Lorsqu'un enfant en pleurs fait une crise de colère, restez calme. Il est important de ne pas se mettre en colère, cela peut aggraver la situation et provoquera un sentiment d'incompréhension chez lui. Parlez plutôt d'une voix calme et posée et laissez votre enfant exprimer ses émotions fortes.
Rien de tel qu'un gros câlin quand on ressent des sentiments négatifs. Cela aide à réguler les émotions et à calmer les tensions. En effet, des caresses et des paroles chaleureuses permettent au cerveau de libérer de l'ocytocine, l'hormone du bien-être. De même, verbaliser ce qui nous rend furieux calme l'amygdale.
Appliquez un temps de retrait : limitez les interactions avec votre enfant en le mettant dans sa chambre ou dans une autre pièce. S'il refuse d'y aller par lui-même, vous pouvez l'accompagner. Attention cette phase est souvent difficile. Essayez de ne pas trop parler et ne lui faites pas mal en l'accompagnant.
Faire jouer une musique calme, inviter les enfants à se coucher et les encourager à se concentrer sur leur respiration. Des massages avec des balles. Petites chansons douces et calmes.
Laissez-la tranquille quand elle fait une colère, ne la grondez pas, ne l'isolez pas mais laissez la finir tranquillement sa colère puis faites un câlin sans forcément reparler de ce qu'il s'est passé . Et puis pour désamorcer les colères suivez des stratégies de contournement.
Cette agitation à l'heure du coucher peut s'expliquer par le fait que votre enfant a besoin de libérer les tensions accumulées durant la journée. Pour l'aider à retrouver le calme nécessaire pour s'endormir, vous pouvez, par exemple, mettre une musique douce et lui faire un petit massage dans le dos.
Les scientifiques ont aussi la réponse : rester assis pendant 5 à 8 minutes. En résumé, 5 min de portage en marchant et ensuite 5 à 8 minutes assis avant de le reposer dans son lit endormi.
Essayez plutôt de le rassurer et de l'aider à faire face à ses craintes. Discutez avec votre enfant lorsqu'il vit des situations stressantes. Répondez à ses questions de manière simple, mais honnête. Se faire expliquer la situation dans des mots qu'il comprend le rassurera.
Si votre enfant, habituellement gai et souriant, change d'attitude et présente régulièrement un ou plusieurs des signes suivants, il est possible qu'il souffre de troubles du comportement : Il a des troubles de conduite (attitude agressive, colérique, anxieuse, provocatrice) Il est hyperactif.
Pendant la crise de colère, n'essayez pas de raisonner l'enfant. Vous pouvez valider ses émotions avec des phrases telles que « je vois bien que tu es très en colère » mais dites-lui clairement que vous allez vous occuper de lui quand il se calmera et que vous n'aimez pas ce qu'il a fait.
La boxe pour évacuer la colère
Le punching ball est, par ailleurs, un excellent défouloir !
Dans l'idéal, l'enfant qui refuse de dormir devrait être mis au lit à la même heure chaque soir, suivant une routine du coucher pouvant comprendre par exemple le dîner, le bain et une histoire. Embrassons-le et souhaitons-lui « bonne nuit » d'une voix ferme, puis quittons la chambre alors qu'il est encore éveillé.
Respecter un temps calme avant d'aller se coucher
Un enfant surexcité ne sera pas dans de bonnes conditions pour s'endormir, et tournera en rond dans son lit avec cette sensation qu'il n'a pas envie de dormir. Le moment du coucher doit donc être précédé du fameux « temps calme ».
Quand ses sœurs et frères ont peur de lui. Quand les crises de colère sont trop fréquentes. Quand vous prenez votre enfant avec des pincettes pour éviter de le déranger ou par crainte des conséquences. Vous avez besoin d'aide si vos décisions familiales dépendent de «la façon dont votre enfant réagira».
La méthode du "dodo" progressif
Le principe de cette méthode est de réduire progressivement le temps que vous passez auprès de votre bébé au moment du coucher. Par exemple, commencez par rester dans la chambre jusqu'à ce qu'il s'endorme, puis réduisez votre présence à quelques minutes seulement.
Une autre cause fréquente du refus d'aller se coucher est le retardement de l'endormissement. Cela se produit si l'enfant est autorisé à se coucher plus tard que d'habitude pour plusieurs nuits consécutives ; au fur et à mesure son horloge interne se reprogramme pour retarder son endormissement.
La frustration, la fatigue et la faim sont les causes principales des accès de colère.
Changements d'humeur, crises de nerfs, caprices… 8 ans, l'âge le plus difficile chez l'enfant.
Colère. Les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ont des difficultés à contrôler leur colère, elles s'irritent souvent de façon injustifiée et excessive. Elles peuvent exprimer leur colère par des sarcasmes cinglants, de l'amertume ou des diatribes virulentes.
Voici quelques conseils aux parents : L'orienter vers une autre activité : donner une responsabilité, lui proposer une activité (prendre quelques instants pour l'accompagner dans celle-ci : lui sortir ses crayons, ses Légo etc…), cela permet de diriger l'énergie autrement.
À partir de quel âge est-il pertinent de punir un enfant ? Avant l'âge de 2 ans, un enfant n'est pas capable de comprendre ce qu'est une punition. Il comprend qu'il se passe quelque chose, mais ne peut pas faire le lien entre l'action et sa conséquence. Il est donc inutile de gronder ou de réprimander un bébé.