Quand on écrit ça, on conjugue le verbe contacter au présent, avec le sujet je . Pour les verbes en -er (premier groupe), avec je (première personne du singulier), la terminaison est -e . C'est la raison pour laquelle on écrit je contacte .
Dis-le-moi ou dis-moi-le? se demande une lectrice, Marie-France. Il faut employer «dis-le-moi» (dans l'ordre: verbe, complément d'objet direct, complément d'objet indirect) en n'omettant pas les traits d'union entre chaque mot. En effet, on met deux traits d'union quand l'impératif précède deux pronoms.
Pensez à moi. Il ne pense qu'à celle qu'il aime. Il signifie également Se souvenir.
On écrit tu me diras avec un s à la fin.
La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit.
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
(Vieilli) Mot, propos, maxime, sentence. Il ne s'emploie guère que dans les locutions suivantes : Un dit notable, remarquable, mémorable. Les dits et faits, les dits et gestes des anciens.
"Ou" (sans accent) est conjonction de coordination. Il ne faut pas le confondre avec "où" (avec accent) qui est adverbe ou pronom. On écrit toujours "ou" (sans accent) quand il peut être remplacé par "ou bien".
J'ai pu , c'est une conjugaison du verbe pouvoir : le passé composé. Ce temps est fabriqué avec l'auxiliaire avoir et le participe passé du verbe, pu . Tout comme eu (du verbe avoir ), vu ( voir ), su ( savoir ), lu ( lire ), bu ( boire ), le participe passé pu s'écrit en deux lettres et sans accent.
La conjugaison du verbe dire comporte une irrégularité au présent : je dis, tu dis, il dit, nous disons, vous dites, ils disent. Et non pas *vous disez, à proscrire.
« Dis », ça vient du verbe dire ; donc, je dis quelque chose, ça veut tout simplement dire que vous utilisez des mots pour faire passer une idée. Et « donc », c'est un mot de liaison qu'on utilise normalement pour donner l'idée d'une conséquence.
On peut dire "Je me suis dit" et "Je me suis dite", "Gisèle s'est dit" et "Gisèle s'est dite", mais pas dans les mêmes cas, et c'est sans doute pourquoi elle ne sait plus sur quel pied danser. Si vous êtes un homme, pas de souci, vous dites "Je me suis dit" dans tous les cas. Mais, au féminin, ça se complique.
Pourquoi n'écrit-on pas « je me suis dis » ? Parce qu'il s'agit du verbe pronominal « se dire », conjugué à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « (se) dire » est « dit, dite ».
« Je dirai » ou « je dirais » sont deux conjugaisons homonymes du verbe « dire », ce qui prête à confusion. La première forme correspond au futur simple de l'indicatif, tandis que la seconde correspond au conditionnel présent.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) !
La principale caractéristique de l'impératif est de n'exister qu'aux personnes : tu, nous et vous et ce, sans sujet exprimé. Il permet d'exprimer un ordre, donner un conseil ou faire une suggestion. En général, l'impératif est identique au présent de l'indicatif à l'exception près qu'il n'a pas de sujet.
Donne-l'en ! Parle-l'en ! Je crois que ce n'est pas moi qui est élidé, mais me : donne me-en, comme dans tu m'en donnes (tu me en donnes, tu me donnes de en).