Les conditions nécessaires pour l'obtention du sacrement de pénitence sont les suivantes. La première condition est de rechercher ses fautes par un examen de conscience. La deuxième condition est le regret des fautes ou repentir.
Dans le catholicisme, les actes du sacrement comprennent les phases suivantes : L'examen de conscience préalable par lequel on recherche ses péchés ; La contrition, ou repentir ; qui implique de regretter ses fautes et de prendre la résolution de ne plus les commettre. La confession des péchés à un prêtre.
Faites le signe de la croix en disant « Bénissez-moi, mon Père, car j'ai péché » et dites-lui depuis combien de temps vous ne vous êtes pas confessé(e). Il n'est pas nécessaire de vous souvenir du nombre exact nombre de fois, seule la fréquence des péchés importants doit entrer en ligne de compte.
« Mon Dieu, j'ai un très grand regret de Vous avoir offensé, parce-que Vous êtes infiniment bon, infiniment aimable et que le péché Vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de Votre sainte grâce, de ne plus Vous offenser et de faire pénitence. Ainsi soit-il. »
pénitence
Regret d'avoir offensé Dieu, avec la volonté de ne plus recommencer. 2. Mortifications que l'Église impose aux fidèles. (Le carême est un temps de pénitence.)
La réconciliation, la pénitence et le sacrement de pénitence
Cette vie chrétienne est une vie « réconciliée », dans laquelle l'être humain trouve Dieu sur sa route, un Dieu qui l'appelle, qui l'attend, qui veut se réconcilier avec lui, qui meurt pour lui et qui le transforme en membre de son corps qui est l'Église.
Une façon de traduire les idées en action est de repenser la réconciliation et de la voir comme un processus plutôt qu'une fin en soi. Autrement dit, la réconciliation ne se définit pas uniquement par ce que nous faisons, mais aussi par la façon dont on s'y prend.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Les sept capitaux (orgueil, gourmandise, luxure, avarice, jalousie, colère et paresse) ont été identifiés par saint Thomas d'Aquin au XIIe siècle. Ils figurent toujours en bonne place dans le Catéchisme de l'Église catholique dans sa dernière édition de 1997.
La gratitude fait chaud au cœur de celui qui donne et de celui qui reçoit. La gratitude pour ce que nous avons, exprimée à notre Père céleste dans la prière, nous apporte une paix bienfaisante, une paix qui nous évite de nous aigrir l'âme pour ce que nous n'avons pas.
Ordre et méthode. Dans une perspective chrétienne, l'exploration ne doit pas nécessairement être exhaustive, mais elle doit conduire à une attitude intérieure d'humilité, de repentir et de dépendance de Dieu. Il est inutile de chercher à se justifier devant Dieu.
« La confession comprend deux choses : d'abord, on doit avouer ses péchés ; ensuite on doit de la bouche du confesseur recevoir l'absolution ou rémission des péchés comme si elle venait de Dieu lui-même, et croire sans aucun doute qu'ainsi les péchés sont réellement pardonnés devant Dieu. »
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
l'acédie, l'envie, l'avarice, la vaine gloire, la gourmandise, la luxure, la colère désordonnée. Pour S. Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu.
La formule d'absolution en usage dans l'Église latine exprime les éléments essentiels de ce sacrement : « Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde ; par la mort et la résurrection de son Fils, il a réconcilié le monde avec lui et il a envoyé l'Esprit Saint pour la rémission des péchés : par le ministère de l' ...
Dans l'Église catholique, le sacrement de l'ordre est le sixième des sept sacrements, avec le baptême, la confirmation, le sacrement de pénitence et de réconciliation, l'eucharistie, le mariage et l'onction des malades.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
La liste que nous connaissons aujourd'hui a été fixée par Thomas d'Aquin. Elle pointe l'orgueil et l'envie comme vices irrécupérables et place gourmandise et luxure en bas de l'échelle. Au centre, la colère, l'avarice et la paresse.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie. Ils sont « capitaux » au sens où ils sont la cause, donc à la tête, d'autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes.
Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être. Cette expression est une manière de s'excuser, mais surtout de relativiser son acte.
1. Ramener des personnes à la bonne entente, rétablir entre elles des relations amicales : Je voudrais te réconcilier avec ton père. 2. Inspirer à quelqu'un une appréciation plus favorable de quelqu'un, de quelque chose : Ce repas les a réconciliés avec la cuisine du pays.
1. Action de réconcilier des adversaires, des gens fâchés entre eux ; fait de se réconcilier. 2. Rétablissement des liens conjugaux entre époux en instance de divorce ou séparés de corps.
Acte par lequel un pécheur se réconcilie avec Dieu, avec l'Église.