Un récit structuré d'après le schéma narratif suit les étapes suivantes : situation initiale. élément déclencheur (ou perturbateur) péripéties.
La situation initiale doit décrire le lieu où se déroule l'histoire, le temps dans lequel elle se déroule, la description du personnage principal ainsi que son occupation avant que quelque chose vienne perturber sa vie normale, ce qu'on appelle l'élément déclencheur (nous parlerons de ceci à l'étape suivante).
Le schéma narratif fait apparaître la trame de la fiction car il organise tout le déroulement des actions. Traditionnellement, et sur le modèle du conte, la narration s'organise en plusieurs étapes. – La situation initiale : elle constitue le début de la fiction. Elle est un état d'équilibre.
Pour faire le plan de votre récit, appuyez-vous sur la structure de celui-ci. Décortiquez toutes les étapes de votre roman pour suivre son évolution et avoir une vue d'ensemble sur l'intrigue. Il est aussi possible de faire ces étapes dans le désordre.
Le schéma narratif : exemple du chaperon rouge
Dans la situation initiale, tout va bien, le petit chaperon rouge vit avec sa maman et va rendre visite à sa grand-mère. Puis arrive l'élément perturbateur et c'est bien sûr, la rencontre avec le loup. Les péripéties, c'est tout ce qui se passe dans la forêt après.
Résumé des 5 étapes du schéma narratif
Situation initiale : présentation des personnages, des décors et de l'époque. Élément déclencheur : un événement vient bousculer l'équilibre présent dans la situation initiale et entraîne l'arrivée de péripéties.
La situation initiale. L'élément perturbateur, le déclenchement. Les péripéties. L'élément de résolution (dénouement)
Revêtir une tenue ample autorise une plus grande diversité de mouvements. Accompagner le discours par une gestuelle choisie renforce la compréhension du conte. Visualiser clairement les lieux et les personnages aident à décrire précisément le contexte (« le décor ») de l'histoire.
Pour faire une introduction, il faut amener le sujet du contenu en incluant les éléments essentiels pour informer et éveiller la curiosité du lecteur. La première étape consiste à utiliser une accroche pour capter son attention, pour ensuite poser un contexte, énoncer une problématique et aborder le plan à suivre.
Vous pouvez commencer par noter tous les événements importants de votre vie et les dates clés : naissance, études, carrière, mariage, enfants, etc. Puis vous pouvez aller plus loin et rassembler des détails, des anecdotes, des moments de vie.
Pour comprendre un récit, le lecteur doit donc en avoir identifié le genre littéraire et utiliser le schéma narratif afin de construire la signification du texte en combinant les informations sélectionnées avec ses connaissances.
Le nom incipit (du verbe latin incipere : « commencer », et prononcé /ɛ̃.
Péripéties : les événements qui créent du suspens dans une histoire (le goéland qui arrache l'argent des mains du trafiquant). Climax / point culminant : l'évènement qui entraîne l'histoire vers son dénouement (le bateau chavire).
De manière générale, la narration se fait après que les évènements aient eu lieu. Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
En outre, l'élément perturbateur est introduit par des expressions temporelles exprimant une rupture. Ce sont des expressions du type: un matin, un jour, un soir, cette nuit, soudain, tout à coup...
Dénouement ou élément de résolution : il met un terme aux actions et conduit à la situation finale. Situation finale ou explicit : c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable.
Le troisième élément du schéma narratif correspond à ce que l'on appelle « péripétie ». Nom féminin, « péripétie » vient du grec peripeteia, c'est-à-dire « événement imprévu ».
L'élément déclencheur s'écrit souvent en un paragraphe dans un récit. Il est souvent le deuxième élément d'un schéma narratif. Dans un récit au passé, le temps utilisé est fréquemment le passé simple. Plus généralement, on préférera un temps exprimant un aspect imperfectif.
On le construit traditionnellement en 3 parties : introduction, développement, conclusion. Il sert à faciliter la lecture ou l'exposé et à organiser son propos : énumération, enchaînement, hiérarchisation des idées ou des faits.
Une formule assez simple est souvent utilisée pour annoncer un plan : « Afin de répondre à la problématique posée, il serait intéressant d'étudier en premier lieu (axe I), puis en second lieu (axe II) ». L'annonce doit être explicite et claire, et suivant une certaine logique.
De manière générale, un texte comporte une introduction, un développement et une conclusion. Voici ce qui caractérise chacun : L'introduction informe le lecteur du sujet, des aspects qui en sont traités et donne un aperçu du plan que l'on va suivre dans le développement.