Abordez entre quatre yeux la personne qui veut tout contrôler pour lui expliquer vos craintes. N'en faites pas une affaire publique. Gardez la discussion centrée sur la façon dont ce comportement de contrôle vous affecte. N'insultez pas cette personne en lui disant qu'elle est trop autoritaire.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
1. Il est rapide dans ses déclarations. Un homme qui veut vous contrôler vous déclare rapidement sa flamme, ce qui peut être très flatteur au début, mais c'est un signe commun du besoin de contrôle. En effet, il vous montre qu'il est tombé amoureux de vous tout de suite, par des gestes et des paroles flatteuses.
Une des manières de gérer quelqu'un qui croit toujours avoir raison est de commencer par être d'accord avec lui ou au moins d'admettre que vous comprenez ce qu'il dit. Ensuite, vous pouvez présenter votre contreargument. Par exemple, vous pourriez lui dire : « je comprends ce que tu dis.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
Quand quelqu'un vous provoque verbalement et essaie de vous pousser à bout, choisissez tout naturellement de l'ignorer et de ne pas lui répondre, voire même de quitter la pièce sans mot dire. Cette méthode va embarrasser la personne qui essaie de vous toucher, et celle-ci se retrouvera penaud face à votre silence d'or.
Les personnes psychorigides sont également peu chaleureuses, voire froides, même avec des personnes qu'elles apprécient. Elles ont aussi généralement un côté obsessionnel et perfectionniste à l'extrême, qui les pousse à vouloir tout gérer, tout contrôler (tout doit être organisé, planifié. Tout doit être rangé...).
Parler amène à relativiser et à évacuer le stress généré par la relation oppressante. Relativisez ses propos : quels que soient les mots prononcés et la manière dont ils sont dits par le tyran, ceux-ci ne reflètent jamais qui vous êtes. L'oppresseur ne se base que sur ce que vous avez pu dire ou faire.
Laissez ici les émotions « au placard » et jouez la « factuel ». – Mettez votre interlocuteur face à ses contradictions. – A l'attaque frontale, répondez par une question. Exemple, il vous dit : « On ne peut décidément rien vous confier ! ».
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
La meilleure façon de se calmer est parfois d'aller faire un tour. Si quelqu'un vous agace en particulier et que vous êtes sur le point de vous effondrer, écartez-vous, allez faire un tour, prenez une pause ou bien allez aux toilettes.
Donnez-vous des limites et défendez-les.
Les personnes “trop gentilles” sont souvent la cible des personnes toxiques, car elles ne savent pas poser de limites aux autres. Il faut donc savoir poser les limites en s'affirmant avec force et fermeté, et de préférence AVANT que la limite soit atteinte.
Parlez à la première personne du singulier.
Parler en « je » vous permettra d'assumer vos sentiments : « j'ai été blessée que tu ais oublié mon anniversaire la semaine dernière ». Les formules en « tu », au contraire, amèneront facilement votre interlocuteur à se sentir attaqué : « tu ne t'intéresses pas à moi !
Exprimez-vous en disant : « s'il te plait », « excuse-moi » et « merci ». Montrez donc les bonnes manières à la personne tout en maintenant une attitude quelque peu ferme. Cela lui permettra de se rendre compte que vous n'êtes pas hostile, mais plutôt que vous ne voulez pas avoir beaucoup affaire à elle.
Retrouver une confiance en soi pour se sentir mieux dans son corps et dans sa tête : "Cela va passer par le fait de prendre du temps pour soi, oser dire non ou stop quand on n'est pas d'accord, s'affranchir du regard des autres autant que possible, faire du tri dans ses relations (prendre ses distances avec les ...
L'hypnothérapie, une arme pour vaincre ses peurs
Apprendre à le contrôler pour qu'il transforme vos forces en faiblesses, est indispensable si vous êtes sujet aux phobies. Ainsi donc, les séances d'hypnothérapie sont faites pour vous permettre d'augmenter votre sentiment de sécurité au quotidien.