La radinerie n'est pas une maladie à proprement parler. Voilà une bonne… et une mauvaise nouvelle ! Car, si elle n'est pas contagieuse, elle est en revanche quasi incurable. De plus, si vous vivez avec un radin, il est d'autant plus difficile d'ignorer ce phénomène.
L'avare est pathologiquement incapable de dépenser de l'argent ce qui le distingue de la personne économe qui fait attention à la gestion de son argent, mais accepte de le dépenser à bon escient. Ainsi, l'avarice relève de l'obsession et de l'addiction.
"Cela peut s'expliquer par l'éducation, l'environnement, la peur du manque, mais aussi la représentation de l'argent pour eux. Souvent les gens radins ne comprennent pas que l'argent est seulement un véhicule qui permet d'avancer. Pour eux c'est une sécurité, garder leur argent les sécurise", précise Pascal Anger.
L'homme radin est celui qui fera une fixation sur le fait de ne jamais dépenser de l'argent. Il fera en sorte d'éviter toutes les dépenses. Pas pour faire des économies, mais surtout par peur de le regretter par la suite. Il fermera les yeux sur certaines dépenses qu'il jugera inutiles ou même sans valeurs.
Une personne radine ramène toutes ses activités à l'argent de façon à en dépenser le moins possible. C'est une obsession pour elle, ce qui peut gâcher sa vie en société, avec des proches ou des collègues. L'avare, quant à lui, n'a qu'une idée en tête : accumuler encore et encore plus d'argent.
Une étude britannique réalisée par Direct Line Travel Insurance vient de décerner aux Français la palme d'or des touristes les plus radins en matière en pourboires.
Capricorne. A deux doigts d'être élu signe le plus radin du zodiaque, le Capricorne peut se montrer extrêmement frileux dans ses dépenses et veillera à bien tenir son budget. Ce qui l'intéresse, c'est de voir ses économies fructifier et grimper plutôt que d'acheter des choses inutiles.
Ils cherchent dans l'argent ce qu'ils ne trouvent pas dans leurs rapports sociaux", avec un sentiment de malaise parmi leurs semblables.
L'imagination en berne
Car l'addiction à l'argent entraîne souvent une autre modification psychologique, visible chez Harpagon : une atrophie de l'imagination. L'avare, selon Rogues de Fursac, souffre d'un défaut d'imagination, dont il est la plupart du temps victime depuis son enfance.
Caractéristiques de l'avarice
un attachement excessif à l'argent, aux biens et aux richesses ; une incapacité à dépenser, à donner ou à partager ses biens ; un plaisir intense à conserver et garder pour soi son argent.
Les hommes qui ne savent pas ce qu'il veulent dans la vie
S'il emploie rarement voire jamais le mot « ex », c'est la preuve qu'il a du mal à s'engager. Il ne sait pas où il va. Que ce soit au travail, avec ses amis, dans sa vie amoureuse, il est totalement perdu. Il appelle cela « vivre l'instant présent ».
L'homme a besoin de comprendre pour gérer efficacement la demande. Il a besoin de se sentir utile et compétent. Un mode de communication clair permet à l'homme de bien nous comprendre et de ne pas se sentir impuissant face à nos remarques ou nos questions qu'il va forcément mal interpréter.
Tous les Néerlandais ne sont pas radins, loin de là. Alors d'où vient cette réputation ? Tout d'abord, les Néerlandais détestent payer trop cher si « ce ne n'est pas nécessaire » comme ils disent, car ils ont alors l'impression de se faire avoir. Donc avant un achat, ils vont comparer les prix, tous les prix.
(Personne) avare, souvent avec mesquinerie. Synon. chiche, grigou, grippe-sou, ladre (vieilli ou littér.), radin (fam.), rapiat (fam.)
Dans ce cas, les antonymes de radin sont bénévole , altruiste , philanthrope .
RADIN, -INE, adj. Fam., pop. Qui lésine sur la dépense, avare.
Si votre homme n'est que légèrement égoïste, une simple discussion pourra vous aider à mettre un terme au problème. Confrontez-le sur ce sujet, calmement. Mettez-le face à ses responsabilités, au partage des tâches. Interrogez-le sur ses valeurs sur ce sujet.
La seule solution pour se débarasser d'un profiteur, c'est de lui dire non et de l'envoyer chier. A partir du moment où tu considères que c'est « trop », c'est que c'est trop, point.