Si tant est que (= à supposer que, s'il est vrai que) se construit avec le subjonctif : vous n'avez plus rien à craindre, si tant est que vous ayez jamais rien craint.
Si tant est que (+ subjonctif) : si tant est qu'il puisse s'exprimer.
Si tant est que, suivi du subjonctif, dans la mesure où, s'il est vrai que. Si tant est que la chose soit comme vous dites, il faudra y prendre garde.
si ce n'est.
Mode verbal après si. Bien que le verbe ne puisse être employé au conditionnel lorsque si exprime une condition, tant le conditionnel que le futur sont admis dans le cas où si véhicule une idée de concession. Le conditionnel est aussi correct lorsque si introduit une interrogation indirecte.
Locution conjonctive utilisée pour souligner que l'aboutissement d'un fait ne peut dépendre que d'un élément ou d'une personne, excluant ainsi tous les autres facteurs. Exemple : Personne d'autre ne peut faire ce trajet, si ce n'est moi.
La locution conjonctive en tant que signifie selon que, autant que, elle ne porte ainsi aucune signification temporelle. De fait, elle s'écrit toujours en tant que. Si l'erreur est souvent commise de l'écrire en temps que, c'est simplement parce qu'elles ont exactement la même prononciation phonétique.
Adverbe de manière, tant est invariable. Exemple : Nous avons tant attendu ce moment. Nom commun masculin invariable.
4. Si… que, encadrant un adjectif ou un adverbe, introduit une subordonnée concessive ; quelque… que : Si mal qu'il ait agi, il faut lui pardonner. (Avec un adjectif, on peut employer si… soit-il : Si aimable soit-il.)
adverbe et nominal. Tant que, exprime qu'une action ou qu'une qualité portée à un très haut degré devient la cause d'un effet. ➙ tellement.
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Pour exprimer une hypothèse (incertain) : si + imparfait → verbe 2 au conditionnel présent.
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative. Par ex. dans le dialogue du podcast, on peut entendre : – Ok, comme toujours, à 5 heures devant la cafétéria ?
L'Académie française note par ailleurs que l'expression «autant que de (besoin, raison)» est incorrecte. Elle est en réalité une forme déformée de «en tant que de (besoin)» qui signifie «dans la mesure où cela est raisonnable».
alors, après, assez, aujourd'hui, aussi, autant, avant, avec, beaucoup, bientôt, chez, combien, comment , dehors, déjà, demain, depuis, derrière, dessous, dessus, devant, donc, encore, enfin, ensuite , hier , jamais , là-bas, loin, longtemps , maintenant, mais, même, mieux, moins, parce que, peut-être, plus, pourquoi, ...
« Tant » est un adverbe de quantité qui signifie « tellement ». Il peut aussi s'agir d'une conjonction de subordination qui signifie « aussi longtemps que » → « tant que ». « Temps » est un nom commun qui désigne un moment, une période. « T'en » est la contraction de « te » + « en ».
–> Dans les expressions « comme tel » ou « en tant que tel », « tel » s'accorde avec le nom auquel il se rapporte. Exemple : « Elle a toujours été considérée comme telle / en tant que telle.
Tant, t'en, tan, taon, temps, tend(s) - cours. Rappel : Un homonyme est un mot qui a le même son qu'un autre mot, mais pas le même sens.
"Ne serait-ce que" signifie au minimum, au moins, même si c'est seulement dans une phrase comme : Viens passer quelques jours avec nous l'été prochain, ne serait-ce que deux ou trois / il a besoin de lunettes, ne serait-ce que pour conduire et lire.
Il faut écrire : La réunion s'est déroulée sans incident. Si « c' » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « la réunion cela est déroulée sans incident » ne veut rien dire. On n'écrit donc pas « c'est », mais « s'est ».
La phrase subordonnée introduite par la conjonction « si » se place librement où l'on veut dans une phrase.
Pourquoi n'écrit-on pas « si j'aurais su » ? Parce que la présence de la conjonction si exprime déjà une condition ou une supposition, inutile alors d'en ajouter une autre en employant le conditionnel. le verbe placé après si . Ce verbe-là est donc toujours à un temps passé de l'indicatif.