Le traitement des rechutes de lymphome non hodgkiniens (LNH) repose essentiellement sur la chimiothérapie. Elle est employée si, lors du traitement initial, le patient y a été réceptif. En effet, il y a dans ce cas de grandes chances pour qu'une nouvelle session se révèle efficace.
Lorsqu'un lymphome réapparaît après un certain temps, on appelle cela une récidive. Selon le type du lymphome, les récidives peuvent survenir quelques semaines, quelques mois, voire plusieurs années après le traitement du lymphome original.
Les lymphomes faisant partie des cancers dont le taux de guérison est élevé, les patients sont invités à penser à leur vie après le cancer. Certains peuvent même continuer à travailler pendant les traitements, d'autres, en revanche, ont besoin de repos et prennent alors le temps nécessaire.
Les facteurs favorisant les lymphomes connus sont les traitements immunosuppresseurs, on rencontre des lymphomes après greffe d'organe par exemple ou des traitements immunosuppresseurs en cas de maladie auto-immune. Quelques virus sont associés à des lymphomes, le plus connu étant le virus HIV.
Ainsi, les nouveaux traitements tendent globalement à améliorer les pronostics des lymphomes et, pour ce qui est de ce type de lymphomes, en fonction du stade auquel on diagnostique la maladie, de 60 à 95 % des personnes atteintes peuvent espérer une rémission complète.
"Tous les signes sont possibles mais chez les sujets jeunes, les lymphomes sont le plus souvent dans le médiastin (ndlr : milieu du thorax, entre les deux poumons), probablement à cause des résidus thymiques et il faut y penser devant des signes respiratoires (dyspnée, toux, douleur thoracique ou gonflement du cou).
Des 2 types de lymphomes à lymphocytes B les plus fréquents, le lymphome folliculaire engendre généralement un meilleur pronostic que le lymphome diffus à grandes cellules B (LDGCB).
Les lymphomes font partie des cancers que l'on soigne grâce aux traitements modernes telles que la chimiothérapie, la radiothérapie et l'immunothérapie. La réponse aux traitements des différents lymphomes dépend du type et du stade du lymphome, ainsi que d'un certain nombre d'autres facteurs.
Le traitement des lymphomes fait appel à la chimiothérapie anticancéreuse, éventuellement associée à des thérapies ciblées. Ce sont des anticorps dirigés contre certaines protéines indispensables à la prolifération des cellules cancéreuses. Parfois, un traitement par radiothérapie est également administré.
Ce type de trouble est habituellement héréditaire, ce qui veut dire qu'il est transmis des parents aux enfants.
Les lymphomes non hodgkiniens se traduisent habituellement par une adénopathie, c'est-à-dire l'augmentation de volume d'un ou plusieurs ganglions. Ceux-ci ne sont ni douloureux ni inflammatoires et grossissent lentement.
Avec 1880 personnes diagnostiquées en 2012, le lymphome de Hodgkin (LH) est un cancer relativement rare. C'est aussi l'un des cancers que l'on soigne le mieux.
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
Le lymphome non hodgkinien fait partie des maladies que l'on soigne bien et les patients peuvent être guéris grâce aux traitements modernes telles que la chimiothérapie, la radiothérapie et l'immunothérapie.
L'association gingembre-citron. Le jus de citron est mondialement réputé pour ses vertus antioxydantes et alcalinisantes. Il contient aussi de la vitamine C. Les antioxydants (flavonoïdes) présents dans l'agrume sont très actifs et peuvent ralentir la progression des cellules cancéreuses dans le corps.
C'est ainsi que se développe une leucémie (un cancer du sang) si cette accumulation se fait dans le sang et la moelle osseuse. On parle de lymphome (un autre type de cancer) lorsque cette accumulation se fait dans les ganglions et le système lymphatique.
La survenue d'un lymphome se traduit le plus souvent par une augmentation persistente du volume d'un ou de plusieurs ganglions lymphatqiues (on parle d'adénopathies). ceux-ci, le plus souvent, ne deviennent pas douloureux.
Certains ganglions peuvent être gonflés mais pas douloureux. Dans les cas avancés, le patient peut se plaindre de difficultés à respirer, d'une toux persistante ou de douleurs dans la poitrine, mais aussi de maux de ventre, de mal de dos ou de démangeaisons.
Les associations d'agents chimiothérapeutiques les plus fréquemment employées comme traitement du LNH sont les suivantes : CHOP – cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine et prednisone. R-CHOP – CHOP avec rituximab (Rituxan) CVP – cyclophosphamide, vincristine et prednisone.
Chaque année, environ 30.000 Français sont atteints du lymphome, un cancer peu connu qui s'attaque au système lymphatique. Pour se soigner, la chimiothérapie, la radio-immunothérapie, les anticorps monoclonaux ou encore la greffe de moelle osseuse ont une place de choix.
Le lymphome folliculaire, cancer du système lymphatique, est le 2ème lymphome le plus fréquent. A ce jour, on ne sait pas le guérir. L'espérance de vie des patients est de près d'une quinzaine d'années, avec un traitement initial de 6 mois, reposant sur l'association d'une chimiothérapie à des injections de Rituximab.
Le lymphome de Burkitt est un cancer qui se développe à partir des cellules (lymphocytes B) des ganglions mais aussi d'autres organes et en particulier la moelle osseuse, l'intestin, et les amygdales. C'est un lymphome non Hodgkinien qui évolue très rapidement (agressif).
Le plus souvent, le lymphome n'est pas visible sur les examens sanguins courants.
• Le lymphome et ses conséquences
Des recherches tendent à montrer que les cancers entraînent la production de différentes molécules, des cytokines* en particulier, favorisant au sein de l'organisme un état inflammatoire, ce dernier contribuant à la sensation de fatigue.