Il convient de préciser que les grands-parents n'ont pas d'obligation de voir leurs petits-enfants. Il s'agit d'un droit, comme le droit de visite et d'hébergement du père ou de la mère en cas de divorce ou de séparation. Sauf motif grave, le droit de visite des grands-parents ne peut pas être retiré.
Si les grands-parents choisissent de s'occuper d'un petit-enfant et d'ignorer l'autre, c'est un signe avant-coureur d'une relation toxique. Ces grands-parents peuvent aussi comparer les enfants et leur dire des choses comme: « Tu n'es pas aussi intelligente que ta sœur » ou « Ton frère a fait mieux ».
Droits des grands-parents
Les grands-parents ont un droit de visite et d'hébergement de leurs petits-enfants, mais aussi le droit d'échanger une correspondance avec eux et de participer à leur éducation dans la mesure où ils ne se substituent pas aux parents. Ces droits restent valables : en cas de divorce des parents.
"Le temps des vacances", passées le plus souvent avec les parents, arrive lui aussi dans le peloton de tête. Dans le même sens, lorsqu'ils sont en famille, passer du temps avec leurs parents est la première source de bonheur des enfants.
Encourager et complimenter un enfant l'aide à avoir confiance en lui et à maîtriser ses émotions en cas de faiblesse (tristesse, ou peur par exemple). Ainsi donc, lorsque notre enfant a entrepris quelque chose d'inhabituelle, apprenons à le féliciter. Une autre façon aussi de lui dire qu'on lui fait confiance.
Etre une confidente, pourvoyeuse de bons conseils. Transmettre l'histoire familiale. Apporter des espaces de tranquillité dans la vie trépidante des Petits-Enfants (et de leurs parents) Faire avec les Petits-Enfants ce que les parents ne font pas, souvent faute de temps.
La grand-mère dispose aussi d'une expérience de parentalité et est apte à prendre du recul, en cas de situations difficiles. Celle-ci n'a pas à prendre en charge le poids de l'éducation : elle n'a pas à être autoritaire, ni à inculquer les règles de la vie (bien qu'elle puisse tout à fait le faire).
La gym, ils vont pouvoir lancer, rattraper, sauter, grimper, franchir, rouler sur eux même, la motricité et permet de travailler les aptitudes la vie comme d'être en équipe, de bien écouter les régles et surtout d'apprendre à perdre.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
Le mieux est de reconnaître le comportement en enseignant à l'enfant que tout le monde éprouve des émotions négatives, et en apprenant à l'enfant à faire face à ses émotions de manière constructive. Il est important de laisser les enfants avoir des responsabilités (par exemple, les tâches, les devoirs) sans les gérer.
Mini-golf, bowling, patinage, c'est toujours une partie de plaisir! Et une grande partie du plaisir est de faire ces activités en famille. Les enfants adorent passer du temps avec les adultes; ils veulent vous voir passer un bon moment en leur compagnie. Les enfants aiment cuisiner avec leurs parents.
Le beurre, comme tous les autres corps gras, est à consommer avec modération. Les quantités conseillées sont de 10 à 15 g chez les enfants, 20 g chez les adultes. Les adolescents ou les sportifs, ayant des besoins énergétiques plus importants, peuvent en consommer jusqu'à 30 g/j.
Généralement, les enfants préfèrent les légumes ayant une saveur douce comme la carotte, la patate douce, la citrouille ou encore la tomate, les petits pois et les oignons caramélisés. Tous ces légumes sont riches en vitamines et nutriments : n'hésitez donc pas à les ajouter à vos recettes régulièrement.
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Les grands-parents peuvent devoir venir financièrement en aide à leurs petits-enfants, au nom de l'obligation alimentaire (art. 205 et 207 du Code civil) . Cette obligation n'est mise en œuvre que dans le cas où les parents ne sont pas en mesure de pourvoir aux besoins de leurs enfants.
Enfant qui ne veut plus aller chez ses grands-parents
La loi ne prévoit pas d'âge auquel il est possible que le juge aux affaires familiales l'auditionne. Le critère principal est que l'enfant doit être capable de discernement.
En principe, il n'est pas possible d'empêcher les grands-parents de voir leurs petits-enfants. Les prérogatives des grands-parents sont reconnues depuis la loi n°70-459 du 4 juin 1970 relative à l'autorité parentale.