Le plus célèbre des vêtements de Jésus demeure sans conteste la tunique inconsutile (sans couture) que la Vierge aurait tissée pour son fils, et que les Évangiles décrivent comme ayant été tirée au sort par les soldats romains après la crucifixion (Jean, 19, 23-24).
Ils portent sous le manteau (simba) deux tuniques : une épaisse de dessus (chetoneh, robe du type himation), une légère par-dessous (sadin, chemise du type chiton). Le partage a ainsi impliqué ces tuniques mais peut-être aussi les sandales du Christ, sa ceinture et son caleçon.
Plus petit et plus musclé Les scientifiques ne représentent pas, en revanche, le corps de Jésus, ils rappellent néanmoins que les hommes sémites de cette époque mesuraient en moyenne 1m55 et pesaient 49 kilos, selon l'analyse de plusieurs squelettes, précise Popular Mechanics.
► Pourquoi est-elle conservée à Argenteuil ? Cela fait 1200 ans que la Sainte Tunique est conservée dans cette commune de la banlieue nord de Paris, où elle reste en temps normal roulée dans un reliquaire de la basilique.
Il n'existe que trois vêtements reliques de Jésus dans le monde, dont une exposée jusqu'au 10 avril à la basilique d'Argenteuil. Une relique sainte exposée deux fois par siècle, des milliers de dévots attendus... nous ne somme pas au Vatican mais... à Argenteuil.
Les coutumes vestimentaires liées au christianisme
La chasuble : grande robe ample portée par les prêtres catholiques et orthodoxes, lors de la messe. La robe noire ou tenue du quotidien pour le pasteur. Le foulard : porté par certaines femmes chrétiennes en Orient, selon certaines recommandations de la Bible.
Pour l'abbé Pierre Caussel (1651-1728), Jésus-Christ, depuis l'âge de douze ans jusqu'à trente ans environ, « demeura à Nazareth dans la maison de saint Joseph, travaillant de ses mains ».
Si son histoire est liée à la Sainte-Chapelle, puisqu'elle est bâtie pour en être le premier reliquaire, elle fait désormais parti du trésor de Notre Dame. Sauvée des flammes le 15 avril 2019, elle est désormais à l'abris dans une annexe de la Cathédrale, l'Eglise Saint-Germain l'Auxerrois.
Condamné à mort, Jésus doit porter sa croix pendant la montée au Golgotha où il est ensuite crucifié. En fait, dans la tradition historique romaine, le condamné ne porte véritablement que le bras horizontal (patibulum) devant former la croix par fixation sur le bois vertical déjà planté sur le lieu du supplice.
Le qamis est le vêtement que portent les hommes musulmans, en règle générale, pour se rendre à la mosquée prier.
L'araméen, la langue de Jésus. L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus-Christ.
Léonard de Vinci l'a également représenté plus jeune. Il le dessinera, dans d'autres œuvres, adolescent, charmant et d'allure presque féminine, participant au rajeunissement de Jésus dans toute la peinture de la Renaissance.
Le Saint Calice est la coupe utilisée par Jésus-Christ et ses douze disciples au cours de la Cène, repas qu'ils prirent pour commémorer ensemble la Pâque juive, à la veille du jour où Jésus allait être livré aux Romains, qui le crucifièrent.
L'habillement caractéristique de Marie est une robe rouge, recouverte d'un manteau bleu. Le rouge signifie son lien avec le monde terrestre. Le bleu (plus ou moins foncé) est la couleur spirituelle par excellence.
En hébreu, "Nazareth" signifie "le rejeton" ou "le surgeon", tel celui annoncé comme le Messie par le prophète Isaïe (Is. 11, 1). Nazareth est enfin le lieu où Jésus a grandi.
Curé: il a une longue robe marron. Chanoine: il a une grande robe noir et une sorte de gros gilet blanc. Pape: avec une croix à triple traverse et de grandes robes. Cardinal: avec son chapeau plat et rouge ( le galero) d'où pendait des houppes.
L'homme qui porte la croix dans les évangiles
dans l'évangile selon Luc : « Comme ils l'emmenaient, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus » (Luc).
Le bon Larron (du latin latro, « brigand ») est, selon les Évangiles synoptiques, un bandit crucifié avec son comparse, le Mauvais Larron, de part et d'autre de Jésus-Christ sur la croix. Pour la chrétienté, il représente le premier saint pénitent.
C'était Simon de Cyrène, le père d'Alexandre et de Rufus. Il existe une tradition marginale mais ancienne au sein du monde chrétien selon laquelle Simon de Cyrène – qui porta la croix de Jésus Christ – était noir. Elle est attestée au début du XVIIe siècle par le jésuite Cornelius a Lapide (1567-1637).
La couronne d'épines est sans doute la plus précieuse et la plus vénérée des reliques conservées à Notre-Dame. Selon le vœu de saint Louis, elle n'est montrée aux fidèles qu'à Pâques, jour de célébration de la résurrection du Christ trois jours après sa mort en croix.
Pour dater la naissance de Jésus, la plupart des auteurs antiques, et notamment les pères de l'Église, se basent uniquement sur le chapitre 3 de Luc, qu'ils interprètent en donnant à Jésus exactement 30 ans lors de la quinzième année du règne de Tibère, qu'il font démarrer en 14.
L'année zéro des astronomes
Une année zéro a été inventée par l'astronome Jacques Cassini en 1740 dans ses Tables astronomiques. En astronomie et plus particulièrement dans les calculs d'éphémérides, l'année zéro est donc celle qui précède immédiatement la première année de l'ère chrétienne.
En théorie, aucun aliment n'est interdit dans l'absolu au fidèle : les tabous concernant le porc ou d'autres espèces animales que définissait l'Ancien Testament ont été abolis depuis longtemps et la papauté a fini par abandonner aussi la prohibition du sang et des viandes dans lesquelles le sang est resté.
Ainsi les héros ne devaient porter que l'une des deux sandales pour conserver leur nature terrestre tout en s'élevant vers une nature plus divine et donc plus pure en protégeant leur pied du sol.