Ne tolérez pas la moindre provocation. Un « non » ferme est indispensable. Votre chiot n'a, par exemple, absolument pas le droit de grogner à votre encontre, quoi qu'il se passe. Si votre chien grogne après vous, votre relation est mal engagée, car il va bientôt passer à l'étape suivante : vous mordre.
Évitez les ordres peu clairs et les répétitions constantes
Si vous devez répéter « assis » six fois avant que votre chien ne s'exécute, et qu'il reçoit quand même une récompense ensuite, cela nuit à votre autorité et apprend à votre chien qu'il n'a pas besoin d'obéir immédiatement.
Respecter les besoins de son chien, est le tremplin vers une bonne cohabitation. Il a besoin de voir régulièrement d'autres congénères bien dans leurs pattes (pour ne pas qu'il devienne agressif), de faire des balades tous les jours même s'il a un jardin, de jouer avec son maître et de se sentir en sécurité.
Accueillir un chiot quand on travaille, c'est assurer des sorties quotidiennes et régulières. Votre chiot de 2 mois doit faire ses besoins, mais il ne peut pas se retenir plus de 2 heures d'affilée les premières semaines. Ainsi, au début, vous devez prévoir entre 8 et 10 sorties hygiéniques par jour.
dire un “non” incisif à votre chien. Dès que votre chien détourne le regard, félicitez-le d'un ton joyeux avec un “ouiii !” et donnez-lui la friandise. Le but est que votre chien comprenne que renoncer c'est gagner. Cet exercice est à répéter, et surtout à compliquer petit à petit.
Si votre chien ne vous écoute pas, cela peut également venir du fait que vous n'êtes pas cohérent avec lui. Un chien ne comprend pas le langage parlé. Ainsi, utiliser de longues phrases et changer régulièrement d'indication n'aide absolument pas votre chien à vous comprendre.
Pour apprendre à son chiot à rester seul, il faut l'occuper avec un jouet pour chiot ou un os à mâcher par exemple. A ce stade, il est important de vérifier que votre chiot ne pleure pas et ne gémit pas en votre absence, en vous plaçant à l'extérieur de votre maison ou appartement, à une distance raisonnable.
Vers quatre à cinq mois, les chiots auront appris à dormir seuls et à être indépendants pour quitter la meute. A savoir : même si vous rêvez de l'avoir près de vous dès son plus jeune âge, ne séparez pas votre chiot de sa mère trop tôt !
Vous serez alors en mesure d'entraîner votre chien à rester seul à la maison. Par exemple, ouvrez et fermez d'abord la porte d'entrée, puis sortez à l'extérieur et augmentez lentement le temps d'absence. Récompensez votre chien s'il reste calme et augmentez progressivement le temps d'absence.
Pour cela, vous pouvez utiliser un ordre (un petit mot court, par exemple « Look ») : à chaque fois que votre chien vous regarde et capte son attention sur vous, dites lui « Oui ! C'est bien Look », et en lui donnant une friandise.
Ignorez votre chiot qui mordille pendant quelques instants, pour qu'il comprenne les conséquences de son mauvais comportement. En général, une quinzaine de secondes suffisent. Si votre chiot mord à nouveau, à ce moment-là, quittez la pièce pendant une minute environ.
Avec les autres chiens, un individu dominant pourra se montrer agressif, provocateur ou bagarreur, et exprimera sa dominance par des attitudes caractéristiques : posture du corps droite et rigide, oreilles et queue dressées, regard insistant, défiance, bousculades, morsures...
L'action par l'inaction. Si vous constatez que votre chien agit mal afin d'avoir votre attention, le meilleur moyen de le punir sera de ne pas lui en donner. Si vous êtes constamment sur le dos de votre chien lorsqu'il fait une bêtise, vous pourriez l'inciter à en faire.
Le chiot doit être propre à l'âge de 4 mois, avec des petits retardataires jusqu'à l'âge de 6 mois. Les mâles auraient tendance à avoir plus de difficultés à apprendre la propreté. Soyez indulgent et rapide le matin : les premiers temps, faites vite sortir votre chiot pour qu'il fasse pipi.
L'éducation du chiot doit débuter le plus tôt possible, c'est-à-dire dès son arrivée dans son nouveau foyer, à partir de l'âge de 2 mois. Dès le début et chaque jour, votre animal doit comprendre et apprendre ce qu'il a le droit de faire et ce qu'il n'a pas le droit de faire, mais aussi ce que vous attendez de lui.
Cela dépend de chaque individu (taille, niveau d'activité, condition médicale, etc.). Au plus tard, votre chiot devrait dormir environ 8 heures de suite la nuit vers l'âge de 6 mois. Si ce n'est pas le cas, demandez à votre équipe vétérinaire de vous aider.
Deux solutions s'offrent à vous si vous travaillez toute la journée : Soit vous pouvez prendre une pause le midi suffisamment longue pour manger et proposer une balade à votre chien. Soit vous faites appel à un dog-sitteur qui viendra promener votre chien dans la journée.
Heures fixes : Il est important de sortir votre chiot souvent et selon un horaire strict. Il est conseillé de le sortir immédiatement après son réveil, après un exercice, 15 à 20 minutes après un repas et avant la nuit.
C'est à partir de 3 à 4 mois que ses sphincters vont être mâtures et lui permettre de rester propre notamment la nuit : certains sont précoces, d'autres non… il s'agit d'une moyenne.
Voici une règle pratique : la durée de la promenade doit être égale à l'âge du chiot, exprimé en semaines. En d'autres termes, si votre compagnon a dix semaines, promenez-le environ dix minutes par jour. Soyez attentif au moment où votre chiot fatigue. Durant la journée, faites environ quatre courtes promenades.
Pendant la première nuit avec votre chiot, vous pourrez l'entendre gémir ou même aboyer. Son horloge interne n'est pas encore réglée et la nuit il s'ennuie un peu ! Vous pouvez l'apaiser en lui parlant, ou même mettre la main sur la caisse. Mais laissez-lui l'espace et le temps pour se calmer.
Si vous dites son nom, en attendant son retour, il se contentera d'attendre un signe ou un ordre de votre part. Donc le mieux, pour que votre chien comprenne qu'il doit revenir est de dire son nom suivi d'un ordre court et précis : “Max, viens !” ou “Max, ici !”.
L'exemple qui me vient immédiatement en tête est celui de la friandise. Si vous avez demandé plusieurs fois le “assis” à votre chien alors qu'il connaît la position et qu'il ne veut pas la faire. Et qu'au bout de plusieurs fois vous lui sortez une friandise, vous récompensez alors son “attente”.