Sans conséquence. Toujours au singulier : c'est sans conséquence pour votre carrière. Tirer à conséquence. Toujours au singulier : c'est un incident qui ne tire pas à conséquence.
En dehors de certains cas définis par l'usage (comme « sans détour », « sans encombre »), le nom qui suit « sans » se met au singulier ou au pluriel selon qu'il désigne une ou plusieurs choses manquantes. > Ce film muet narre une histoire sans paroles.
Marque la privation, le manque, l'absence, l'exclusion : Une boisson sans alcool. Soyez sans crainte.
Accord du nom après sans
se met au singulier ou au pluriel selon le nombre de choses ou d'êtres habituellement présents : une lettre sans date (Il n'y a habituellement qu'une seule date dans une lettre.) un jardin sans fleurs (Il y a habituellement plusieurs fleurs dans un jardin.)
Si le nom qui suit sans ne se comprend qu'au pluriel, il va de soi qu'on le mettra au pluriel. Par exemple : un arbre sans feuilles, un veston sans manches, un ciel sans nuages, une maison sans fenêtres, une personne sans principes, une histoire sans paroles, etc.
Toujours au singulier dans : à regret, au regret de, sans regret.
On écrit toujours au singulier certaines expressions comme sans foi ni loi ou sans tambour ni trompette, de même que sans commentaire, sans délai, sans difficulté, sans doute, sans effort, sans égard, sans encombre, sans regret, etc. On écrit au pluriel sans ambages et sans nouvelles.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
Dans la langue française, en général, il suffit d'ajouter un "-S", aux mots ou adjectifs pour former le pluriel.
Sans délai,
sans retard, immédiatement.
Sans signifie en l'absence de, en excluant.
En effet, si l'on écrit au singulier «je n'ai aucune nouvelle», on note au pluriel «sans nouvelles de toi».
« Sans » est une préposition employée pour marquer l'absence, la privation. « S'en », qui agit en tant que pronom, est le résultat des pronoms personnels « se » et « en ».
On peut écrire "Sans sucre ajouté" sur une bouteille de jus d'orange parce que lors la préparation de ce jus de fruit, personne n'a pris du sucre de table et ne l'a ajouté au jus. Il n'y a pas eu d'ajout de sucre.
Sans est une préposition qui exprime le manque, l'absence.
Sans nul doute, sans aucun doute = assurément, à coup sûr. Sans doute, placé en tête de phrase sans ponctuation, entraîne l'inversion du pronom sujet (ou, si le sujet est un nom, l'emploi du pronom sujet de rappel) : sans doute aurait-il souhaité mieux ; sans doute l'homme avait-il pris la fuite.
Avec deux traits d'union. - Plur. : des va-et-vient (invariable).
Par exemple, il est de règle d'écrire «les mardi et jeudi de chaque semaine», au singulier puisqu'il n'y a qu'un mardi et un jeudi par semaine. Mais, si on passe au mois, on dira «les mardis et jeudis de chaque mois», car il existe plusieurs mardis et jeudis dans le mois.
On lie le tout par un trait d'union. On écrit donc « profite bien » et « profites-en bien ». Attention – cas particulier du cas particulier, c'est le comble ! – si les pronoms « en » ou « y » dépendent d'un infinitif et non directement du verbe à l'impératif, il n'y a ni « s » ni trait d'union.
Lorsqu'un nom de jour au pluriel est suivi du mot « matin » (ou « soir »), « matin » (ou « soir ») reste généralement au singulier, car on sous-entend « au matin » (ou « au soir »). Dans cette expression, le pluriel à « matin » et à « soir » n'est pas admis par tous les dictionnaires.
Les VERBES conjugués s'accordent en nombre et en personne avec le nom noyau de leur sujet. Ce sujet peut être un pronom ou un groupe nominal plein. Il précède souvent le verbe, mais il arrive qu'il soit postposé au verbe. Le sujet du verbe chanter et le pronom chacun qui est singulier de manière inhérente.
Sans commentaire!
(S'écrit au singulier lorsqu'il s'agit d'une réplique, mais sans commentaires est attesté dans d'autres contextes.)
On écrit une fois pour toutes avec un s , le dernier mot est au pluriel. Même chose dans la variante une bonne fois pour toutes .
Concrètement, cette prise de responsabilité s'exprime par des formules telles que « Je vous présente mes excuses » ou « Je suis navré ». Il est en effet important que vous énonciez ouvertement vos remords.