Structure narrative
Un arc narratif est la construction d'une intrigue qui se développe dans une histoire depuis le nœud du récit, jusqu'au dénouement. Cet arc peut se développer à l'échelle d'un récit simple ou au-delà de l'épisode d'un récit sérialisé.
Il est fortement recommandé de commencer le récit par une introduction. Celle-ci va nous permettre de « planter le décor » : nous informer du lieu et de l'endroit où se passe l'action, nous présenter le personnage central, nous donner le ton général du récit. Exemple : C'était l'hiver, nous étions en 1948.
L'ordre du récit Lorsqu'un narrateur raconte des évènements dans l'ordre où ils ont eu lieu, on dit que le récit est chronologique. Mais le narrateur peut aussi faire des retours en arrière (appelés flashbacks au cinéma), pour évoquer par exemple le passé d'un personnage.
Le schéma narratif fait apparaître la trame de la fiction car il organise tout le déroulement des actions. Traditionnellement, et sur le modèle du conte, la narration s'organise en plusieurs étapes. – La situation initiale : elle constitue le début de la fiction. Elle est un état d'équilibre.
Un texte narratif est une histoire réelle ou fictive, racontée par un narrateur. Ce texte peut être à la 1re personne, c'est-à-dire « je », ou bien à la 3e personne, c'est-à-dire « il ». Un texte narratif respecte le plus souvent la même structure.
Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent.
L'élément perturbateur, aussi appelé « déclenchement », est le premier événement de l'histoire. Il va « bouleverser » la situation initiale. C'est lui qui va déclencher toutes les péripéties en créant un problème. Il est souvent décrit au passé simple de l'indicatif.
Le nom incipit (du verbe latin incipere : « commencer », et prononcé /ɛ̃.
Un texte narratif décrit une succession de faits qui s'enchaînent. Il est caractérisé par des verbes d'action et de mouvement qui indiquent la progression de l'histoire, à laquelle participent un ou des personnages. Le narrateur peut, aussi, être un personnage de l'histoire qu'il raconte.
Le texte à dominante narrative sert à : • raconter une histoire ou des événements imaginaires, réels ou documentaires. La séquence narrative est la séquence dominante dans un texte narratif. Elle comprend, dans un récit à 3 temps : • un début; • un milieu; • une fin.
Le texte narratif sert à raconter une histoire, généralement fictive. L'auteur fait le récit d'une chaîne de péripéties vécues par les personnages. Il cherche aussi à divertir son public. Quelques textes serviront également à enseigner une morale ou à favoriser l'ouverture d'esprit, à faire réfléchir…
De manière générale, la narration se fait après que les évènements aient eu lieu. Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
Le genre littéraire narratif : raconter des histoires qui font vibrer. Bien qu'il soit fréquemment associé à la création d'histoires et d'éléments imaginaires, le genre littéraire narratif concerne également les récits basés sur des faits réels.
Premier conseil : soyez authentique. Il ne s'agit pas de raconter une histoire fictionnelle mais de raconter qui vous êtes vraiment, de mettre en récit votre parcours. Si vous racontez des histoires dans le sens “je manipule”, ça peut se retourner vite contre vous.
Se raconter aide à prendre de la distance et à donner un sens à son existence. "L'intérêt de l'écriture est qu'on peut se relire, redécouvrir ce qu'on a écrit et s'étonner", fait remarquer Annemarie Trekker.
Ce jeu est basé sur le schéma narratif qui s'articule ainsi: -Situation initiale: état stable du début de l'histoire qui explique où on est, quels sont les personnages de l'histoire, etc. -Élément perturbateur: événement qui rend la situation instable et oblige les personnages à agir.
Dénouement ou élément de résolution : il met un terme aux actions et conduit à la situation finale. Situation finale ou explicit : c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable.
On considère que le présent, le passé composé et le passé simple sont les temps de base du récit. C'est à l'un ou l'autre de ces temps qu'est rédigé le récit de base.