Il existe plusieurs méthodes pour y parvenir, comme la respiration profonde, la méditation, le yoga, et la thérapie comportementale. Il est également important de surveiller sa santé cardiaque en suivant un régime sain, en faisant de l'exercice régulièrement et en évitant les facteurs de stress connus.
Prenez l'habitude de respirer lentement et profondément, ou essayez un exercice de respiration spécifique, comme la respiration diaphragmatique. Une respiration profonde peut vous aider à réduire votre stress, à ralentir votre rythme cardiaque et à contrôler une crise d'angoisse avant qu'elle ne s'aggrave.
Quelles sont les causes de l'oppression thoracique ? Les causes graves de l'oppression thoracique sont multiples, bien que dans la grande majorité des cas, c'est plutôt bénin, psychogène (angoisse, anxiété) ou fonctionnel.
L'exercice est simple : chaque fois que vous sentez la panique ou l'angoisse vous envahir et votre respiration s'accélérer : Asseyez-vous où que vous soyez. Placez les paumes de vos mains sur votre ventre. Inspirez posément par le nez en gonflant votre ventre comme s'il s'agissait d'un ballon.
Marche quotidienne : Un simple exercice comme marcher pendant 30 minutes tous les jours peut aider à réduire la douleur thoracique. Yoga : Le yoga est une pratique qui allie respiration, postures et relaxation. Il peut aider à détendre les muscles et à réduire la douleur.
Sur le côté, un oreiller sous la tête, un dans le dos et un au niveau du torse. Un traversin ou un coussin d'allaitement peut également se révéler d'une efficacité redoutable pour caler son corps et offrir le soutien adéquat.
Le stress est une réaction normale de l'organisme face à une situation perçue comme menaçante. Lorsque le stress devient chronique, il peut entraîner divers symptômes, parmi lesquels la douleur thoracique.
Les causes
L'embolie pulmonaire, donc l'obstruction d'une ou plusieurs artères irriguant le poumon. Ce blocage est le plus souvent provoqué par un caillot sanguin qui voyage jusqu'aux poumons à partir d'une autre partie du corps, très souvent à partir des jambes. La dissection aortique.
Ce qui suit pourrait vous aider : Certaines positions pourraient vous permettre de respirer plus facilement. Vous pouvez essayer de vous asseoir droit et de vous pencher légèrement vers l'avant. Vous pouvez aussi utiliser des oreillers pour soutenir votre tête et le haut de votre corps lorsque vous dormez.
LE GRAND POINT QUI CALME
Ce point est situé au centre de la paume de chacune de vos mains. Fermez les yeux. Commencez par le point de la main gauche. Massez ce point avec le pouce de l'autre main en faisant 5 séries de 5 pressions rotation dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
L'oppression thoracique entraîne une sensation de poids ou de serrement au niveau du thorax, l'impression que celui-ci est serré dans un étau, comme si une ceinture nous empêchait d'étendre la poitrine. Il peut s'agir d'une impression de « coup de poignard », d'une crampe ou encore d'un pincement.
Quand la douleur au thorax dure plus d'une semaine, il est conseillé de consulter un médecin dès que possible.
On parle de crise cardiaque silencieuse lorsque l'attaque cardiaque n'est pas annoncée par les symptômes classiques. La personne ne ressent pas de douleur ou de sensation d'oppression au niveau de la poitrine, par contre elle peut présenter des symptômes plus inhabituels tels qu'une indigestion.
Le médecin prescrit, le plus souvent, des antidépresseurs de la famille des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (agissant sur la sérotonine, un neurotransmetteur présent dans le cerveau). Ces substances sont bien tolérées, la plus utilisée étant la paroxétine.
En outre, la douleur et les symptômes d'une crise de panique disparaissent généralement entre 20 à 30 minutes, contrairement à la douleur thoracique provoquée par une crise cardiaque qui persiste et peut même s'aggraver avec le temps.
La détresse respiratoire provoque l'impression de manquer d'air. Il s'agit d'une sensation très angoissante qui s'accompagne souvent de panique. Cette affection est généralement liée à une affection pulmonaire ou cardiaque.
La personne atteinte présente une dyspnée, généralement accompagnée d'une respiration accélérée et superficielle, la peau peut paraître marbrée ou bleutée (cyanose), et d'autres organes, comme le cœur et le cerveau, peuvent présenter une défaillance.
L'oppression peut se traduire par la marginalisation, la persécution, la privation des droits ou par le biais d'autres obstacles empêchant l'accès à l'équité à certaines identités sociales en particulier (p. ex., racisme anti-noir. e.s, hétérosexisme).
Les douleurs cardiaques sont généralement intenses et se concentrent souvent sur la poitrine, mais elles peuvent également se propager aux bras, au cou et à la mâchoire. En revanche, la douleur musculaire à la poitrine est plus douce et se trouve souvent dans les parties supérieures de la poitrine.
Lors d'un infarctus du myocarde , la personne ressent de façon brutale une douleur thoracique qui apparait au repos ou au cours d'un effort : elle nait à l'arrière du sternum et agit comme un étau.
Lors d'un effort physique ou d'un stress important, le cœur a besoin de plus d'oxygène pour subvenir à la demande. Lorsqu'il n'en reçoit pas assez, on ressent alors un serrement, une douleur ou une brûlure au centre de la poitrine : c'est ce qu'on appelle une « crise d'angine ».
Pour calmer une crise d'angoisse, le relâchement musculaire est très efficace. En début de crise, prenez une grande inspiration puis contractez les muscles de votre corps pendant 10 secondes. Relâchez ensuite cette tension en expirant profondément. Renouvelez l'exercice pendant au moins 3 minutes.
Inutile pour assurer le maintien de votre poitrine
D'autant qu'en position couchée, il peut exercer une pression supplémentaire sur les nerfs, les muscles, les ganglions lymphatiques et la circulation sanguine. Ce qui peut avoir des conséquences sur votre santé.