Dans la grande majorité des cas, la sonde JJ est retirée en ambulatoire par votre chirurgien grâce à un appareil (un cystoscope) qui permet de regarder dans la vessie puis attraper la sonde à l'aide d'une pince très fine. Le geste est fait sous anesthésie locale. Parfois, un fil est attaché à la boucle inférieure.
Le geste est fait sous anesthésie locale, ne nécessite pas d'hospitalisation (cela prend quelques minutes) et n'est absolument pas douloureux.
Le rôle des sondes double-J est de drainer l'urine d'une manière temporaire. Il faut les retirer ou changer dans un délai de moins de 6 mois. Autrement, elles peuvent se calcifier, obstruer le passage dans l'uretère, être responsable d'une dilatation des cavités rénales et même la destruction totale du rein.
Retrait de la sonde JJ
L'ablation de la sonde sera réalisée par votre urologue. Elle peut être faite sous anesthésie générale au cours d'une courte hospitalisation ou bien sous anesthésie locale en consultation.
Forcez comme pour uriner et tirez délicatement sur la sonde pour l'enlever. Si vous sentez une résistance : - Arrêtez de tirer sur la sonde. - Vérifiez s'il reste du liquide avec la seringue. - Faites une autre tentative de retrait.
Si la sonde n'est plus nécessaire, le médecin va donner la consigne à l'infirmière de la retirer, or ce geste est souvent repoussé au lendemain pour des raisons logistiques. Ainsi, des heures, voire des jours, peuvent se passer avant qu'une sonde urinaire ne soit retirée.
Les plus connus sont les exercices de Kegel. Ils sont efficaces pour une rééducation en cas de fuites urinaires. Il est nécessaire de les pratiquer régulièrement pendant au moins 3 mois, parfois 6, avant de passer à un rythme moins soutenu.
La pose d'une sonde urinaire se fait sous anesthésie et n'engendre généralement pas de douleurs. En revanche, elle peut entraîner des infections urinaires et des lésions tissulaires au niveau de l'urètre et du méat urinaire, des calculs vésicaux ou encore des spasmes de la vessie.
Buvez de l'eau en quantité suffisante pour que vos urines restent rosées et pour éviter la formation de caillots de sang dans la vessie. Si vous avez : Des envies trop pressantes ou trop fréquente d'uriner. C'est lié à la présence de la sonde dans votre vessie.
Quand l'urine produite par un rein ne peut plus s'écouler dans l'uretère (canal qui va du rein à la vessie), à cause de calculs bloqués par exemple, le chirurgien peut placer une sonde en « double J » qui va permettre à l'urine de s'écouler.
L'eau du robinet, ou une eau en bouteille faiblement minéralisée (Évian, Volvic, eau de source...) fait parfaitement l'affaire. Lorsqu'il s'agit de calculs à base d'acide urique, une eau gazeuse riche en bicarbonates (Badoit, La Salvetat, Perrier...) diminuera l'acidité des urines et préviendra ainsi leur formation.
Il est possible de se baigner avec une stomie. Mer, piscine, douches et bains sont autorisés. Pour les patients colostomisés et selon la localisation de la stomie, il est possible d'utiliser une mini-poche qui permet de se baigner en toute sécurité.
La sonde JJ est un tube souple et fin (environ 3 mm de diamètre) dont les extrémités forment chacune une boucle (d'où le terme double J) ce qui permet à la sonde de rester en place entre le rein et la vessie.
Quand vous êtes allongé, le tuyau de la sonde doit être sur la jambe (et non dessous). Ne dormez pas avec la poche dans le lit. Pour permettre le bon écoulement des urines vérifier régulièrement que l'ensemble du système soit perméable (ne soit pas coudé).
Comment savoir si un calcul rénal est parti ? Il n'existe pas de manière certaine de savoir si un calcul rénal est parti. En effet, les calculs rénaux peuvent se dissoudre spontanément ou être éliminés par les reins sans provoquer de symptômes.
Traitements chirurgicaux
La majorité des calculs qui ne s'éliminent pas spontanément peuvent être enlevés ou détruits grâce à des techniques mini-invasives. Parmi celles-ci la lithotritie extracorporelle, l'urétéroscopie (souple ou rigide, avec ou sans utilisation d'un laser) ou la chirurgie percutanée.
Relaxez-vous, ne vous inquiétez pas et essayez à nouveau. En générale, les difficultés à retirer la sonde sont dues à un état de contraction du sphincter. Tousser peut aider à décontracter les muscles. Ne forcez jamais pour sortir la sonde et n'essayez jamais de découper la sonde.
Une sonde urétérale est un tube souple et fin placé dans l'un de vos uretères ou les deux. Cette sonde est aussi appelée double J à cause des boucles qu'elle a à chaque bout et qui lui permettent de rester bien en place. Elle ouvre le passage pour permettre à l'urine de couler.
Allongés sur le dos, les mains le long du corps et les jambes fléchies, prenez une grande inspiration. À l'expiration, soulevez le bassin et positionnez-vous en demi-pont, en contractant votre périnée. Maintenez la contraction pendant 10 secondes, puis relâchez à fond. Répétez l'opération 10 fois.
Le sondage urinaire a des risques. Le principal risque est la survenue d'infections urinaires. Celles-ci sont le plus fréquemment des infections nosocomiales.
Boire beaucoup d'eau permet de laver la vessie et de nettoyer l'urètre. Entretenir une bonne hygiène assure l'élimination des microbes. S'essuyer vers l'arrière après la selle est très important : cela évite de transporter les germes vers l'urètre. L'hygiène intime, si elle doit être régulière, doit aussi rester douce.
Ce médicament est un antispasmodique. Il lutte contre les contractions anormales et douloureuses de l'intestin, des voies biliaires, des voies urinaires et de l'utérus.