Même si l'enfant est en apprentissage, le bon exemple de l'adulte le guidera certainement vers la bienveillance. Développer un regard humain positif, descriptif et non accusateur. Manifester de la douceur dans le toucher et dans le ton, communiquer de la confiance dans le contact physique et psychique.
Il s'agit d'une éducation basée sur l'empathie et le respect de l'enfant, axée sur l'attitude du parent vis-à-vis de l'enfant.
Elle conduit aussi à faire confiance ou à laisser de la liberté sans avoir posé le cadre, au risque que l'autre en profite ou nous trahisse, ce qui conduit toujours à une réaction forte (méfiance, jugement, rigidité, violence).
Trop souvent, l'éducation bienveillante part dans un excès de laisser-faire, de laxisme, qui en fait n'est pas bon pour les enfants, qui souffrent de ne pas avoir de cadre.
La bienveillance c'est l'empathie, l'amour, la pleine conscience des émotions, un attachement, une sécurité affective mais aussi un cadre. La bienveillance implique des règles car un cadre posé est propice à une adhésion de l'enfant.
Le parent laxiste permet à son enfant de ne pas respecter les règles et les limites. Chez lui, l'enfant ne rencontre pas de contrainte, il est peu encouragé à faire preuve de persévérance. Le parent laxiste confond bienveillance, amour, liberté et frustration.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
Pensée positive : habituez votre enfant à penser qu'il a la force d'atteindre ses objectifs. Il y a des mots qui stimulent, qui donnent de l'allant et qui préparent au succès. « Je sais que tu peux le faire », « j'ai confiance en toi », « tu vas y arriver ». Des mots qui aident votre enfant à « penser » sa réussite.
Il est important d'être indulgente envers soi-même et ses enfants. Les erreurs sont humaines, il faut savoir se pardonner des écarts, et savoir aussi présenter ses excuses parfois. Mais il faut aussi savoir s'affirmer en se respectant et se faisant respecter.
Watch Une mère parfaite | Netflix.
L'éducation bienveillante propose une solution : en favorisant les capacités de l'enfant à exprimer ses besoins et émotions, elle lui permettrait à la fois de développer son individualité tout en rendant leur expression socialement acceptable.
La bienveillance se définit comme une attitude résolument tournée vers l'autre, se soucier de lui dans une relation de qualité. Découvrez ces 5 conseils pour cultiver votre bienveillance : La déployer au quotidien : le dire c'est bien, le faire c'est mieux. Soyez bienveillant par des actions simples et régulières.
Une personne bienveillante est caractérisée par une attitude relevant de la bienveillance, c'est-à-dire la capacité à se montrer compréhensif, indulgent et attentionné envers autrui. La bienveillance est une disposition d'esprit entièrement désintéressée.
La logorrhée n'est pas une maladie mais un symptôme.
Isolée elle n'est pas pathologique mais reflète souvent un émoussement émotionnel ou un trait de personnalité. Lorsqu'elle est accompagnée de symptômes psychiatrique et/ou neurologique, elle peut devenir pathologique.
Alors, le magazine Pèlerin nous révèle les neuf règles d'or pour se parler sans crier. C'est ce qu'on appelle la Communication Non Violente. Ne pas chercher à convaincre à tout prix, savoir écouter, ne pas juger, cela parait de bon sens et assez vertueux.
La confiance et le respect. Le respect, c'est la conscience de la limite entre soi et l'autre. Tous les comportements d'une personne en découlent. L'enfant ne naît pas avec cette conscience, il faut la lui transmettre et cela passe par le respect par les parents de leur enfant.
Les principes de l'éducation positive
Les jeunes enfants sont encouragés à exprimer leurs émotions et frustrations. Les parents privilégient ainsi une relation parent-enfant basée sur le dialogue. Avec l'éducation positive, les enfants sont incités à trouver des solutions à leurs problèmes par eux-mêmes.
les limites mises en place ne sont pas claires pour l'enfant, l'enfant ne vit pas les limites comme une orientation fiable mais réagit par peur d'être puni, les limites sont mises en place par les parents avec beaucoup de pression, l'enfant n'apprend pas à coopérer.