La soustraction de nombres décimaux s'effectue exactement comme dans le cas d'une soustraction de nombres entiers naturels. On doit aligner les positions de chacun des nombres. Ainsi, les deux virgules seront, elles aussi, alignées. Il se peut aussi que, pour faciliter le calcul, on doive ajouter des zéros.
Dans le cas des soustractions de nombres à virgule, on place la virgule de la même façon que pour l'addition. On regarde le nombre qui a le plus de chiffres après la virgule et on place notre virgule dans notre résultat, d'autant de chiffres. Résolvons la soustraction suivante : 145,36 – 12,4.
Étape 1: Ignorez d'abord la virgule décimale et multipliez les deux valeurs comme d'habitude. Étape 2: Comptez et additionnez le nombre total de décimales dans les deux nombres entiers après la multiplication. Il s'agit du nombre total de décimales dans le produit.
Soustraire des nombres de même signe ou des nombres de signes différents. Soustraire un nombre c'est ajouter son opposé. Pour soustraire 7 on ajoute −7 , et pour soustraire −3 on ajoute 3.
Quand on multiplie des nombres décimaux, on effectue d'abord l'opération comme s'il s'agissait de nombres entiers. Puis on place la virgule en suivant cette règle : le nombre de décimales du produit est égal à la somme des nombres de décimales de chacun des facteurs.
Multiplier un nombre décimal par 10, 100 ou 1 000 revient à décaler la virgule vers la droite. Diviser un nombre décimal par 10, 100 ou 1 000 revient à décaler la virgule vers la gauche.
La division décimale donne une valeur exacte du quotient quand elle se termine par un reste égal à zéro. Exemple : La division décimale donne une valeur approchée du quotient quand la division se termine avant de trouver un reste égal à zéro. Par exemple, si l'énoncé demande d'arrêter la division au centième.
Pour cela, il suffit de ne pas prendre en compte la virgule dans un premier temps et d'effectuer simplement la multiplication. Quand c'est fait, il faut compter le nombre de chiffres derrière la virgule dans le calcul. Il suffit alors de placer la virgule en fonction de ce nombre.
Soustraire deux nombres relatifs revient à additionner le premier terme et l'opposé du second terme. Exemple 1 : (+7,4) − (+8,9) = (+7,4) + (−8,9) car l'opposé de (+8,9) est (−8,9). Cette opération revient à l'addition de deux nombres relatifs de signes différents.
En binaire, ce 1 ajoute 2 à la quantité dont on soustrait, tandis qu'en décimal il ajoute 10. Dans l'exemple suivant, on doit soustraire 0 - 1 pour le bit de droite. On emprunte 1 au bit de gauche et on a maintenant 10 - 1, i.e. 2 - 1 = 1. Ensuite on retranche cet emprunt du bit de gauche, et on a 1 - 0 - 1 = 0.
La soustraction est une opération qui consiste à enlever une quantité à une autre, à trouver une quantité manquante ou à comparer des quantités entre elles. Ces quantités qui forment la soustraction se nomment des termes. La différence est le résultat de cette opération.
Pour diviser un nombre entier par un nombre décimal, on supprime la virgule du diviseur et on ajoute autant de zéro à la droite du dividende qu'il y a de chiffres dans la partie décimale du diviseur.
Pour multiplier un nombre entier par 100 on lui ajoute deux 0. Pour multiplier un nombre entier par 1000 on lui ajoute trois 0. Pour multiplier un nombre décimal par 10 ,on décale la virgule d'un rang vers la droite.
Un nombre entier est un nombre qui peut s'écrire sans virgule. Un nombre décimal est un nombre qui s'écrit avec un nombre fini de chiffres à droite de la virgule. Exemples : 92 est un nombre entier.
Si le montant de l'achat est diminué par une offre promotionnelle, alors le solde se voit augmenter, ce qui traduit la logique élémentaire se cachant derrière la règle du « moins par moins donne plus ».
Il est important de comprendre que faire la soustraction de deux nombres équivaut à additionner le premier nombre et l'opposé du deuxième nombre.
Pour calculer la différence de deux nombres relatifs, on utilise la règle suivante : soustraire un nombre, c'est ajouter son opposé.
Règle : pour soustraire un nombre, il faut additionner son opposé. Exemples : (–13) – (–9) = (–13) + (+9) = – 4 On transforme la soustraction en addition et on prend l'opposé de –9 qui est +9.
Il suffit simplement de faire l'inverse. 9 c'est toujours un de moins que 10 donc si je dois soustraire 9 à 37 par exemple, alors je peux faire 37 – 10 + 1 = 27 + 1 = 28. Idem avec des nombres décimaux : si je veux soustraire 0,99 le plus simple reste d'enlever 1 et de rajouter 0,01.
Au cycle III, votre enfant doit maîtriser complètement la soustraction posée ou en ligne. Ces techniques sont apprises en CE2 puis revues et utilisées en CM1 puis CM2.
Comment fonctionne le système binaire ? Comme dit plus haut, le système binaire utilise la notation positionnelle avec le multiplicateur 2. Le premier chiffre à droite se multiplie par 20, le second par 21, le troisième par 22, etc. Ainsi, 11 en binaire est égal à 1 x 21 + 1 x 20, soit 23 en décimal.