Dans de nombreux cas, on peut employer indifféremment le singulier ou le pluriel : un couple sans enfant(s) (On peut avoir un ou plusieurs enfants.) un voyageur sans bagage(s) (On peut avoir un ou plusieurs bagages.)
En dehors de certains cas définis par l'usage (comme « sans détour », « sans encombre »), le nom qui suit « sans » se met au singulier ou au pluriel selon qu'il désigne une ou plusieurs choses manquantes. > Ce film muet narre une histoire sans paroles. (Une histoire comporte d'habitude plus d'une parole.)
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
On mettra le nom qui suit la préposition «sans» au pluriel lorsque ce dernier qualifiera quelque chose de concret, un ensemble duquel il manque plusieurs éléments. On ne dira pas, par exemple, qu'un «message est écrit sans faute» car on imagine qu'une coquille n'arrive jamais seule.
Difficultés. Le nom qui suit la préposition sans se met au singulier ou au pluriel, selon le sens. Ainsi, on écrit une jupe sans ceinture (car une jupe ne peut avoir qu'une seule ceinture) mais un manteau sans boutons (car un manteau possède habituellement plusieurs boutons).
Après la préposition sans, la grammaire n'impose ni le singulier ni le pluriel. C'est le sens et l'usage qui décident.
Le mot qui suit la préposition sans prend la marque du pluriel quand il renvoie à plusieurs éléments. Elle lit avec ses doigts des livres sans mots.
sans : préposition exprimant l'absence ou la privation : « Elle marche sans ses béquilles ». Elle fait également partie de la locution conjonctive sans que. Il est impossible de la remplacer par le verbe sentir, ni par m'en ou par t'en. Tu es parti sans souper.
Quand on parle d'une seule chose ou d'une seule personne, c'est le singulier. On peut mettre les petits mots « un », « une », « le » ou « la » devant un nom au singulier. Quand on parle de plusieurs choses ou de plusieurs personnes, c'est le pluriel.
En effet, si l'on écrit au singulier «je n'ai aucune nouvelle», on note au pluriel «sans nouvelles de toi».
Sans est une préposition qui exprime le manque, l'absence.
On écrit toujours au singulier certaines expressions comme sans foi ni loi ou sans tambour ni trompette, de même que sans commentaire, sans délai, sans difficulté, sans doute, sans effort, sans égard, sans encombre, sans regret, etc. On écrit au pluriel sans ambages et sans nouvelles.
On peut écrire "Sans sucre ajouté" sur une bouteille de jus d'orange parce que lors la préparation de ce jus de fruit, personne n'a pris du sucre de table et ne l'a ajouté au jus. Il n'y a pas eu d'ajout de sucre.
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
Sans commentaire!
(S'écrit au singulier lorsqu'il s'agit d'une réplique, mais sans commentaires est attesté dans d'autres contextes.)
Absence de déterminant: avec, sans, hors, outre, pour, par et sur. Le déterminant n'apparaît couramment que si la phrase contient une autre négation.
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
Sans sucreS au pluriel : cela signifie que le produit alimentaire ne contient pas de sucres simples : ni de glucides, ni de fructose, ni de saccharose, ni lactose… Toutefois, il y a une tolérance réglementaire : 0.5g de sucre maximum pour 100g ou 100mL.
Pour écrire des textes qui vont droit au but, mieux vaut utiliser le style verbal. Il est plus vivant, car les verbes mettent le texte en mouvement et ce dernier devient donc plus agréable à lire. Les phrases rédigées en style verbal sont aussi souvent plus faciles à comprendre que les constructions nominales.
Formule la plus courante pour dire à quelqu'un qu'on l'aime. Je t'aime à la folie.
La plupart de nos fautes d'orthographe sont dues à l' inattention ; en faisant des efforts, on arrive à en corriger soi-même la majeure partie. Toutefois, tu peux être “fâché avec l'orthographe” pour des raisons plus profondes.