Il faut notamment garder son calme et ne pas perdre patience, mais aussi ne pas rire ! Idéalement, vous devez être strict et doux à la fois. Pour que la démarche soit efficace, les parents doivent être sur la même longueur d'onde et surtout, appliquer des punitions proches voire similaires.
Rappelez-vous que la punition ne doit jamais être physique, abusive ou humiliante. Elle doit être adaptée à l'âge et à la personnalité de votre enfant, et toujours accompagnée d'explications claires sur les raisons pour lesquelles elle est appliquée.
Le style autoritaire que les parents stricts appliquent se caractérise par des niveaux élevés d'exigence, de contrôle et de discipline. Mais également par une faible présence d'affection et d'expression émotionnelle. Ces parents utilisent la discipline, la punition et la menace comme méthode d'éducation habituelle.
Pour éviter la punition, il faut déjà que votre enfant ait entendu la règle. Pour cela, il faut que celle-ci soit intelligible. Vous pouvez la formuler selon les 10 C : Claire et Courte : l'enfant doit comprendre ce qu'on attend de lui, sans possibilité de mal interpréter.
1 – Faire une pause quand on pressent une grosse colère
Vous demandez à votre enfant de ranger ses jouets, car c'est l'heure de se brosser les dents et d'aller se coucher. Il continue de jouer et fait semblant de ne pas vous avoir entendu. Vous répétez qu'il est temps d'aller au lit.
Punition positive : Avec ce type de punition, l'enfant doit faire quelque chose qu'il n'aime pas. Par exemple, si votre enfant n'a pas fait sa tâche de la semaine, il doit la faire et vous aider à faire une autre tâche. Punition négative : Dans ce cas-ci, l'enfant se fait enlever quelque chose qu'il aime.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
Et les meilleurs parents sont : 1 – Des parents autoritaires. Définis comme impliqués et réceptifs, ces parents fixent des objectifs ambitieux tout en respectant l'autonomie de leurs enfants. Cette éducation implique souvent une réussite sur le plan social, académique et psychologique.
L'éducation stricte : une relation basée sur la crainte et la soumission. En éduquant son enfant de manière autoritariste – ou au contraire permissive, on instaure de facto une relation dominant-dominé. Les adultes autoritaristes sont les dominants ; les adultes qui font preuve de laxisme sont les dominés.
La meilleure des punitions sera réparatrice : si l'enfant casse un vase, proposez-lui de ramasser les morceaux. La subtilité de l'éducation, c'est de responsabiliser l'enfant sans le culpabiliser. Une punition n'a pas besoin de rendre triste ni de faire mal. Je réfute l'argument de la fessée comme outil pédagogique.
En rendant un service. Permettre à l'enfant de faire amende honorable en payant sa dette peut s'avérer intelligent... Par exemple, en lui faisant accomplir une tâche qui lui demandera un effort physique : tondre la pelouse, faire la vaisselle, nettoyer les vitres, passer l'aspirateur, etc.
De 12 à 36 mois, l'enfant se développe.
À partir de 18 mois, il entre dans la période du non. Il a compris qu'il peut s'opposer à une consigne, et donc à une punition. La force du parent est de répondre de manière posée, ferme et calme pour légitimer la sanction.
La base pour poser son autorité c'est le calme tout en gardant une fermeté. Plus facile qu'à faire. La clef est de réussir à faire baisser son intensité émotionnelle. Vous pouvez y arriver en faisant des exercices de respirations (issus du yoga ou de la sophrologie) ou pratiquer la méditation.
Ce refus de l'autorité peut également être lié à notre scolarité ou à notre culture. Ne pas supporter l'autorité adulte reflète ainsi notre passé. Mais craindre l'autorité vient aussi de notre personnalité et de notre tempérament : certains sont plus rebelles que d'autres dans l'âme, et ce, depuis tout petit.
Vos enfants ont l'air heureux. Les jours où vous doutez, regardez juste vos enfants : s'ils ont le sourire, rient à n'en plus finir, courent partout (généralement nus) et sont très créatifs pour faire des bêtises, c'est que tout va bien ! Détendez-vous : vous assurez comme parent !
Une ressemblance maternelle…
Une autre explication réside dans la biologie : l'héritage maternel est plus important, notamment car les mères transmettent à l'accouchement et lors de l'allaitement des bactéries qui font constituer le microbiote du nourrisson. Or, on sait que celui-ci joue un rôle dans l'apparence.
L'âge idéal pour devenir papa, scientifiquement parlant, est difficile à déterminer puisque les avis divergent sur la question. Pour certains il se situe avant 24 ans et pour d'autres il peut aller jusqu'à 50 ans.
Le père impose une écoute différente de celle de la mère ; il est un support, une sécurité, un moyen de construction importante pour l'enfant. Le père, c'est aussi le garant de cette autorité constructive qui positionne les limites et qui fera des enfants des adultes responsables.
« La pire punition qu'on puisse s'infliger. Se taire et brûler de l'intérieur », Revue française de psychanalyse, vol.
Rester calme, mais ferme face à l'insolence
La première chose à faire est de surmonter son agacement et de ne pas céder à la tentation d'élever la voix ou d'employer des mots vulgaires, pour ne pas mener à une escalade verbale. Il n'est pas question non plus de faire comme si rien ne s'était passé.
Tout châtiment corporel est strictement interdit
De ce fait, de nos jours, taper sur les doigts des élèves avec une règle ou donner la fessée, ne se font plus à l'école.