Placez votre genoux aussi loin que possible, mais toujours sans tension. Votre talon intérieur peut se rapprocher de la moto, jusqu'à la platine du repose-pied si votre machine en est équipée, pour ouvrir plus facilement la jambe.
C'est ce qu'on appelle déhancher, ce qui sert à repousser au maximum sa moto vers le haut et déplacer son centre de gravité pour la garder le plus perpendiculaire possible du sol, offrant ainsi un meilleur grip du pneu, plus de sécurité et plus de vitesse.
Faire frotter un slider ne sert pas d'appui, mais uniquement de repère sur l'angle pris. Un déhanché, c'est l'inverse de ça. Pour parfaire le déhancher, il faut engager l'avant du corps et chercher à rejoindre son poignet avec son menton. Les bras ne doivent pas être tendus et accablés par l'effort de maintien.
Au moment de se pencher, le motard doit appuyer sur le pied gauche et incliner le genou droit vers le cadre de la bécane. Ça permet de bien sentir son centre de gravité. Quand le virage à gauche est très accentué, il faut également veiller à ne pas exposer sa tête sur la voie en sens inverse.
Prends ton mal en patience, concentre toi pour avoir une bonne position (tout ce que Olymp vient de te rappeler + en étant penché en avant mais pas trop sur les poignets, dans l'axe vertical de la moto) et tu verras qu'à force ça viendra.
Servez-vous du frein moteur de votre moto ou modulez votre freinage avec fluidité. Pour ce dernier, utilisez avec parcimonie le frein arrière de votre moto et le frein avant de votre moto le moins possible.
Pour cela, braquez le guidon à fond vers la droite et gardez serré le levier de frein avant. La moto va pencher à gauche. Ensuite, décollez le pied droit du sol, sans le monter trop haut. Trouvez le point d'équilibre, en pensant à regarder loin droit devant vous.
Le dernier effet, c'est le fait de sortir le maximum du corps de la moto, afin d'offrir le plus de surface possible au vent, et donc diminuer l'aérodynamisme et ralentir la moto.
Pour savoir jusqu'où on peut angler avec une moto, c'est simple : sur terrain plat la faire basculer des 2 côtés et demander à une tierce personne de prendre une photo dès que ça touche.
Une des causes les plus fréquentes de blocage du genou est la lésion des ménisques, de petits cartilages en forme de demi-lune, qui sont très mobiles dans le genou. Chaque genou possède deux ménisques, un externe et l'autre interne.
Dans l'idéal, faire tourner le véhicule (moto ou autre) une dizaine de minutes à l'arrêt, deux fois par mois environ, tout en la déplaçant un peu dans le garage, ou faisant quelques mètres avec si possible, est un petit truc qu'on peut recommander...
Il faut bien plier le coude côté intérieur du virage. Pour m'aider à faire cela au départ, je gardais en tête de tendre le plus possible l'autre bras, celui à l'extérieur posé sur le réservoir de la moto. Une fois que ton coude est bien plié il faut essayer de le tirer vers l'avant et vers le sol.
L'emplacement du passager moto
Le passager doit toujours être installé derrière le conducteur, assis à califourchon et non en amazone avec les deux jambes du même côté.
Tout d'abord, mettre en place, sans tension, une embase au-dessus du genou puis une deuxième sous la rotule, avec des bandes de strap extensibles. Positionner ensuite quatre attelles actives côté interne. Celles-ci sont placées d'arrière en avant de l'axe de flexion-extension et se chevauchent de moitié.
-Avec le gros cuir et les agrafes, il n'arrive pas à lever le bras. -Par principe, il ne salue pas les conducteurs qui ont déjà fini de payer leur moto. -Il a peur que son guidon ne se détache à cause des vibrations. -Le vent pourrait souffler les tatouages.
Accélérer très vite permet de dépasser une voiture », précise-t-il. Une accélération tiendrait donc le danger à l'écart. C'est aussi l'avis de « john », toujours à propos de l'accident estival de l'ancien premier ministre : « Plus on va vite, plus la moto reste stable, ce qui réduit le risque de chute.
Les signes de base du langage des motards
Un automobiliste qui s'écarte en toute sécurité pour laisser le passage à un motard le dépassant est généralement remercié. La jambe droite s'écarte du cale-pied, se tend et le pied pointé vers le sol marque ainsi le remerciement du motard.
Si on doit résumer : le bas du corps doit être serré, groupé, faire corps avec la machine, le haut du corps doit rester souple, mobile, détendu, capable de bouger.
S'aider du repose-pied
Le réflexe naturel du motard, habitué à monter et descendre par la gauche de sa moto, sera donc de poser le pied gauche sur le repose-pied gauche, les deux mains sur le guidon, avec le guidon droit ou braqué vers la droite, en position d'accueil.
En reprenant depuis le début, on peut donc résumer ainsi : avant de démarrer votre engin, cherchez le point mort et débrayez pour démarrer. Actionnez ensuite le levier d'embrayage au niveau du côté gauche du guidon afin de débrayer et avec votre pied gauche, appuyez sur le sélecteur afin de passer la première vitesse.
Il est recommandé de freiner tout en douceur dès que vous en ressentez le besoin afin de limiter les gestes brusques. Le recours au frein arrière est à privilégier. Pensez à laisser plus de distance entre vous et le véhicule qui vous précède. Rouler trop près de ce dernier vous fait courir des risques importants.
L'idéal est de porter des chaussures imperméables montantes qui tiennent bien les pieds, munies de semelles crantées pour bien adhérer au sol. Privilégiez les semelles en caoutchouc ou en crêpe, car elles ont une meilleure adhérence en cas de neige ou de sol mouillé.