Comme le mot starfoullah provient de la déformation d'un mot arabe, notée en alphabet latin, il possède plusieurs graphies différentes : starfoulah , starfallah , starfirallah , etc.
Définitions de « starfoullah »
Il est dérivé de astaghfirullah, qu'on peut traduire par « je demande pardon à Allah, que Dieu me pardonne ».
Elle est utilisée durant la prière, pendant que toute personne désire faire du dikhr, après les prières obligatoires et à tout moment de la journée où le musulman souhaite demander pardon à son Seigneur.
Étymologie. (Vers 2017) De l'arabe أستغفر الله , ʾastaḡfirullāh.
Quand dire starfoullah ? Traditionnellement, dans son caractère religieux, Starfoullah s'utilise à tout moment quand une personne de confession musulmane souhaite demander pardon à Allah. Aujourd'hui l'expression est utilisée par les jeunes quand ils sont surpris ou choqués, mais aussi indignés.
Mahomet a ainsi voulu préserver le mariage en instaurant la nécessité de réitérer, par trois fois successives (et non simultanées), la formule de répudiation qui met fin à la vie commune et fait entrer la femme en 'idda, période de retraite ou de continence, ou en délai de viduité (ce qui permet notamment d'éviter les ...
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
Étymologie. De l'arabe ما شاء الله , mā šāʾAllāh (« Dieu l'a voulu »), composé de ما , ma (« que »), شاء , sha (« vouloir ») et الله , Allāh (« Dieu ») → voir Mashalla et Allah.
"Je t'aime maman" se dit en arabe : "أحبك يا أمي" (Ahbak ya ummi).
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien.
Al-Fatiha (arabe : سُّورَةُ الفَاتِحَة, Sūrat al-Fātiḥah) est la sourate d'ouverture du Coran, le livre sacré des musulmans.
Que veut dire le mot starfoullah ? – Le mot starfoullah est un emprunt à l'arabe. C'est une déformation de astaghfirullah, qui peut se traduire par « je demande pardon à Allah, que Dieu me pardonne ».
Al-ḥamdu li-l-lāh (arabe : ٱلْحَمْدُ لِلَّٰهِ, « Dieu soit loué », littéralement, « louange à Allah ») est une expression d'action de grâce, principalement utilisée par les musulmans.
Pour les personnes âgées, si l'on possède beaucoup mais que l'on n'est pas satisfait, c'est un signe de manque de baraka ; en revanche, si on possède peu sans se plaindre et tout en étant bien, cela signifie qu'on a la baraka. La baraka la plus évoquée est celle d'Allah.
L'expression est aussi utilisée pour marquer en général le désir et l'espoir de voir se réaliser un événement dans l'avenir.
En résumé, « Inchallah » est utilisé pour parler de l'avenir et de la volonté de Dieu pour les événements futurs, tandis que « Mashallah » est utilisé pour exprimer l'admiration et la gratitude envers les choses que Dieu a déjà accordées ou créées.
« Ô Mes serviteurs qui avez commis des excès à votre propre détriment, ne désespérez pas de la miséricorde d'Allâh. Car Allâh pardonne tous les. Oui, c'est Lui le Pardonneur, le Très Miséricordieux ». (Coran 39/53) « Crains Allah où que tu sois!
Le contraire de harām est halāl (حلال), qui désigne tout ce qui est permis par la charia. L'adjectif harām est distinct du nom arabe Haram, qui désigne un quartier saint. Le terme « interdit » est déjà utilisé dans le Coran pour désigner le terme harām.
Considéré comme l'un des grands chefs de l'armée musulmane, Qays ibn Sa'd est connu pour sa défense inébranlable dans les batailles. Son désir de purifier son âme lui valut l'honneur d'être l'un des grands compagnons du prophète islamique Muhammad.
Il est usuel de répondre par la phrase Wa alaykum assalam (وَعَلَيْكُمُ ٱلسَّلَامُ) (« Et sur vous soit la paix ») ou l'une de ses variations.
"Allahou Akbar" ou "Allahu akbar" signifie "Dieu est le plus grand" en arabe. Il faut ajouter le son "ou" à la fin du mot "Allah", qui désigne Dieu, pour respecter la grammaire exacte. Cette formule est très utilisée en islam et elle est appelée le "takbir".
La chahada est aussi prononcée lors de l'appel à la prière, qui est fait cinq fois par jour par le muezzin dans les pays musulmans, ou simplement par l'imam dans les pays où l'appel à la prière n'est pas public.