Pour les catholiques occidentaux (latins), le geste consiste à toucher successivement, du bout des doigts (indistinctement dépliés) de la main droite (les cinq doigts rappelant les cinq plaies du Christ sur la Croix), le front, la poitrine (cœur), l'épaule gauche puis l'épaule droite.
On comprend ainsi la logique spirituelle qui anime les croyants dans le geste du signe de croix déployé avec la main droite : Le front, siège de la pensée, La poitrine, lieu de la santé physique et du cœur, Et les épaules, représentant la force de vivre et l'activité quotidienne.
Les autres laïcs, hommes ou femmes, en vertu du sacerdoce commun dont ils ont reçu la charge à leur baptême et leur confirma- tion, peuvent célébrer certaines bénédictions, avec les rites et les formules prévues pour eux, comme cela est indiqué dans chaque formulaire.
Pratiqué depuis le IIIe siècle, le signe de croix se dessinait à l'origine uniquement sur le front. Il reproduisait en miroir le geste du prêtre qui bénit l'assemblée du haut vers le bas puis de la gauche vers la droite. L'assemblée effectuait donc son signe de croix de la droite vers la gauche.
Selon les lois de l'église, il faut le porter constamment sans l'enlever. Dans le même temps, une croix est un élément plutôt intime, qui ne doit pas être affiché. Par conséquent, il est suggéré que les gens le portent sous les vêtements.
Beaucoup de gens se posent la question : pourquoi certaines personnes non religieuses portent-elles une croix autour du cou ? La réponse est simple. Ces personnes recherchent un porte-bonheur qui les protégeraient. D'autres en porteraient comme un guide qui les aiderait à prendre de bonnes décisions.
L'expression porter sa croix signifie « endurer, supporter, avec une forme de résignation, les épreuves ou les moments difficiles de la vie, qu'on ne peut ni prévoir ni éviter ». On trouve aussi une variante de cette expression sous la forme d'un proverbe : chacun porte sa croix .
ÉCLAIRAGE - Considérant la dévotion catholique à Marie comme étant excessive, les protestants rejettent la notion d'une montée au ciel de la Vierge. Une statue de Martin Luther, un des initiateurs du protestantisme, en Allemagne.
La célébration s'achève par le rite de l'encensement du cercueil. L'assistance et les proches sont alors invités à bénir le cercueil ou à effectuer un geste d'amitié en posant une main sur le cercueil ou en faisant un signe de croix. Fréquent également, l'aspersion du cercueil avec de l'eau bénite.
Le cimetière et les tombes, lieux où reposent nos morts, sont sacrés aux yeux de l'Eglise. Nous prions à la fois pour ceux qui sont morts dans la paix du Christ et pour ceux dont Dieu seul connaît la foi. Aussi est-il de coutume que le jour de la Toussaint soit proposée la bénédiction des tombes après la messe.
Levons-nous et magnifions notre appel et œuvrons devant Dieu jusqu'à ce que nous puissions obtenir l'Esprit Saint et jusqu'à ce que nos prières déchirent le voile de l'éternité et pénètrent dans les oreilles du Dieu des armées et [soient] exaucées sous forme de bénédictions sur notre tête 16.
Terminer votre prière
Une fois que vous avez dit tout ce que vous vouliez dire, terminez votre prière en disant : « Au nom de Jésus-Christ, amen ». Nous disons cela parce que Jésus est le moyen d'entrer en relation avec notre Père céleste et parce que toutes choses doivent être faites en son nom.
L'origine du symbole vient de la tradition catholique selon laquelle Pierre l'apôtre aurait été crucifié à l'envers, d'après Origène d'Alexandrie. La tradition du martyre de saint Pierre, s'appuie sur un texte apocryphe, fragmenté, les Actes de Pierre, écrit vers la fin du II e ou le début du III e siècle.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
La croix devenue hampe de bannière est appelée croix de la résurrection ; c'est celle que le Christ aurait tenue en main, sortant du tombeau après son ensevelissement. Cette représentation exprime La Résurrection et la victoire de la vie sur la mort. La crosse singularise la sépulture d'un évêque.
►Dans le cas d'une inhumation, la mise en bière peut se faire avec un ou des membres de la famille, mais sans nécessairement la présence de la police. ► Dans le cas d'une crémation et/ou en l'absence de la famille, la mise en bière doit se faire avec la présence de la police.
Concernant le défunt, il y'a aussi une peur qui hante les proches quant à sa destinée et sa « réelle » mort. La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil).
Toute personne non baptisée peut demander une cérémonie religieuse catholique. Celle-ci sera légèrement différente avec l'absence des rites de la croix ou de l'eau car ils font références au baptême.
Bien que le signe de croix soit antérieur au concile de Nicée, il fut rejeté par quelques-uns des Réformateurs comme étant une pratique catholique, et cela en dépit de la vision positive qu'en avait Martin Luther, de la prescription faite par le Livre de la prière commune et le Code de droit canonique anglican de 1604.
Les protestants croient, comme les autres chrétiens, en un Dieu créateur, et participent, entre protestants ou dans le cadre d'initiatives œcuméniques, à des actions en faveur de la sauvegarde de la Création.
Cependant, il faut convenir que, dans le langage courant, être catholique signifie, en général, être né dans une famille appartenant à cette tradition, tandis qu'être chrétien, au sens propre du terme, signifie s'être volontairement et sciemment tourné vers Jésus-Christ.
Définition "renoncer à soi-même"
Cesser d'agir pour satisfaire ses intérêts égoïstes.
Le Portement de croix ou Montée au calvaire est un épisode de la vie de Jésus-Christ se déroulant durant la Passion et qui rapporté par les Évangiles synoptiques. Condamné à mort, Jésus doit porter sa croix pendant la montée au Golgotha où il est ensuite crucifié.
Il est placé chez Matthieu dans la finale du discours missionnaire : « Qui aura trouvé sa vie la perdra, et qui aura perdu sa vie à cause de moi la trouvera » (Mt 10, 39).