'accorde avec le COD du verbe, mais seulement si ce COD est placé avant le verbe. Le COD, c'est le mot qui désigne ce que j'ai envoyé.
La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit.
On dira donc : je me suis faite belle (et non je me suis « fait » belle).
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
On entend la lettre « t » lorsque un mot se terminant par la consonne «d» ou «t» (« quand », « prend ») est suivi d'un autre commençant par une voyelle : Quand il pleut, on ne sort pas. On remarque alors que la lettre « d » se prononce en fait « t » (on dit que le « d » s'assourdit).
Il faut dire : « C'est moi qui l'ai fait. » C'est moi qui = je (1re personne du singulier). Vous accorderez donc le verbe avoir avec « je ». De même, vous écrirez, « c'est toi qui l'as fait » (= tu), « c'est nous qui l'avons fait », etc.
J'ai demandé à Christian de venir, je lui ai demandé de venir. J'ai demandé la facture, je l'ai demandée.
La réponse simple. On écrit toujours « je me suis dit ».
J'ai regardé l'orthographe, et c'est écrit « je l'ai tant aimée, tant aimée ». Alors vous devez écrire « je t'ai tant aimée ». Ça me semble logique, le COD, « t », mis pour la fille, est placé avant l'auxiliaire avoir, etc.
L'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire avoir
J'ai rencontré Véronique au restaurant. → Le complément d'objet direct est postposé au verbe → le participe passé est invariable. Je l'ai rencontrée.
Je ne t'ai pas oubliée. I didn't forget about you.
On écrit toujours « j'ai fait ».
Il s'agit de conjuguer le verbe « faire » au passé composé, à la première personne du singulier. On utilise donc l'auxiliaire « avoir » et le participe passé du verbe « faire », qui est « fait » avec un « t ». Qui a dit que la langue française n'est pas difficile à écrire ?
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable.
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait »
Quand utiliser le passé simple ? Le passé simple est employé pour désigner une action généralement courte, terminée dans le passé. Sur une échelle de temps, le passé composé, qui exprime lui aussi une action brève, se situe plus près du présent que le passé simple, plus lointain.
Il est alors correct d'écrire : les obstacles qu'on lui a donné à vaincre (on lui a donné à vaincre quoi ? qu' pour les obstacles). Ce participe passé peut toutefois s'accorder avec le COD qui le précède s'il le complète : voici les poèmes qu'on leur a donnés à apprendre. On peut aussi ne pas accorder.
leur est au singulier : Je lui ai dit. Je leur ai ditt. Mais ils ont apporté leurs cartables. ai : le verbe dire est au passé composé avec avoir au présent : je leur ai dit.
T'ai est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe avoir au présent de l'indicatif à la 1re personne du singulier. T'aie est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe avoir, mais au subjonctif présent à la 1re personne du singulier.
La forme "aie" correspond à : la première personne du singulier (je) du subjonctif présent (que j'aie). Exemple : "Il faut que j'aie mon examen, cette fois-ci !" ; la deuxième personne du singulier (tu) de l'impératif présent : "N'aie pas peur, aie confiance en toi."
Le fait d'interposer un « t' » ou un « m' » ne change rien à sa conjugaison, on écrira : « je t'attends » ou « je m'attends à... ». Voici les conjugaison du verbe « attendre » au présent de l'indicatif : j'attends. tu attends.
Le t se double après a, e, o et u, mais principalement après e, tant pour avertir que la syllabe est brève que pour faire prononcer l'e ouvert : patte, battre, baguette, mouchette, etc.
Quand le verbe est du 1er groupe, le participe passé se termine par « -é ». Dans les autres cas, la voyelle finale est « -i » ou « -u ». Attention des participes passés comme « pris » ou « fait » se terminent par une consonne !
Pour être correct, nous éviterons d'écrire «que répond-t-il?» et préfèrerons la formule «que répond-il?». De la même manière, on notera: «Qu'entend-on par...»