Le bindi indien est un signe traditionnel porté sur la tête par les femmes. Il s'agit dans sa forme la plus basique d'un point rouge, placé entre les deux sourcils, sur le front de ces dernières.
Marque, généralement circulaire et de couleur rouge, symbole de prospérité domestique, apposée sur le front, siège de la sagesse dans la tradition hindouiste. (Au nord de l'Inde, il est réservé aux femmes mariées ; ailleurs, chacune peut le porter tel un maquillage.)
Un “bindi” peut soit signifier “mariée” pour une femme ou n'avoir qu'un intérêt décoratif. Un bindi n'est porté qu'entre les yeux, tandis qu'un tilaka peut également couvrir le visage ou d'autres parties du corps.
Le « point rouge » qu'on appelle « pottu » ou « bindi » est un point coloré que les femmes indiennes portent sur le front, entre les sourcils. Le pottu symbolise le troisième œil, l'œil de la connaissance selon les hindous. De nos jours, le pottu est devenu un accessoire de beauté.
Il symbolise la paix et la pureté. En Inde, le blanc est la couleur du deuil. Lors d'un enterrement, chacun doit venir habillé de blanc, et les veuves revêtent également cette couleur tout le long de leur deuil.
POURQUOI LES INDIENNES PORTENT-ELLES UN POINT ROUGE SUR LE FRONT ? Le tilak, tika ou pottu est une marque portée sur le front par des Indiens. C'est une marque censée porter bonheur, appo- sée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bien- venue ou bien le tilak indique l'appartenance à un groupe re- ligieux.
Les piercings sont également considérés en Inde comme une marque de beauté karmique et le piercing du nez souligne en particulier le niveau de richesse élevé de celle qui le porte. Le perçage de la narine en Inde daterait du XVI e siècle et aurait initialement été utilisé pour célébrer Parvati, la déesse du mariage.
Au féminin : une Indienne, des Indiennes.
Aishwarya Rai a reçu de nombreuses distinctions, dont deux Filmfare Awards comme meilleure actrice sur onze nominations. Elle a également reçu la décoration de Padma Shri du gouvernement indien en 2009. Elle est citée par les médias francophones comme étant « la plus belle femme du monde ».
Les parents. Pita : père – Dans un cadre formel, certains Indiens appelleront leurs parents Mataji et Pitaji, car le suffixe -ji marque le respect, mais au quotidien, ils s'adresseront à eux sous les noms de Papa et Mamma (ou Pa et Ma).
La pratique du piercing nombril date de l'Antiquité
Nous savons seulement qu'en Égypte ancienne, le piercing nombril s'avérait l'apanage des pharaons et de la famille royale et dénotait donc la richesse et le rang social. Il possédait ainsi une connotation positive.
Le mouvement de tête, te déconcertera.
Il ne s'agit à la fois ni d'une réponse affirmative, ni négative, mais plutôt un signe qui signifie :« Tout va bien » « Je comprend », « Surement », ou encore « Peut-être ». Il n'est pas dans la culture indienne de provoquer un échange tendu ou une dispute.
Les habitants de l'Inde sont donc appelés les Indiens et les Indiennes. Mais qu'en est-il du terme Hindou ? Il s'agit en réalité du terme qui se rapporte à l'une des religions les plus pratiquées en Inde : l'hindouisme. Un hindou (ou une hindou) est donc une personne adepte de cette religion.
Le prête brahmane est le célébrant des cérémonies hindoues. Le gourou est le professeur qui possède une grande connaissance de la vie. Il guide aussi les futurs prêtes brahmanes dans leur quête d'éveil spirituel. Il n'y a cependant aucun guide spirituel dans l'hindouisme.
La dhoti — de l'hindi धोती (dhotī), parfois notée dhuti et autrefois appelée paridhana — est un vêtement à l'usage des hommes, traditionnel au Bengale et dans la vallée du Gange et qui a été adopté dans une grande partie de l'Inde. Il consiste en une pièce rectangulaire de cotonnade fine d'environ 5 m sur 1,20 m .
Le salut traditionnel indien (le namaste) consiste à joindre les deux mains sous le menton en inclinant légèrement la tête. Il est à utiliser avec précaution toutefois car la jeune génération indienne tend à utiliser de plus en plus la poignée de main en affaires.
Cependant, toucher les pieds d'un ainé ou d'un maître est considéré comme une marque de respect. En effet, les pieds, qui sont toujours au contact de la Terre, sont considérés comme sales et impurs. Une fois les pieds touchés, la personne attend une bénédiction du maître, et notamment qu'il lui touche la tête.
Calque de l'anglais Indian sign, en référence au sort maléfique supposé être jeté par les chamans amérindiens contre leurs ennemis, lors de la conquête de l'Ouest américain.
Parmi les piercings qui sont les plus douloureux, on peut parler de ceux réalisés au nez. Il s'agit en effet d'une zone assez sensible, reliée aux yeux, et composée de cartilage et de muqueuse.
Entre 16 et 18 ans : tous les piercings sont possibles, sauf les piercings génitaux. Nécessité d'une autorisation parentale indiquant l'acceptation des risques et complications liés au piercing. Entre 14 et 16 ans : comme précédemment avec en plus la présence d'un parent.
L'âge minimum pour un piercing sur un cartilage de l'oreille est de 16 ans et uniquement pour les hélix, forward hélix, flat hélix et tragus. Ceux dont la cicatrisation est plus longue (de 12 à 24 mois) sont réservés aux personnes majeures. Les piercings situés sur le visage sont réservés aux plus de 18 ans.
En Inde, on ne fait pas le même usage de sa main droite que de sa main gauche. Seule la main droite peut servir pour toucher de la nourriture, manger, et servir. Idem pour donner de l'argent ou une carte de visite, offrir un présent, etc. En revanche, les Indiens considèrent que la main gauche est impure.