Une sous-partie de dissertation a toujours la même structure. Elle se compose d'une idée et d'une raison d'accepter cette idée. On commence par affirmer quelque chose, puis on explique pourquoi cette affirmation est solide : on donne un argument. En pratique, ces deux moments sont parfois difficiles à séparer.
Concrètement, chaque sous-partie commence par une idée directrice (l'annonce du thème abordé) ; cette idée directrice est ensuite illustrée par une ou plusieurs citations du texte que l'on analyse sur le plan stylistique.
Définition de sous-partie
Subdivision d'une partie.
Détermination des sous-parties
Quel que soit le choix adopté (et qui peut varier), il faut constamment lier dans l'analyse le fond et la forme (effet de sens et de procédé) afin d'éviter la paraphrase (répétition du texte) ou l'excès de formalisme (procédés simplement identifiés, sans référence au sens).
Une sous-partie de dissertation a toujours la même structure. Elle se compose d'une idée et d'une raison d'accepter cette idée. On commence par affirmer quelque chose, puis on explique pourquoi cette affirmation est solide : on donne un argument. En pratique, ces deux moments sont parfois difficiles à séparer.
Une phrase d'accroche est une phrase ou un paragraphe qui introduit votre sujet dans l'introduction et doit attirer l'attention de votre lecteur. Cette phrase est le fruit d'un choix personnel et vous être libre de choisir son style. C'est également le tout premier moment de votre dissertation.
Chaque sous-partie est un paragraphe d'environ 15 lignes qui commence par un alinéa. Commencez par une phrase annonçant l'idée générale de cette sous-partie (le titre que vous avez écrit sur votre plan).
1/ rappeler ce qu'il a étudié en première partie ; 2/ faire le lien entre les deux parties c'est-à-dire montrer que l'aspect dynamique et amusant ne sert pas à rien : il est là pour un but bien précis, critiquer la société ! 3/ annoncer qu'il va maintenant passer à la critique de la société dans son devoir.
La problématique se présente généralement sous la forme d'une question qui peut commencer par « dans quelle mesure », « en quoi », « comment ». Souvent, on n'arrive à la formuler qu'après avoir fait le plan : c'est normal, pas de panique ! Le nom n'est pas un hasard : une bonne problématique doit poser un problème.
Le plan dit « critique » comporte deux parties dont les idées générales s'opposent. En clair, le grand I défend la thèse, et le grand II l'antithèse.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
L'annonce de plan se situe à la toute fin de l'introduction, juste après l'exposé de la problématique. Son objectif est de présenter au lecteur la structure de la copie : on va rapidement expliquer quelles sont les grandes parties et comment elles s'articulent.
Le plan doit prévoir une division du texte en trois parties : une introduction, un développement et une conclusion. Chacune des parties est plus ou moins élaborée selon que l'on a affaire à un texte long ou à un texte court.
Pour ajouter une idée à une autre
D'abord, et d'abord, tout d'abord... ensuite, par ailleurs. De plus, en outre. En premier lieu...
Accorde un temps suffisant à la lecture avant de rédiger quoi que ce soit. Il faut prendre en considération toutes les informations données par le sujet c'est-à-dire le texte et le paratexte (c'est-à-dire ce qui est autour du texte, avant ou après). Prends aussi quelques minutes pour réfléchir.
Votre essai devra comporter au moins deux parties, que l'on appelle communément le développement. Il existe 3 grands types de plan : le cartésien (introduction / thèse / antithèse et synthèse), le logique (faits / causes et conséquences) et l'explicatif (analyse des principaux termes du sujet illustrée d'exemples).
Une conclusion comprend généralement : un retour sur la problématique énoncée en introduction ; une analyse des résultats mentionnés dans le développement et une réponse à la problématique en fonction de ceux-ci ; une perspective d'ouverture sur le sujet.
"Je ne sais où va mon chemin mais je marche mieux quand ma main serre la tienne." "Je t'aime parce que tout l'univers a conspiré à me faire arriver jusqu'à toi". "Il n'y a rien de plus précieux en ce monde que le sentiment d'exister pour quelqu'un." "Il n'y a qu'un bonheur dans la vie, c'est d'aimer et d'être aimé."
Conclure (utilisé surtout pour la conclusion d'une production écrite) : au total, tout compte fait, tout bien considéré, en somme, en conclusion, finalement, somme toute, en peu de mots, à tout prendre, en définitive, après tout, en dernière analyse, en dernier lieu, à la fin, au terme de l'analyse, au fond, pour ...
Une vie, c'est fait avec l'avenir, comme les corps sont faits avec le vide. Il vaut mieux rêver sa vie que la vivre, encore que la vivre, ce soit encore la rêver. La vie, c'est comme un autobus ; quand tu te retournes, tu t'aperçois qu'il y en a déjà beaucoup qui sont descendus.