Selon ces scientifiques en géo-ingénierie solaire, relâcher dans l'atmosphère, grâce à des avions, des solutions chimiques comme le carbonate de calcium ou le dioxyde de soufre, pourrait permettre de diminuer de moitié la hausse des températures dans le monde, relaie le site du magazine d'affaires américain.
Depuis leur formation, il y a environ 4,5 milliards d'années, les entrailles de la Terre se refroidissent, mais ce processus se ferait plus rapidement qu'initialement attendu, rapporte une nouvelle étude que relaie Courrier international. Les effets pourraient, de fait, être sérieux pour l'avenir de la planète bleue.
La température moyenne de la Terre repose sur les flux de rayonnement entre terre et soleil : la terre absorbe une partie du rayonnement solaire (grâce aux océans, à la biosphère, aux forêts...) et réfléchit une autre partie de ce rayonnement (par le sable, la glace...) sous forme d'infrarouge vers l'espace.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Selon une étude relayée par la Nasa, l'agence spatiale américaine, le réchauffement climatique pourrait rendre complètement inhabitables plusieurs zones géographiques sur la planète, et ce, dès 2050. Le niveau de stress thermique engendré par les fortes chaleurs peut en effet s'avérer mortel pour les êtres humains.
De jour, l'absorption du rayonnement solaire y est supérieure à l'émission du sol à travers l'atmosphère si bien que le sol chauffe. La nuit, l'absorption du rayonnement solaire n'a plus lieu et le sol se refroidit.
Il s'agit principalement des éléments uranium, thorium et potassium. Par exemple, la désintégration du noyau de l'uranium 238 donne en moyenne 6 neutrinos en même temps qu'elle libère 52 méga-électron-volt d'énergie portée par les particules émises qui s'arrêteront dans la matière et déposeront de la chaleur.
Il dépend de facteurs comme le rayonnement solaire, la circulation atmosphérique, la présence de reliefs et des interactions entre continents, océans et atmosphère.
La Terre se refroidit et son noyau se solidifie
Quand, dans quelques milliards d'années, la graine occupera une grande part du noyau, le champ magnétique terrestre s'éteindra. Privée de ce bouclier, la Terre sera irradiée par le vent solaire.
L'ellipticité trop faible fait que nous avons manqué cette période favorable pour un début de glaciation. Les prochaines périodes favorables de mise en glace auront lieu 23.000, 46.000 ou 69.000 ans après cette dernière période favorable (il ya 5000 ans approximativement), soit dans 18.000, 41.000 ou 64.000 ans.
Entre -2,4 milliards d'années et -635 millions d'années. Cette hypothèse, nommée Snowball Earth (Terre boule de glace), est bien admise, bien qu'elle ne fasse pas l'unanimité.
Une autre idée consiste à pulvériser de l'eau de mer dans l'air pour favoriser la formation de nuages, qui réfléchissent la lumière du Soleil et refroidissent la planète. De telles techniques devraient être utilisées à grande échelle pour limiter le réchauffement de la planète de façon significative.
Une autre possibilité serait la modification de l'albédo des océans. Soit en répandant une couche (monomoléculaire) d'une substance à plus fort albédo que l'eau liquide ,soit en disséminant des micro-particules de CaCO3 par exemple. Tout cela est à étudier avec soin pour éviter des catastrophes environnementales.
Exactement, certaines techniques ont cet objectif. Par exemple, peindre les toits en blanc dans les villes et les zones industrielles pour refléter davantage de rayons. Une autre technique envisagée, plus controversée mais très peu coûteuse : injecter des aérosols à base de soufre dans l'atmosphère.
Bref, dans l'Univers il peut faire froid, très froid… Mais pas jusqu'au zéro absolu! Le zéro absolu (dit 0 K ou 0 Kelvin) vaut -273,15 °C. C'est la température la plus basse «permise» (en fait on ne peut que s'en approcher) par la physique, car en théorie cela signifie que les atomes ne bougent plus.
Les experts du climat sont formels : la terre se réchauffe et à un rythme soutenu. En cause, l'augmentation des gaz à effet de serre d'origine humaine, avec pour conséquences des crises sanitaires, écologiques et humanitaires dont nous voyons les prémices.
C'est le phénomène de l'effet de serre naturel. Sans cet effet de serre, la température à la surface de la Terre serait de -18°C et la vie, si elle s' y avérait possible, serait fort différente.
Difficilement, car sans lumière les plantes disparaîtraient, suivies des animaux. Par ailleurs, sans la chaleur du soleil, la surface terrestre se refroidirait jusqu'à atteindre la température de l'espace: environ –270 °C.
Ainsi, la faible humidité des déserts, leur absence de couverture nuageuse et leur constitution d'un matériau très émissif et présentant une faible inertie thermique sont responsables du fort refroidissement nocturne et de la grande amplitude thermique observée dans ces espaces.
Les 3 plus grands déserts
Les températures extrêmes de la journée pouvant grimper jusqu'à 60°C, ainsi que l'amplitude de température pouvant atteindre 30°C entre le jour et la nuit contribuent entre autre à la formation du désert. En hiver, la température peut descendre jusqu'à -10°C durant la nuit.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
Dans trente ans, il sera ainsi très difficile de vivre au sud de l'Asie ou dans le golfe Persique où se trouvent notamment l'Iran, le Koweït ou Oman, rapporte CNews. Idem pour les pays bordant la mer Rouge comme l'Egypte, l'Arabie saoudite, le Soudan, l'Ethiopie, la Somalie ou le Yémen.
Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.