Utiliser les consignes spécifiques : pressing important, beaucoup de mouvements, intensité élevée, puissance…, Conserver de la lucidité pour le dernier geste notamment dans le dernier quart d'heure du match de football. Avoir des joueurs bien dans leur corps (et leur esprit) sur la durée de la saison.
Pour orienter le jeu, il faut avoir une bonne vision de jeu, savoir voir avant de recevoir comme on entend souvent dans la bouche des footeux. il faut être capable de mettre les joueurs offensifs dans les meilleures conditions, en faisant le lien entre la défense et l'attaque.
Le Mdef est un poste très compliqué car il fait le lien entre la défense, le milieu et l'attaque, cela demande énormément d'intelligence et de compréhension du jeu adverse. C'est le poste du c** entre deux chaises.
Faites un entrainement par intervalles
Même si les joueurs de football parcourent en moyenne 10 kilomètres par match, ils ne courent pas au même rythme tout au long de la rencontre. Il s'agit plutôt d'une combinaison de sprints, de courses modérées, de marche et de rétropédalage.
Il est possible de travailler l'explosivité du bas du corps grâce aux flexions-extensions. Vous enchaînez un squat avec un saut le plus haut possible. Pour le haut du corps, réalisez des pompes sautées. Au moment où vous finissez votre pompe, avec les bras tendus, poussez pour taper dans vos mains et recommencez.
L'apprentissage commence généralement à l'âge de 6 ou 7 ans. En matière de chaussures, le choix se porte sur des crampons vissés ou moulés. Avec son format et sa pratique en intérieur, le Foot à 5 peut être pratiqué dès l'âge de 3 ans !
Ainsi, c'est le géant australien, Samuel Groth qui détient le record du service le plus rapide avec une balle flashée à 263 km/h. Il a établi ce record en 2012 lors du tournoi challenger de Busan, en Corée du Sud.
Outre le travail aérobic qui entraine le cœur, le foot favorise l'explosivité des muscles de la cuisse (quadriceps, psoas…), de l'ischio-jambiers, des adducteurs et des muscles péroniers.
Pour travailler son souffle, le premier exercice consiste à s'allonger sur le dos, jambes repliées avec les talons près des fesses. Il faut alors inspirer et expirer lentement jusqu'à ressentir la régularité de sa propre respiration. A cet instant, il faut introduire un "fff" sans serrer la gorge.
Les exercices d'explosivité, de force ou de vitesse, demandent de la fraîcheur. Donc proposer ce type de travail physique après une journée de repos (idéalement) et en première partie de séance après un échauffement conséquent et spécifique.
Rationalisez la position de votre bras et de votre poing.
Au moment où vous ressentez le contact et de votre adversaire, resserrez votre poing. Un poing détendu se déplace plus facilement alors qu'un poing bien serré donne un coup plus puissant. Combinez-les. Donnez votre coup de poing en ligne droite, sans détour.
La vitesse de frappe moyenne est d'environ 40 mots par minute. Pour atteindre un niveau de productivité élevé, visez plutôt 60 à 70 mots par minute.
La vitesse d'enchainement est l'un des facteurs à travailler pour augmenter votre vitesse de frappe. Enchainer les coups de façon fluide, précise et rapide permet de déstabiliser votre adversaire. Plus vous tardez à ramener votre bras, plus vous perdez en réactivité et plus le temps de réarmement est long.
Un travail d'explosivité, de pliométrie, de fréquence, de gainage, de motricité, de proprioception ou encore de souplesse active permettra également d'améliorer la vivacité des joueurs.. Il est également très important de travailler la technique de course, avec des gammes athlétiques par exemple, chez les jeunes.
Allongés sur le ventre, tête face au sol, l'exercice consiste à ramener la charge vers les fessiers en contractant l'arrière des cuisses, puis de redescendre la charge lentement en gardant la tension dans les muscles. « Lors d'une accélération, les ischio-jambiers sont les muscles les plus exposés aux blessures.
Il peut s'agir : d'une inadaptation de l'entraînement, en rapport avec une charge de travail excessive, par des séances trop intenses ou trop rapprochées, qui altèrent la tolérance à l'effort. Cette fatigue s'accompagne de troubles du sommeil, de l'appétit, parfois de l'humeur.
Commencez à un rythme modéré jusqu'à ce que la fatigue se fasse sentir puis faites une courte pause avant de vous remettre à courir. Vous pouvez également courir par intervalles de 3 ou 4 min, marcher ou faire une pause de 2 à 3 min puis recommencer à courir pendant 3 ou 4 min et ainsi de suite.
L'organisation de l'avant match doit être bien réalisée.. Les petits "rituels" ( mettre toujours les mêmes chaussettes en match, prendre le même petit-déjeuner, s'échauffer de la même manière...) permettent ainsi de se concentrer, de s'apaiser et donc de mieux maîtriser son stress.