Dans le traitement de la douleur, la relaxation peut être d'une grande aide. Ainsi, la sophrologie, une technique de relaxation qui associe respiration, décontraction musculaire et visualisation, peut soulager de nombreux troubles et peut donc avoir sa place dans le traitement des douleurs chroniques.
Souffrir d'analgésie congénitale c'est ne pas ressentir de douleur lorsque l'on se fait mal. A première vue, cette maladie génétique présente des avantages. Mais être insensible à la douleur c'est aussi se faire mal sans le savoir.
Les traitements de la douleur chez l'adulte reposent essentiellement sur les médicaments dits antalgiques. Ils sont divisés en trois classes en fonction de leur puissance d'action. Le niveau 1, comme le paracétamol ou l'aspirine, est destiné aux douleurs légères.
Amputation d'un doigt
Le doigt étant la partie du corps la plus richement innervée, son amputation sans anesthésie provoque une douleur très intense. D'autant que la victime souffre souvent ensuite des douleurs dites du « membre fantôme ».
Le bout des doigts de la main arrive largement en tête ! C'est un médecin allemand nommé Ernst Weber qui l'a montré dès 1834, en mesurant la plus petite distance perçue entre deux points de stimulation sur différentes parties du corps à l'aide d'une sorte de compas.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Sommaire Reine des prés et écorce de saule (mal de tête) Bicarbonate de soude (estomac) Gaulthérie (douleurs articulaires) Menthe (piqûres) Camomille (règles) Harpagophytum (arthrose) Lavandin super (crampes) Clou de girole...
Pourquoi éprouvons-nous de la douleur? La douleur peut être une sensation inconfortable et certaines personnes feraient tout pour soulager la douleur. Si nous ne pouvions sentir la douleur, nous ne serions pas en mesure d'éviter les blessures répétées ou les dommages permanents faits à notre corps.
Le cerveau peut moduler la façon dont la moelle épinière traite l'information douloureuse. Soit via un signal électrique, soit via des hormones comme l'ocytocine, dont la libération est coordonnée par trente neurones situés dans l'hypothalamus (notre image).
Paracétamol, anti-inflammatoire, codéine, tramadol... Les médicaments antalgiques sont utilisés pour diminuer, voire stopper, une douleur. S'il est possible de s'en procurer sans ordonnance, attention à l'automédication, car ils peuvent provoquer des effets secondaires indésirables.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
En font partie le paracétamol, l'aspirine et l'ibuprofène. On les trouve en vente libre et sur ordonnance. Le palier 2 concerne certains opiacés, en association avec du paracétamol. Le palier 3 désigne les antalgiques puissants (morphine, fentanyl) réservés aux douleurs sévères.
Les maladies neurodégénératives
Un exemple tristement célèbre reste la sclérose en plaques. Elle diminue progressivement les récepteurs sensoriels sous la peau, et donc notre capacité à ressentir le sens du toucher.
Elle se caractérise par la perte du sens de la douleur sous toutes ses formes et sur tout le corps, avec conservation des autres sensations tactiles.
Notre bagage génétique nous rend plus ou moins sensibles à la douleur, et aux expériences douloureuses que nous subissons tout au long de notre vie. Mais nos réactions peuvent aussi être modulées par notre état mental et physique, nos expériences passées –douloureuses, traumatisantes– et notre environnement.
Douleur vive : douleur aiguë soudaine et forte. Les douleurs aiguës se caractérisent par un début soudain et une durée limitée. Les douleurs chroniques durent plus de trois à six mois, de façon continue ou intermittente.
Échelle Numérique (EN) De 0 à 10 ou 0 à 100. Le patient nécessite une prise en charge de la douleur si EN ≥ 4/10 (échelle de 0 à 10 en cm) ou EN ≥ 40/100 (échelle de 0 à 100 en mm). Douleur absente = 0 ; douleur faible = 1 ; douleur modérée = 2 ; douleur intense = 3 ; douleur extrêmement intense = 4.
affliction, calvaire, chagrin, déchirement, désespoir, désolation, épreuve, misère, peine, tourment. – Littéraire : crève-cœur, déchirure, navrement. Contraire : bonheur, joie, plaisir.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
On ne connaît pas vraiment l'origine de ces douleurs matinales. Une personne qui se surmène physiquement peut ressentir ce phénomène. Mais souvent, au contraire, le manque d'activité physique serait à l'origine du problème. Elles peuvent également être le signe d'une arthrose.
Le vagin se protège seul
En réalité, le vagin est un organe admirablement bien protégé par son microbiote. En effet, y vivent en harmonie de nombreuses bactéries bénéfiques.
Elle varie selon le contexte, l'humeur ou le passé du sujet. Sauf que là où la douleur d'un CDLC ne dépend que de la force de l'émetteur, il y a peut-être autant de douleurs qu'il y a d'accouchements.
Les quatre zones les plus sensibles
Yeux, gorge, genoux ou encore parties génitales, Franck Ropers vous dévoile les points les plus sensibles du corps humain. Un doigt dans l'œil entraîne une douleur importante, une difficulté de l'adversaire à se concentrer, et obstrue temporairement le champ visuel.