Elle est introduite par un mot subordonnant comme que, quand, lorsque, parce que, bien que… Pour analyser une phrase complexe comprenant une ou plusieurs subordonnées, il faut repérer les mots subordonnants et couper la phrases en propositions : la principale et la subordonnée (ou les subordonnées).
Une conjonction de subordination peut être formée d'un ou de plusieurs mots : un mot : Exemple : que, comme, si, quand, lorsque, puisque, quoique ; plusieurs mots (locution conjonctive) : Exemple : avant que, alors que, pour que…
Elle présente toujours trois caractéristiques : - elle est introduite sans mot subordonnant ; - son verbe est à l'infinitif ; - cet infinitif a un sujet qui est exprimé dans la phrase et qui est différent de celui du verbe de la proposition principale.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Remarque : Dans la proposition subordonnée relative, le pronom « que » remplace un nom (= c'est un antécédent). Remarque : Dans la proposition subordonnée complétive, « que » n'est pas un pronom : il ne remplace rien, il se trouve juste après le verbe : C'est une conjonction de subordination.
Les conjonctions de coordination relient deux mots ou deux propositions de même nature. Les conjonctions de subordination relient une proposition subordonnée à une proposition principale.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
chef. grade d'autorité (chef de gare, chef d'orchestre...)
subordonné, subordonnée
Personne qui est placée sous les ordres d'une autre, qui... subordonner v.t. Mettre quelqu'un dans une situation de dépendance hiérarchique par rapport... Dépendre de quelque chose.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
Toutefois, elle peut aussi prendre la place de sujet. Il existe plusieurs sortes de subordonnées complétives : la complétive conjonctive, la complétive interrogative indirecte, la complétive exclamative indirecte et la proposition infinitive.
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
Le pronom relatif a une fonction, contrairement aux autres mots qui introduisent une proposition subordonnée. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…).
[J'ai lu un très bon roman cet été] ; [je pense] [qu'il t'intéressera]. Cette phrase complexe comprend encore trois propositions : la première proposition J'ai lu un très bon roman cet été est une indépendante ; je pense est une principale ; elle commande la subordonnée qu'il t'intéressera.
C'est un mot de liaison invariable qui permet de mettre en rapport soit deux termes ayant une même fonction soit deux propositions. On distingue généralement deux types de conjonctions, à savoir les conjonctions de coordination et les conjonctions de subordination.
Une proposition est une partie de phrase ou une phrase, dans une phrase. Il y a autant de propositions qu'il y a de verbes. ex: Le chat dort dans le salon.
Je mange lorsque j'ai faim. (« Je mange » est une proposition principale, « lorsque j'ai faim » est la proposition subordonnée). Mon animal de compagnie est content quand je rentre. (« Mon animal de compagnie est content » est une proposition principale, « quand je rentre » est la proposition subordonnée).
Les adverbes en –ment sont construits à partir d'un adjectif. Il y a trois cas de figure possibles: L'adjectif se décline au féminin, dans ce cas on garde son radical on ajoute -ment: bref → brève → brièvement; vif → vive → vivement; précis → précise → précisément; etc.
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…