Les crises peuvent être provoquées ou non provoquées. Les crises provoquées sont le résultat direct et immédiat d'une cause comme une blessure à la tête, une fièvre élevée, une infection, des drogues, le retrait d'un médicament ou l'hypoglycémie.
N'essayez pas d'empêcher les mouvements de la personne ; Ne mettez rien dans la bouche de la personne ; Ne pas laissez la personne seule dès la fin de la crise. Au sortir de la crise, la personne reste confuse et désorientée pendant quelques minutes.
Fréquemment la crise d'angoisse ou crise de panique est associée à d'autres problèmes psychologiques : un syndrome de dépression, des phobies (phobie sociale, agoraphobie ou phobie des transports…)
Vérifier sa respiration en penchant votre tête au-dessus de la sienne pour sentir son souffle sur votre joue. Si la victime respire, l'allonger en position latérale de sécurité, à savoir son corps sur le côté, en croisant la jambe du dessus (position de premiers secours).
Après la crise, on veillera, dès que possible, à allonger la personne et à le placer sur le côté en position latérale de sécurité, afin de faciliter la respiration. Ici aussi, il convient de rester près de la personne et de le rassurer, jusqu'à ce qu'elle retrouve son état habituel.
FAUX : il faut allonger la personne et dès que possible la mettre sur le côté en position latérale de sécurité, protéger sa tête contre d'éventuelles blessures et, surtout, ne pas tenter de bloquer ses mouvements ou de mettre un objet dans sa bouche.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
On distingue deux grandes catégories de crises soit les généralisées ou les focales. La crise généralisée touche l'intégralité du cerveau tandis que la crise focale se situe dans une région précise du cerveau appelée région focale. Ces deux catégories de crises renferment différents types de crises.
"Lorsqu'elle est ressentie fréquemment, violemment et de manière non adaptée, la colère peut développer des hernies, de l'urticaire, du psoriasis, de l'asthme et des douleurs dans le bas du dos", explique Christophe Haag.
Impossible, du point de vue anatomique. Contrairement à une idée très répandue, on ne peut pas avaler sa langue.
Rassurez la personne, réconfortez-la et offrez-lui du soutien. Minimisez les distractions et encouragez-la à s'asseoir. Aidez la personne à se calmer. Levez et baissez doucement vos bras en lui demandant d'inspirer lorsque vous les levez et d'expirer lorsque vous les baissez.
crise comitiale : survenue de manifestations cliniques transitoires, en raison d'une hyperactivité paroxystique d'un groupe de neurones ; perte de connaissance : il s'agit d'un trouble de la conscience avec perte de contact, sans communication possible.
La plupart des types de convulsions généralisées (comme les convulsions tonico-cloniques) impliquent des contractions musculaires anormales. Les convulsions qui n'impliquent pas de contractions musculaires anormales sont appelées absence épileptique.
la crise d'épilepsie dure plus de cinq minutes ; elle se répète, sans retour à la normale dans l'intervalle ; le patient reste inconscient plus de dix minutes.
Elles sont dues à une lésion cérébrale : malformation congénitale, encéphalite, séquelles d'une souffrance à la naissance, traumatisme crânien, accident vasculaire cérébral, tumeur, infections du Système Nerveux Central, maladies neurologiques évolutives, anomalies des chromosomes, malformations cérébrales…
Adopter un mode de vie sain : pratiquer un sport, une activité de relaxation (méditation, yoga…), respecter ses cycles de sommeil et manger de façon équilibrée peuvent être un premier rempart contre la dépression. Sortir tous les jours, afin de vous exposer à la lumière naturelle du jour. Avoir une vie sociale riche.