Faire preuve de douceur, de tact, d'empathie, et favoriser autant que possible le dialogue. Prendre un peu de recul et ne pas prendre pour soi ce qui peut se jouer à un autre niveau.
Prenez le temps de découvrir l'enfant de votre partenaire
Il est une personne comme vous, avec ses habitudes, ses croyances. Il est important de ne pas chercher à remettre en cause la petite personne qu'il est déjà. Posez-lui des questions sur son histoire.
L'enfant de l'autre a peut-être encore plus besoin d'être aimé pleinement et de façon généreuse, parce que la séparation de ses parents est une souffrance pour lui. Aimer un enfant dans le désintéressement, c'est comme donner de l'engrais à une plante : il s'épanouira et vous le rendra au centuple.
Pensez à organiser, de manière régulière, des activités qui réuniront votre famille recomposée le temps de quelques heures ou d'une journée: un après-midi de balade, une visite au musée, un cinéma, un atelier culinaire… L'important est de passer du bon temps ensemble, mais aussi se créer des souvenirs en famille.
“Son rôle va aussi dépendre de la place que lui donne le père dans la vie des enfants : simple aide auprès du père pour faire respecter les rituels déjà mis en place ou bien implication plus ou moins importante dans l'éducation des enfants”, ajoute-t-elle.
Votre présence peut également être un sujet de discorde. Essayez de ne pas trop passer chez votre enfant à l'improviste, même si c'est pour déposer un repas, un cadeau ou proposer votre aide. Si on a besoin de vous, on vous le fera savoir, dans le cas contraire ne soyez pas offusqué(e).
Pas facile pour le nouveau conjoint de savoir ce qu'il peut dire ou ne pas dire concernant les enfants. Pour les aider, transposez la situation à d'autres enfants en visite chez eux pendant plusieurs semaines… L'attitude et les mots juste seront plus simples à trouver car l'affect est mis de côté.
La phase d'opposition chez les jeunes enfants dure jusqu'à l'âge de quatre ans environ.
C'est quoi une "famille toxique" ? Une famille peut être toxique lorsqu'il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu'ils devraient être.
Des femmes « trop chères »
Selon eux, côtoyer l'une d'entre elles serait une perte financière sans aucun gain au change. « Les mères célibataires sont trop chères. Je suis égoïste et je n'ai absolument pas envie de sortir avec une femme avec des enfants » clame Jonathan Cass.
La première chose à faire quand on ne supporte plus ses enfants : recharger les batteries et prendre soin de soi ! Si l'on ne se sent pas bien soi-même, il est difficile d'être bien avec ses enfants. Prendre soin de soi peut paraître être un luxe, mais j'ose dire que c'est une nécessité !
Famille recomposée : définir de nouvelles règles
Plutôt que de vous quereller continuellement sur vos différences d'éducation, fixez dès le départ des nouvelles règles de vie, propres à cette nouvelle famille. Mettez-vous d'accord tous deux puis énoncez à chacun son nouveau rôle et le nouveau mode de fonctionnement.
Pour réussir à trouver sa place au sein d'une famille recomposée, le beau-parent ne doit pas hésiter, en fonction de l'histoire familiale et de l'âge de l'enfant, à passer du temps avec lui, seul ou avec son partenaire. Et là, ce dernier joue un rôle primordial.
La personnalité de votre belle-fille ou de votre gendre que vous ne supportez pas (ou tout simplement votre personnalité…) peut être à l'origine de vos mauvaises relations avec le conjoint de votre enfant. Mais, le plus souvent, ces mésententes s'expliquent par une relation fusionnelle avec son enfant.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Le rôle de la belle-mère ou du beau-père est celui de parent de substitution ou de parent supplémentaire. Il faut répondre à des besoins basiques comme nourrir, donner le bain, aider aux devoirs, conduire les bambins à l'école ou à leurs activités.
En France, on estime à 1,5 millions le nombre d'enfants qui vivent en famille recomposée. Ainsi, beaucoup sont ce que l'on appelle des demi-frères ou des quasi-frères. On emploie le terme de demi-frères ou sœurs lorsque les enfants ont un seul des 2 parents en commun.
Trouver sa place dans un groupe en général se fait de manière naturelle. Il faut que chacun d'entre nous communique et s'exprime librement. Il faut savoir venir en aide et demander de l'aide. Il faut respecter chaque membre du groupe, savoir remercier, se fâcher, etc.
On recommande parfois aux belles-mères de respecter avec leurs belles-filles la règle des trois C: des Cadeaux des Compliments et pas de Conseils. Avec les belles-mères, c'est un peu pareil. En remplaçant peut être le dernier item: des Cadeaux, des Compliments et pas de Critiques.
Mère du conjoint ou de la conjointe. 2. Conjointe du père ou de la mère, pour les enfants issus d'un autre mariage, d'une autre union de l'un ou de l'autre.