Une personne qui dramatise tient l'autre responsable de son bonheur ou de son malheur. Elle se croit aussi responsable des autres. Sans s'en rendre compte, elle ne pense qu'à elle-même. Une personne responsable assume les conséquences de ses propres choix et actions et non celles des autres.
Le mot drama queen désigne une personne, homme ou femme, qui exagère les choses négativement, qui les prend au tragique avec excès, qui dramatise tout. On dirait familièrement qu'elle en fait des tonnes, qu'elle en fait des caisses, et pour chaque situation dramatisée, qu'elle en fait tout un plat.
Les « drama queens », hommes ou femmes, réagissent dramatiquement à des événements que beaucoup de gens considèrent comme relativement banals ou bénins.
Prends le temps de te calmer quand tu en ressens le besoin.
Une autre chose que tu peux faire afin d'éviter de dramatiser est d'apprendre à reconnaitre tes signes avant-coureurs. Si quelqu'un dit quelque chose qui va te rendre furieux, apprends à savoir quand tu commences à t'énerver et éloigne-toi un petit moment.
Prendre les choses à cœur, ce n'est pas quelque chose de négatif. En fait, c'est juste une question de curseur et de dosage. Si tu as la sensation que ce qui se passe autour de toi t'impacte trop au niveau émotionnel, que cela prend beaucoup de place dans ta tête, tu es au bon endroit.
Prendre du Recul signifie prendre soin de soi dans ces moments difficiles et faire ce pas de côté qui permet de prendre de la distance tout en restant présent et en capacité de vivre au mieux cette situation.
N'hésitez pas par exemple un expliquer que « c'est comme ça que vous ressentez les choses », et que « peut-être que vous vous trompez ». Vous laissez ainsi l'espace à l'incertitude tout en reconnaissant l'attention que vous avez portée à ce discours du "je sais tout".
Autrefois appelé hystérie, l'histrionisme est aujourd'hui défini comme un trouble de la personnalité très expansif qui vise à combler ou entretenir un besoin permanent d'attention. C'est l'amélioration de l'image de soi qui, dans la plupart des cas, permet au patient de sortir de ce trouble.
D'une manière générale, il n'y a pas de mode d'emploi ou de solution toute faite pour se défaire des angoisses. Certains préféreront se tourner vers des thérapies comportementalistes permettant de venir plus vite à bout de certains malaises, d'autres vers la méditation, l'acupuncture ou le yoga.
Posez votre main sur votre cœur, sous le nombril, ou sur n'importe quelle autre partie du corps où vous ressentez l'inquiétude. C'est une façon d'apporter un signal de bienveillance au cerveau. Le toucher est également un sens qui aide à réduire la rumination mentale et les pensées négatives.
D'où vient ce désordre psychique favorisant l'anxiété ? Cela peut être héréditaire ou environnemental, mais on cite également l'anxiété post-traumatique (accident, attentat, décès d'un proche, choc psychologique).
Différents facteurs peuvent en être la cause, mais un dénominateur est souvent commun : notre réaction face à cela. Peut-être avons-nous tendance à prendre tout ce qui arrive trop à cœur, comme des attaques sur notre propre personne, sans mettre de la distance et analyser le problème.
C'est ce qu'on appelle les émotifs. L'émotion est la première caractéristique des gens qui se laissent gouverner par leur cœur. Certaines études suggèrent même que cet “organe principal” est susceptible d'influencer leur position sur des sujets sensibles, voire leur soutien à des associations caritatives.
Dans la majorité des cas, les troubles anxieux se traitent efficacement par des autosoins, de l'éducation psychologique en groupe, une intervention, une psychothérapie, de la médication, ou par une combinaison de certains de ces traitements.
Le meilleur moyen d'augmenter la capacité de concentration consiste à renforcer le contrôle de la volonté en pratiquant, comme pour les muscles du corps, une gymnastique régulière et répétitive du cerveau : des exercices de méditation de pleine conscience (mindfulness) .
On les appelle « idées noires », « obsessions » ou encore « ruminations ». Elles surviennent souvent après un choc émotionnel. Elles hantent l'esprit pendant des jours ou des mois. Comment s'expliquent l'irruption de ces idées fixes dans notre vie quotidienne ?
Lorsque la carence affective se prolonge ou se répète, des signes plus spécifiques apparaissent. Balancements, stéréotypies, automutilations, tous ces comportements ont pour objectif une autostimulation de l'enfant qui cherche ainsi à se sentir vivant.
Derrière l'amour excessif d'une personne codépendante se cache bien souvent une peur de l'abandon. Il y a des gens qui sont dans la codépendance, c'est-à-dire qu'ils sont prêts à faire n'importe quoi ou à endurer toute humiliation au nom de l'amour.