Si elle ne montent pas dans la hausse, c'est sûrement que c'est trop difficile pour elles d'y stocker du miel. Faites donc en sorte de leur faciliter l'accès et le stockage, et elles monteront dans la hausse par elles-mêmes.
En avril si les colonies sont au taquet et les floraisons surabondantes c'est le moment de poser les hausses. Ces hausses accueillent l'excédent de miel produit par une surabondance de butineuses.
Mais globalement, les pollens de printemps sont plus stimulants pour la ponte de la reine que les pollens d'été. Si vous distribuez un sirop fait à partir de miel, le risque de pillage est important. Nourrissez à la tombée de la nuit après avoir réduit les entrées de ruches.
«Si les abeilles ne reviennent pas à la ruche, cela veut dire qu'elles ont rencontré en cours de route quelque chose qui les a tuées», explique-t-il.
Cherchez les signes de la présence d'une reine. Dans la zone du couvain, si vous voyez des œufs – un par cellule, collé au fond de la cellule – une reine a été présente au cours des 3 derniers jours. Si vous voyez également d'autres stades de couvain dans la ruche, il est fort probable que votre reine soit présente.
Dès que la première hausse est remplie au ¾ et que les abeilles garnissent les cadres de rive, vous pouvez poser la seconde hausse au-dessus de la première.
Absence de nectar et de pollen dans les cadres. Le couvain n'est plus entouré par la couronne pollen-miel. Ils sont « secs » et légers. Les cadres de rive sont vides.
Prévoyez une cire vierge pour éventuellement agrandir le nid à couvain en intercalant la cire vierge entre le dernier cadre de couvain et un cadre contenant du pollen. Ajoutez aussi une partition pour bien resserrer la colonie. Le maintien de la température est important pour le développement du couvain.
La pâte sucrée APIFONDA est parfaite pour nourrir les abeilles après l'hiver, comme stimulant de printemps. Elle peut également être utilisée pour l'alimentation en début d'hiver (en particulier dans les régions au climat chaud).
La grille à reine est donc un outil qui permet de fermer l'accès des hausses à la reine. Cela permet alors de pouvoir récolter le miel sans aucun risque pour la reine. Cela aide à ne pas troubler la récolte puisque le couvain est cantonné dans le corps.
On compte en général 1.5 à 2 Kg de miel par cadre de hausse dadant, il y en a habituellement 9 par hausse. Soit 13 à 18 kg de miel par hausse + poids des cadres + poids de la cire + poids de la hausse vide.
Juin – Juillet. En cette période, l'apiculteur assiste à la miellée d'été, avec la floraison de plantes mellifères comme le tilleul et les châtaigniers hâtif et tardif et autres floraisons abondantes aux saveurs riches. C'est également la phase de l'élevage de la production des essaims.
Pour effectuer sa récolte dans des conditions optimales, il est préférable d'opter pour une journée de beau temps, en fin d'après-midi ou début de soirée. Cette tâche est l'une des plus compliquées de l'apiculteur. C'est pourquoi, il doit faire preuve de prudence et veiller à sa sécurité tout au long de l'opération.
En période de miellée il faut poser la deuxième hausse lorsque les abeilles commencent à remplir les cadres de rive de la première. Ces deux cadres encore vides peuvent alors être passés au centre de la hausse.
En généralisant, on peut dire qu'en plaine la floraison est terminée fin Juin et qu'à une altitude de 1000 mêtres la récolte s'effectue aux alentours du 14 Juillet. Au delà, le risque de voir du miellat apparaître dans les hausses est important.
Pour augmenter les chances d'unification, l'apiculteur peut brouiller les pistes en perturbant les phéromones de chaque colonie. En effet la personne peut placer des bandelettes imprégnées d'huile essentielle d'eucalyptus ou pulvériser toutes les abeilles avec une solution sucrée mélangée à de l'huile essentielle.
Il existe des signes annonciateurs d'un essaimage éventuel à venir. Parmi ces indices : Le ralentissement de l'activité d'une colonie forte au demeurant, ou un manque de dynamisme général. Un groupement d'abeilles, formant une grappe immobile au niveau de la planche d'envol sera également un signe annonciateur.
Mettre en place le cadre de hausse extrait du carton avec ses abeilles. Placer le couvre-cadres. Surveiller l'entrée en rang serré de la colonie, on a parfois la chance de voir passer la reine surtout si elle est marquée. Cette séquence très spectaculaire, peut durer 15 à 60 minutes selon le nombre d'abeilles.
Le sucre : Seul le glucose ou le fructose seraient les mieux adaptés pour les abeilles car ce sont des sucres simples (glucides monosaccharides)d'assimilation directe,mais dans le commerce ont trouve aisément du saccharose pur, issu du sucre de betterave ou de canne.
Du 15 juillet au 30 août, c'est le moment le plus difficile à traverser pour les abeilles des apiculteurs de loisir car c'est là qu'hélas se prépare leur mortalité hivernale. En effet, le fléchissement des rentrées alimentaires va provoquer une baisse tout comme à l'opposé, un surcroît des réserves.
Certains apiculteurs professionnels décident de changer la reine tous les deux ans en moyenne. En période d'essaimage, les jeunes reines sont effectivement moins promptes à quitter la ruche. De plus, si la colonie continue de croître, les risques d'essaimage s'accentuent.
Bonjour, Tu extrait les cadres operculés, puis les cadres non operculés à part et mesure au réfractomètre le taux d'humidité (en principe si le miel ne coule pas des cadres c'est bon), si il est trop important tu le redonne aux abeilles en nourrissement pour l'hiver.
Les ruches ne doivent pas être installées entre le 15 octobre et le 15 mars car la saison est trop froide. Le début du mois de mai est idéal et permet une première récolte du miel entre juin et juillet. En hiver, la ruche doit être couverte.
Réaliser cette opération à une période où le développement de la colonie le permet : généralement au printemps quand les abeilles bâtissent et quand la ponte se développe, quand il y a des rentrées de nectar.