Pour corriger ce trouble du comportement, il faut reprendre les mêmes règles qu'avec le chiot : répondre à ses besoins (exercices, jeux…), arrêt des rituels de départ et de retour notamment, désensibilisation en créant de faux départs, apprendre au chien à dormir seul et à être dans une pièce séparée.
Il faut dans ce cas le laisser dormir dans une pièce chauffée, ou à l'abri des courants d'airs. Ses pleurs peuvent être également un moyen de se plaindre du confort de son panier, qui ne lui convient pas. Rajoutez quelques plaids, et mettez quelques vêtements avec votre odeur.
De manière générale, le chien peut pleurer car il est en état d'anxiété, de peur, de stress ou même d'ennuie. Souvent, le fait de ressentir ses émotions est lié à la relation qu'entretient le chien avec son maître. On voit ce genre de comportement majoritairement chez les chiots mais également chez les chiens adultes.
Vous pouvez l'apaiser en lui parlant, ou même mettre la main sur la caisse. Mais laissez-lui l'espace et le temps pour se calmer. Pendant que vous réconfortez votre chiot, ne cédez pas à l'envie de le prendre et de le caresser ou de jouer avec lui.
- Ne répondez pas à ses sollicitations lorsqu'il pleure, gémit ou aboie. - Lors des retrouvailles, ne vous précipitez pas sur lui pour le câliner. Ignorez-le quelques minutes. C'est à vous qu'il revient d'initier le contact.
Lorsqu'il lève la patte, agitez votre main et dites “Patte, dis bonjour !” ou “Patte, salue !” comme vous préférez. Dans le même temps, vous pouvez lui donner sa première récompense.
Si votre chien a peur de quelque chose, faites comme si tout était normal et ignorez ses pleurs. Si vous le caressez pour le rassurer, il sera récompensé et recommencera. Enfin, les chiens âgés peuvent montrer des signes de démence et de sénilité, notamment avec des plaintes et des hurlements la nuit.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
L'idéal est un endroit confortable et sécurisant pour votre chien, où il pourra prendre du repos mais aussi se réfugier en cas de peur ou de volonté de s'isoler. Évitez donc les lieux de passage, car il serait sans cesse dérangé. Une pièce comme la cuisine, où l'on peut fermer la porte, est une bonne solution.
Il veut demander votre attention ou quelque chose dont il a besoin. Le plus probable est que votre chien pleure la nuit pour attirer votre attention, peu importe qu'il s'agisse d'un chiot, d'un adulte ou d'un chien âgé.
Mise en œuvre : habituer le chien à rester seul d'abord sur des périodes très courtes puis de plus en plus longues toujours de manière progressive pour éviter tout risque de rechute. D'abord commencer le chien dans la même pièce puis en sortir avec porte ouverte puis porte fermée.
Il est aussi souhaitable de lui faire faire de l'exercice avant votre absence : une grande balade le fatiguera et il sera plus susceptible de s'endormir. Faire de l'agility ou de la nage est également un bon moyen de le fatiguer. Mettre de la musique pendant votre absence peut également calmer votre chien.
Enseigner la solitude à votre chiot
Dès l'instant où il sait s'ennuyer en votre présence, il est temps de passer à l'étape supérieure en l'habituant désormais à rester seul un peu tous les jours. Pour commencer, installez son panier avec ses jouets dans une pièce afin qu'il ait ses repères.
La science a révélé que les chiens pensent beaucoup à leur passé. Ils sont capables d'associer des odeurs à des souvenirs, ou des lieux, et peuvent pratiquement paramétrer un chemin pour les trouver à la façon d'un GPS.
Si le chien reste seul pendant plus de quatre heures, il devrait avoir accès à l'extérieur pour faire ses besoins. Au début, ne laissez jamais votre chien seul. Le processus d'apprentissage à rester seul doit se faire progressivement, étape par étape. Commencez par de courtes absences de 10 minutes, puis prolongez.
Le chien partenaire n'a pas à avoir un ou plusieurs « maîtres » dans la famille, parce que le mieux pour lui est de n'en avoir aucun. Tout au contraire, il pourra développer avec chacun des membres autant de « relations partenaires » plus ou moins spécifiques !
Lorsque votre chien vient vous saluer, tout excité, saute comme un cabri, court dans toute la pièce, se couche sur le dos dans l'attente d'une caresse sur le ventre, ou remue sa queue avec enthousiasme, vous pouvez affirmer sans vous tromper qu'il est content ! Ces signes évidents reflètent le bonheur de votre chien.
Si votre chien vous lèche les mains c'est un bon signe : c'est une marque d'affection. A l'exemple de leur mère qui les lèche quand ils sont petits, s'il vous lèche cela implique qu'il souhaite vous introduire dans cette pratique.
Faut-il se retenir ? Sûrement pas. Certaines personnes, sans craquer, ressentent un fréquent besoin de pleurer. Elles sont sujettes à des irrégularités d'humeur, une instabilité psychique source de souffrance et de conflits.
Les larmes réflexes surviennent en réaction à une irritation. Lorsqu'on a quelque chose dans l'œil, ce dernier produit des larmes réflexes pour éliminer la saleté. Les larmes émotionnelles surviennent lorsque nous ressentons des émotions fortes, comme de la tristesse liée au deuil ou à la douleur, ou de la joie.
Si vous ne pleurez pas, peut-être pensez-vous que vous n'êtes pas suffisamment triste, ce qui pourrait vous rendre mal à l'aise. Sachez que le chagrin est parfois surprenant et imprévisible, et que vous pourriez ressentir des émotions inattendues.
Si votre chien pleure ou hurle uniquement quand vous partez c'est qu'il exprime son anxiété. Il supporte mal la solitude. Ce comportement peut aller du simple gémissement au hurlement à la mort, comme un loup le fait pour réunir sa meute.
#1 Un chien aboie la nuit par instinct
Certains chiens aboient plus que d'autres la nuit. Par exemple les races de chiens de garde sont plus susceptibles de le faire. La raison est toute simple : l'instinct de protection du chien le pousse à réagir s'il pense que quelque chose menace sa sécurité et la vôtre.