Prenez le temps de l'écouter et aidez-le à communiquer ses sentiments. En cas de crise déclenchée par le stress, restez calme, rassurant, ne le grondez pas et ne le forcez pas. Exemple : si votre passage chez le coiffeur ne se passe pas comme vous l'espérez, ne cherchez pas à immobiliser votre enfant.
Restez toujours calme
Si vous voyez que votre patient autiste fait une crise parce qu'il est frustré, évitez de vous énerver à votre tour. Au contraire, parlez-lui calmement et rassurez-le en essayant de mettre des mots sur la situation frustrante qu'il vit.
Privilégiez l'interaction avec l'enfant
Vous pouvez aussi porter l'enfant, le faire tourner, le faire sauter ou le chercher. En plus d'occuper votre enfant, ces temps vous permettront de partager des moments privilégiés avec lui.
Dire non quand on peut dire oui
"Est ce que je peux avoir un biscuit maman ?" Au lieu de lui dire immédiatement "non", vous pouvez dire "tu pourras avoir un biscuit quand tu auras fini de manger". Pour chaque “non” (parce que parfois, la réponse ne peut être que “non”), essayer d'offrir deux "oui".
Les personnes avec autisme ont une propension à se passionner pour un domaine particulier, à accomplir une tâche jusqu'au bout. En outre, elles peuvent aimer réaliser une tâche ou une activité qui est généralement moins appréciée par d'autres (comme faire la vaisselle, s'occuper du compost, etc.).
reconnaître son émotion, la nommer, et essayer d'identifier son besoin, entrer en empathie avec l'autre, se situer sur le terrain des émotions, l'aider à décharger son trop-plein d'émotions, avec un enfant: contact physique, douceur, câlin…
Les signaux peuvent être : se sentir étourdi ou irrité, ne plus avoir l'énergie de parler, bafouiller, être débordé par ses émotions, s'énerver sans raison, crier, s'agiter, faire les cent pas, pleurer.
Aménagez un endroit calme. Trouvez un espace chez vous dans lequel l'enfant peut se calmer et se sentir en sécurité. Expliquez-lui qu'il ne s'agit pas d'un lieu de punition. Au début, il est possible que vous ayez à lui rappeler de s'y réfugier lorsqu'elle est contrariée.
Un bébé autiste peut dormir beaucoup, énormément même, sans être incommodé par la faim ou une couche sale. Ce sont souvent des bébés très sages.
La thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la thérapie sur la communication et le langage, ainsi que les prises en charge éducatives individualisées de type TEACCH ou Denver peuvent elles aussi aider à mieux appréhender ces symptômes.
anticiper l'impact des comportements agressifs et violents ; tenir un journal comportemental si vous suivez régulièrement un patient autiste ; diminuer les réactions liées aux sensibilités sensorielles spécifiques de votre patient ; adapter votre communication.
L'autisme atypique constitue un trouble envahissant du développement non spécifié. Il se distingue de l'autisme infantile de par l'âge de son apparition ainsi que sa symptomatologie. Ce trouble neurologique survient après trois ans à travers des anomalies du développement.
L'écholalie est un trouble du langage qui se manifeste par la répétition du dernier mot, de la dernière syllabe ou même de la dernière phrase entendue. Bien que sans caractère grave, cette maladie peut profondément impacter l'état psychologique du patient, et plus particulièrement ses relations avec autrui.
La modification de la situation : la modifier lorsqu'elle devient désagréable ; Le détournement de l'attention : penser à autre chose ; La réévaluation cognitive : changer son regard sur une situation ; La modulation de la réponse : moduler sa réaction une fois l'émotion ressentie.
Le patrimoine génétique du père serait davantage impliqué dans le trouble du spectre autistique (TSA) des enfants que celui de la mère, d'après une nouvelle étude parue dans Cell Genomics. La découverte concernerait uniquement les familles où au moins deux enfants sont atteints de TSA.
C'est une question qui revient souvent, car c'est l'un des signes d'autisme que l'on repère le plus facilement. Se balancer est une forme d'autostimulation qui permet à la personne de s'autoréguler. Mais ce n'est pas la seule forme d'autostimulation et ce n'est pas tous les autistes qui se balancent.