Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
la consommation de drogues ou d'alcool ; l'isolement social et la solitude ; l'inactivité ou la procrastination ; ou encore une diminution de l'appétit.
Il peut exister diverses causes à cette humeur changeante. Ces causes peuvent être actuelles (un changement récent dans votre rythme de vie, un évènement relatif à la vie de famille ou au travail), mais elles peuvent également être plus anciennes et resurgir aujourd'hui de façon inconsciente.
Autrement dit, cela consiste à se faire un câlin à soi-même. Longtemps perçu comme "quelque chose de farfelu", selon Ana Sandrea, thérapeute, cette pratique commence à fédérer de plus en plus de personne. L'objectif, en se câlinant, peut être de se réconforter, de s'encourager ou de mieux gérer ses émotions.
Tenir un journal, même 20 minutes par jour, vous permet de clarifier et d'organiser vos pensées tristes, ce qui peut vous permettre de mieux cibler les raisons de votre tristesse. ...
Pendant que vous écrivez, concentrez-vous sur ce que vous écrivez, pas sur la façon dont vous l'écrivez.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Réfléchissez à l'état actuel de votre situation, mettez par écrit vos objectifs pendant 15 minutes au moins par jour. Tâchez de définir des objectifs à atteindre dans un mois, un an, cinq et dix ans. Prenez l'habitude de réévaluer vos objectifs régulièrement et de les modifier s'il le faut.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Si vous êtes conscient que vous refusez d'être heureux, c'est probablement qu'un traumatisme vous empêche de profiter de la vie. Il est donc important que vous preniez le temps de découvrir la cause de ce traumatisme… peut-être même le savez-vous déjà. Dans ce cas, il vous sera peut-être nécessaire de consulter un.
Aller s'aérer l'esprit dehors, seul(e). Penser à sa journée d'un point de vue extérieur. Prendre le temps de respirer, de ne penser à rien. Puis, revenir avec le sourire et tout clancher!