Le chauffage au bois, l'énergie la plus économique
Deux types de chauffage au bois se distinguent principalement : le poêle à bois et la chaudière à bois. Ils s'avèrent très économiques car le bois demeure le combustible le moins cher du marché.
Pour réduire sa consommation de gaz et avoir une consommation maîtrisée, réglez la température entre 19°C et 21°C dans les pièces occupées la journée grâce aux thermostats des radiateurs ou avec une horloge de programmation. La nuit ou en journée dans les pièces peu occupée, la température idéale est de 17°C.
Un risque de surchauffe et de surconsommation
Que ce soit en journée car vous êtes au travail, la nuit ou même le temps d'un week-end à la campagne, il est recommandé de la laisser en route, et plutôt de jouer avec les températures du chauffage.
Chaque année, le chauffage représente un coût important qui impacte sérieusement le budget des familles. Pour réduire ces dépenses, il suffit parfois de baisser très légèrement le thermostat. En effet, on considère qu'un degré en moins permet déjà de réaliser 7 % d'économies sur la facture.
Mieux dormir en abaissant la consigne de température de 2 °C la nuit Baisser la température du chauffage de 2 °C la nuit est conseillé pour mieux dormir et permet une réduction de 3% des consommations de chauffage. En appliquant cette mesure, le potentiel d'économies réalisables est de 3 300 GWh (gigawattheure).
En moyenne, avoir des pièces à 18°C permet une régulation naturelle de la température de votre corps. Cependant, dormir dans une chambre avec une température comprise entre 16 et 18°C permet d'avoir un sommeil de meilleure qualité.
Il est recommandé de ne pas éteindre complètement le chauffage pour la journée, en votre absence, car rallumer le chauffage à votre retour consomme plus d'énergie que si vous l'aviez laissé allumé (et puis vous aurez une petite sensation d'inconfort le temps de regagner les degrés souhaités).
Préférer un chauffage à énergie renouvelable
Pour chauffer sa maison économiquement, le mieux est d'opter pour un appareil basé sur les énergies renouvelables. Par exemple, la pompe à chaleur ou les appareils de chauffage au bois offrent de très bons rendements.
Pour éviter ce désagrément, laissez les grands ouverts (en position maximale de chauffe) tout au long de l'été. Le chauffage étant coupé durant cette période de l'année, cela ne changera en rien vos consommations, mais vous permettra de remettre en route votre chauffage plus facilement lors de l'arrivée de l'hiver !
Il existe trois postes de dépense de gaz principaux dans une maison : le chauffage à 80 %, l'eau chaude sanitaire à 15 % et la cuisson qui représente environ 5 % de la consommation de gaz.
Dans les pièces à vivre : Eteindre les appareils électriques : l'ensemble des appareils électriques laissés en veille (TV, hi-fi, ordinateur…) consomment autant qu'un réfrigérateur. Eteindre la lumière en sortant d'une pièce pour économiser 15 % sur sa facture.
D'autres signes sont révélateurs de son obsolescence : la difficulté à chauffer de manière égale toutes les pièces, un débit d'eau chaude sanitaire insuffisant, une consommation énergétique en hausse constante.
Parmi toutes les chaudières présentes sur le marché, la chaudière biomasse est l'une des plus économiques en fonctionnement. Celle-ci fonctionne comme les autres : la chaleur produite après combustion va chauffer le circuit de chauffage central. Il est même possible de produire de l'eau chaude sanitaire (ECS).
Les modèles les plus performants à l'heure actuelle sont les radiateurs électriques à inertie (sèche ou fluide). Ils délivrent un confort proche d'un chauffage central avec une chaleur douce et homogène diffusée par rayonnement dans les pièces.
Si vos performances d'isolation sont bonnes, votre intérieur retiendra la chaleur accumulée pendant la journée. Vous pourrez alors baisser la température de plusieurs degrés. Si l'isolation est mauvaise, il s'agira de baisser la température de chauffage autour de 17° (température des pièces de nuit).
Sachez toutefois que la période de chauffage est généralement comprise entre le 15 octobre et le 15 avril de l'année suivante, en variant selon la région et la précocité du froid.