Les phytoestrogènes peuvent bloquer partiellement l'effet négatif des oestrogènes. S'il y a une déficience, ils peuvent combler une partie des besoins (graines de lin, citrouille, tournesol, luzerne, trèfle, légumineuses…). Des plantes progestérone-like : le gattilier, l'alchémille, l'achillée millefeuille.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
trèfle, luzerne ; carottes, ail ; lentilles, pois chiches ; graines de lin, de tournesol, etc.
Il est fréquent de présenter un trop plein d'oestrogènes dans certaines situations telles que la prise de contraceptifs hormonaux, la phase de la ménopause ou encore tout simplement pendant une période de dérèglement hormonal.
La perte d'oestrogènes est un important facteur de risque, mais ce n'est pas le seul. Il y a aussi la nutrition, l'exercice, le style de vie, la présence ou non de maladies cardiovasculaires et de diabète.
Les légumes crucifères. Brocoli, kale, choux de Bruxelles… ils contiennent un composé biologiquement actif qui peut équilibrer l'œstrogène dans le corps. L'œstrogène en excès peut conduire à certains types de cancer, il est donc important de veiller à réduire le taux circulant.
Manger des fibres solubles qui régulent les hormones et la concentration d'œstrogènes dans le sang (avoine, légumineuses, fruits secs, algues). Penser aux oligo-éléments comme le sélénium (noix de brésil, fruits de mer) et l'iode (produits de la mer, algues, alliacés) pour les hormones thyroïdiennes.
Les œstrogènes sont sécrétés surtout par l'ovaire (isolément dans la première moitié de chaque cycle menstruel, en association avec la progestérone dans la seconde moitié) et par le placenta au cours de la grossesse. Les glandes surrénales et les testicules en produisent de faibles quantités.
Il existe une variété de symptômes qui peuvent indiquer un faible taux de progestérone. Ils comprennent : Des règles irrégulières ou absentes. Saignements abondants pendant les règles.
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Ce gel contient une hormone naturelle de la famille des estrogènes. Elle traverse la peau et passe progressivement dans le sang. Il est utilisé pour soulager les symptômes dus au déficit en estrogènes lors de la ménopause (bouffées de chaleur, sécheresse vaginale...).
Il existe des traitements avec règles et des traitements sans règles. Leur efficacité est exactement la même : Traitement « avec règles » : l'oestrogène est prescrit pendant 21 à 30 jours par mois selon les cas, le progestatif y est adjoint les 10 à 14 derniers jours.
En règle générale, l'œstrogène se prend durant les premiers 21 ou 25 jours de chaque mois. Les femmes qui n'ont pas subi d'hystérectomie (c'est-à-dire qui ont encore leur utérus) devraient prendre un progestatif (par ex. la médroxyprogestérone) durant les derniers 12 ou 14 jours de chaque cycle d'estrogénothérapie.
Le Saxenda est la copie d'une hormone qui est produite par notre organisme, qui permet la production d'insuline. Il semble que le médicament agisse sur la satiété, diminue la vitesse de vidange de l'estomac. L'efficacité de ce médicament a été prouvée par des études publiées dans des revues scientifiques.
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause.
Les plantes médicinales contenant des phyto-oestrogènes ou d'autres substances aux effets comparables aux oestrogènes, ont également fait leurs preuves dans les troubles de la ménopause. Parmi ces plantes, on trouve: L'actée à grappes (Cimicifuga racemosa) La sauge (Salvia officinalis)
Le principe d'un THM est de remplacer les deux hormones (l'œstrogène et la progestérone) dont la production naturelle a cessé. Il consiste à prendre ces hormones sous forme de médicaments. Quels sont les bénéfices du THM ? Le THM permet d'améliorer votre qualité de vie en cas de symptômes très gênants.
Le traitement d'œstrogène doit être associé à la prise de progestérone ou d'un progestatif de synthèse afin de protéger l'utérus contre la survenue d'un cancer de l'endomètre. Pour les femmes qui ont eu une ablation de l'utérus, un traitement d'œstrogène seul peut être prescrit.
La principale hormone féminine avant la ménopause est l'estradiol qui est produit essentiellement par les ovaires. Les ovaires, au nombre de deux, sont des glandes qui sont situées dans le bassin près de l'utérus.