Augmenter l'aération, ouvrir les fenêtres et les portes
Pour un meilleur renouvellement d'air, l'aération la plus efficace est réalisée en ouvrant le maximum de fenêtres et de portes. Sera notamment privilégiée l'aération transversale qui consiste à ouvrir sur des côtés opposés de la salle.
Il existe trois pistes pour réduire la quantité de gaz carbonique dans l'atmosphère : arrêter de brûler des combustibles fossiles ; capter le CO2 juste après la combustion pour l'empêcher de s'échapper dans l'air ; ou l'éliminer de l'atmosphère une fois qu'il s'y trouve.
Étant donné que le gaz ne monte et ne descend qu'en se mélangeant à l'air qui l'entoure, vous ne pouvez pas simplement suspendre un détecteur de monoxyde de carbone au plafond et vous attendre à ce qu'il fonctionne efficacement.
Le mois de mai est généralement celui qui enregistre un taux de dioxyde de carbone (CO2) le plus élevé chaque année. En mai 2022, la barre des 420 parties par million (ppm), unité de mesure utilisée pour quantifier la pollution dans l'air, a été franchie. En mai 2021, ce taux était de 419 ppm, et en 2020, de 417 ppm.
Les premiers symptômes et les plus fréquents sont des céphalées, des asthénies, des nausées et vomissements. Ces signes peuvent parfois orienter le diagnostic à tort vers d'autres pathologies (intoxication alimentaire récente ou récidivante sans diarrhée, syndrome grippal sans fièvre).
800 ppm : provoque des maux de tête, vertiges et nausées. Cette concentration en CO entraîne la perte de connaissance en 45 min, et la mort en 2 à 3 heures. 12 800 ppm : entraîne la perte de connaissance immédiate et la mort entre 1 et 3 minutes.
La seule façon fiable d'être alerté rapidement de sa présence anormale est d'avoir recours à un détecteur avertisseur de monoxyde de carbone.
Les traces d'humidité peuvent être un autre signe de présence de CO. De la condensation inhabituelle sur une fenêtre ou sur une table peut indiquer que du monoxyde de carbone s'accumule. L'environnement de la pièce est ici un indice et la pression est un indicateur.
Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz incolore, inodore, toxique et potentiellement mortel qui résulte d'une combustion incomplète, et ce quel que soit le combustible utilisé : bois, butane, charbon, essence, fuel, gaz naturel, pétrole, propane. Il diffuse très vite dans l'environnement.
Dans un premier temps, il faut capter le CO2. « Les usines de capture directe de l'air ont généralement recours à de grands ventilateurs pour aspirer l'air ambiant, puis piéger les molécules de dioxyde de carbone à l'aide de solvants liquides ou de sorbants solides », explique Usbek et Rica.
L'océan agit sur les mécanismes de transfert de chaleur et d'humidité de part et d'autre du globe mais il absorbe également une part importante du C02 produit par les activités humaines.
Le dioxyde de carbone est un polluant que l'on trouve dans l'air intérieur et extérieur. À l'intérieur, le CO2 est principalement produit par la respiration des occupants, mais peut également provenir des sources suivantes : fumée du tabac. appareils de combustion non ou mal raccordés.
Les sources naturelles incluent la décomposition, le rejet océanique et la respiration. Les sources humaines proviennent d'activités telles que la production de ciment, la déforestation et l'utilisation de combustibles fossiles, comme le charbon, le pétrole et le gaz naturel.
Lorsqu'une pièce n'est pas aérée, le dioxyde de carbone (CO2) a tendance à s'y accumuler. C'est pourquoi la ventilation est importante et doit être effectuée très régulièrement. En effet, un taux trop important de CO2 augmente la fréquence des micro-réveils et altère donc la qualité du sommeil.
Des appareils de chauffage mal entretenus et une mauvaise aération des locaux peuvent provoquer ce type d'intoxication. La présence de ce gaz résulte en effet d'une combustion incomplète, et ce quel que soit le combustible utilisé : bois, charbon, gaz, fioul...
À la maison, les sources d'émanations de monoxyde de carbone sont multiples: Les cheminées, les appareils ménagers à gaz (cuisinière, four, réfrigérateur, etc.), les systèmes de chauffage et les chauffe-eau à combustion; Les véhicules et les autres appareils à combustion (tondeuse, souffleuse, etc.)
Les symptômes : maux de tête, fatigue, nausées apparaissent plus ou moins rapidement et peuvent toucher plusieurs personnes dans un même foyer. Une intoxication importante peut conduire au coma et à la mort, parfois en quelques minutes. Il faut donc agir très vite.
Le monoxyde de carbone provient de la combustion incomplète de matières carbonées (gaz naturel, bois, charbon, butane, essence, fioul, pétrole, propane). Ce phénomène est dû à : une quantité insuffisante d'oxygène dans l'air (pièce calfeutrée, aération insuffisante, entrée d'air bouchée…)
Le monoxyde de carbone (CO) est un des composants oxygénés du carbone les plus connus avec le dioxyde de carbone (CO2), plus communément appelé gaz carbonique. La confusion entre ces deux gaz est fréquente bien qu'ils diffèrent totalement, surtout par leur toxicité.
L'utilisation de capteur infrarouge non dispersif (NDIR) est aujourd'hui la plus répandue et la plus fiable des techniques. La mesure du CO2 devient de plus en plus importante pour notre confort et notre sécurité.
Quelles sont donc les règles à respecter pour limiter les risques d'intoxication alimentaire ? avant et pendant la préparation des repas, bien se laver les mains avec de l'eau et du savon ; éviter de préparer les repas en cas de symptômes de gastro-entérite.