Il existe deux formes de recrutement dans l'année : le formel et l'informel. On peut rejoindre une fraternité ou une sororité à n'importe quel moment de l'année de façon informelle. Le recrutement formel, qui concerne la majorité des nouveaux membres, débute à la rentrée universitaire.
1- Pourquoi rejoindre une sororité ? Entrer dans une sororité c'est l'occasion d'étendre ses réseaux sociaux et professionnels, de prendre part à des activités autant philanthropiques que festives et de créer des liens forts, qui dureront plusieurs années après le diplôme.
Une sororité est un groupe de femmes tel qu'ils se sont développés dans les universités américaines, soit l'analogue féminin des fraternités.
Une fraternité ou sororité est souvent appelée aussi une « maison grecque » ou simplement « maison », des termes qui sont parfois trompeurs car ces confréries n'ont pas obligatoirement une véritable maison pour se réunir.
N'intégrez pas une fraternité parce que d'autres personnes veulent que vous le fassiez. Faites-le uniquement si vous en avez envie. Trouvez quelques bonnes raisons et tenez-vous-y. Vous n'avez vraiment pas intérêt à donner une raison à une fraternité et en servir une autre à une autre fraternité.
Le terme d'adelphité, plus « neutre » et surtout plus inclusif, regroupe à la fois la fraternité et la sororité, sans dimension ni mention genrée ; et désigne la solidarité entre ses semblables, qu'ils soient hommes, femmes ou non binaires.
A la fraternité répond désormais la sororité, comme outre-Atlantique « brotherhood » s'est vu opposer « sisterhood » – un terme popularisé par l'ouvrage de Robin Morgan, Sisterhood is Powerful, publié en 1970.
Le terme de sororité, popularisé par les féministes dans les années 70, réemployé aujourd'hui au-delà des cercles militants, s'est ainsi construit en opposition au concept de fraternité, pour rendre visible les femmes, favoriser l'entraide entre elles et la lutte contre le patriarcat.
Rejoindre une fraternité ou une sororité vous donne un accès instantané à un groupe social, ainsi qu'à un flux constant d'événements sociaux, des fêtes aux lieux de rencontre à la maison et même aux événements philanthropiques.
Fraternel. La notion fraternelle comprend deux définitions. La première définition s'appuie sur le lien de parenté, et définit le fraternel comme ce qui est «propre à des frères et sœurs». La seconde définition est d'ordre affectif, «qui évoque l'affection que l'on se porte habituellement entre frères et sœurs».
sororal, sororale, sororaux
1. Qui concerne la sœur, les sœurs : Héritage sororal. 2. Se dit d'une famille dans laquelle un groupe de sœurs avec leurs enfants sont placés sous l'autorité de leur frère aîné.
Liberté, Égalité, Fraternité
Le mot adelphité est formé sur la racine grecque adelph- qui a donné les mots grecs signifiant sœur et frère, tandis que dans d'autres langues (sauf en espagnol et en portugais, ainsi qu'en arabe), sœur et frère proviennent de deux mots différents.
fraternelle. Qui a trait aux frères et soeurs.
Résumons-nous: le premier, c'est l'aîné, le dernier, c'est le benjamin, mais le cadet, c'est soit le deuxième, soit celui qui suit directement n'importe lequel des autres, soit le dernier de la famille, donc un synonyme de benjamin.
Adelphe est un mot issu du grec ancien, qui a d'abord été employé dans le domaine de la botanique. Il a ensuite désigné un enfant ayant les mêmes parents que le locuteur. Pour faire plus simple, l'adelphe de quelqu'un, c'est son frère ou sa sœur.
Étymologie. Du latin fraternitas , dérivé de frater (« frère »).
La Deuxième République, du 24 février 1848 au 2 décembre 1852 ; La Troisième République, du 4 septembre 1870 au 10 juillet 1940 ; La Quatrième République, du 13 octobre 1946 au 28 septembre 1958 ; La Cinquième République, depuis le 28 septembre 1958 .
France République française - LAROUSSE.
"Liberté, égalité, fraternité" est la devise de la République française. Elle orne les bâtiments publics. Choisie en 1848 sous la IIe République, elles s'inspire des principes de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789.
cadet, cadette
Se dit de celui des enfants d'une famille, qui vient après l'aîné. 2.
Ensuite, c'est le frère ou la soeur cadet (appelé aussi puiné). Le benjamin désigne le petit dernier d'une fratrie. Ainsi, dans une fratrie de trois enfants, l'ainé sera la premier, le cadet sera le second et le troisième enfant sera le benjamin.
Dans cette utilisation, il est considéré comme synonyme du mot « puîné ». Quand on parle de l'ensemble des enfants, « cadet » désigne l'enfant qui vient après l'aîné.
Sœur par le père ou la mère seulement.